Marée rose-rouge ?

L’élection du socialiste François Hollande à la présidence française a consacré, bien qu’avec un petit temps d’avance, l’alternance politique qui était prévisible en fonction du cycle Jupiter-Neptune. Arrivant à l’étape de son carré (angle de 90°) le 25 juin prochain précisément, cela implique en règle générale le succès électoral de l’opposition du moment et un changement d’orientation politique.

On peut donc penser, dans ce contexte, que les législatives vont valider le choix de la présidentielle et que cela aboutira donc à une marée rose-rouge plus ou moins importante. La présidence étant à présent socialiste, on pourrait évidemment envisager que l’ « alternance » provoque à présent un succès à droite aux législatives. Ce raisonnement paraît cependant douteux, car il est pour le moins difficile de séparer les législatives de la présidentielle à seulement un mois d’intervalle. Le plus probable est donc que soit confirmé le choix du 6 mai dernier au second tour de la présidentielle.

Politiquement, un tel résultat paraît d’autant plus probable que la gauche et l’extrême gauche sont alliés sans aucun état d’âme, alors que l’UMP conservatrice et le Front National d’extrême droite n’ont aucun accord de désistement pour le second tour. Il en résultera très certainement un grand nombre de « triangulaires » au second tour, qui favorisera évidemment le candidat unique de la gauche et de l’extrême gauche.

Notons aussi la proximité immédiate du premier grand carré entre Uranus et Pluton qui aura lieu le 24 juin et qui, au plan politique et de façon générale, favorise le populisme et l’extrême droite. Il risque ainsi de donner au Front National un score élevé, ou du moins assez élevé pour que ce parti puisse maintenir un grand nombre ou au moins un nombre significatif de candidats au second tour des législatives. Il pourrait même obtenir certains députés, en dépit d’un mode de scrutin qui lui est défavorable sans accord de désistements. Les droites étant divisées, alors qu’elles sont très majoritaires en voix, on peut donc envisager un nouveau succès par défaut de la gauche…

Avec un tel résultat électoral et compte tenu du programme dépensier du nouveau Président, cela donne à penser que la France va s’engager dans une période très dure. Au programme, faillite de l’Etat et des régimes sociaux, récession profonde et durable, envolée du chômage, fiscalité de plus en plus confiscatoire au profit de l’Etat et de ses clients de gauche et notamment assistés, ruine au final des classes moyennes qui fondent toute démocratie.

L’installation d’une situation aussi catastrophique pourrait bien résulter de ce carré Uranus-Pluton qui, actuellement et jusqu’en 2013, prend directement en tenailles le Soleil natal de la 5 ème République qui se situe à 5° de la Balance (notre graphique ci-dessous). Il est certes difficile d’en tirer des conclusions trop péremptoires, sauf à tomber dans l’astrologie « traditionnelle » dont les résultats nous paraissent très contestables au plan prévisionnel. Il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un repère et que celui-ci est négatif.

Or, on voit par ailleurs que le programme de la gauche, dépensier et clientéliste à souhaits tout autant que ruineux pour les classes moyennes, est totalement insensé dans la période d’explosion actuelle de l’Euro et de l’Europe pour cause d’endettements et de déficits excessifs. Or, la France n’est à ce titre pas mieux lotie que l’Espagne, son endettement cumulé comme son déficit annuel étant même très largement supérieurs…

Cela donne à penser que le pouvoir socialiste sera rapidement obligé d’effectuer un virage à 180° de sa politique dépensière pour entrer à son tour dans des stratégies d’austérité incontournables. Sa popularité devrait évidemment s’en effondrer rapidement, à la mesure des promesses non tenues et de mesures allant à l’opposé. Cela donne même à penser, si la gauche remporte effectivement les législatives de ce mois de juin, que des élections anticipées seront ensuite assez probables : il paraît en effet difficile à un pouvoir qui s’engage aussi mal de tenir 5 années entières dans un contexte qui s’annonce aussi désastreux. A défaut de respecter l’opinion publique et les électeurs, le pays s’engagerait alors dans la voie d’une dictature de fait…

S’il y avait devant nous des configurations planétaires annonçant un retour de la croissance et de la prospérité, on pourrait sans doute être moins pessimistes pour la France. Mais ce n’est pas le cas, c’est l’inverse, le choc planétaire majeur entre Uranus et Pluton annonçant récessions et faillites d’Etats. S’agissant de la France, inutile par conséquent de rêver comme le font certains à partir de considérations entièrement secondaires comme l’entrée de Neptune en Poissons ou une belle relation Saturne-Pluton en 2013. Ce sera secondaire, car la décroissance de tous les cycles saturniens et le carré Uranus-Pluton sont bien plus importants et annoncent une période longue (jusqu’en 2020) de ruine des Etats et d’appauvrissement général des populations. La seule interrogation qui demeure est celle de l’ampleur et de la profondeur exacte d’un tel marasme…

Jean-François Richard

 

Fondation de la 5ème République

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Les Etats-Unis craquent à leur tour…

Voilà qui ne va pas arranger les affaires d’une Europe en proie à la crise de la dette : après la Chine et l’Inde, voilà les Etats-Unis qui voient leur croissance faiblir significativement et leur taux de chômage remonter au-dessus de 8%.

Tout cela est malheureusement entièrement inscrit dans le grand choc planétaire entre Uranus et Pluton qui va durer jusqu’en 2016. Historiquement, cela provoque à chaque fois des récessions et la faillite ou la menace de faillite d’Etats…

Le pire, pour l’Europe, est d’être confrontée directement et de façon immédiate aux deux maux : la récession ou la quasi récession et la crise de la dette, comme l’illustre la situation de défaut de paiement des régions espagnoles et la panique bancaire. Personne n’est d’ailleurs capable aujourd’hui de dire combien il faudrait pour renflouer les comptes espagnols, nationaux, régionaux et bancaires… Certains avancent le chiffre faramineux de 3.000 milliards d’euros, mais ce pourrait bien être le double…

Le nouveau président français, François Hollande, n’en continue pas moins une politique « anormale » de cadeaux électoraux sur les retraites, le SMIC, l’embauche de fonctionnaires ou la création de postes artificiels pour les jeunes. Il ferait mieux de regarder la situation en face et de préparer un grand plan d’économies sur les dépenses infinançables de l’Etat clientéliste français…

Dans une telle situation, les marchés d’actions ne peuvent évidemment pas résister à une avalanche d’aussi mauvaises nouvelles. Elles ne sont d’ailleurs pas seulement inquiétantes, elles sont affreuses… Les plus solides indices européens ont déjà dévissé en moins de deux mois de plus de -15%, ce qui traduit bien les inquiétudes sur la santé générale du Vieux continent. Etant donné ce que l’on peut cependant redouter à présent sur les semaines et mois à venir, cela n’apparaît cependant pas bien cher payé pour le moment…

Jean-François Richard

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Pleine Lune du lundi 4 juin 2012

 

Un apaisement de courte durée

Et si, contre toute attente, la crise européenne connaissait un subit  apaisement ? Cela nous paraît possible, même s’il risque d’être de courte durée.

Le mercredi 16 mai très pécisément aura lieu un quinconce (angle favorable de 150°) entre Jupiter et Saturne. Or, le cycle entre ces deux planètes concerne au premier chef l’Europe… Il y a donc là matière à apaiser la crise européenne, tant monétaire et budgétaire que politique.

Parmi les hypothèses possibles, on pourrait assister à la formation d’un improbable gouvernement en Grèce ou, peut-être, à une entente toute aussi inattendue entre Angela Merkel et François Hollande sur la gestion de la crise de la dette. Il y a d’autres hypothèses, bien sûr…

Cela dit, le cycle entre Jupiter et Saturne et « en soi » négatif à long terme, depuis la formation de l’angle majeur d’une opposition (angle de 180°) ces deux dernières années. On ne peut donc a priori escompter qu’un soulagement de court terme dans la crise globale européenne et sûrement pas l’esquisse de solutions durables.

D’ailleurs, le jeudi 17 mai, Jupiter formera déjà un sesqui-carré (angle négatif de 135°) avec Pluton, ce qui risque fort de relancer très vite la crise de la dette car Pluton en est le moteur ! Le soulagement européen pourrait ainsi ne durer que quelques brèves journées…

Quinconce Jupiter-Saturne du mercredi 16 mai

Jean-François Richard

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En mai, fais ce qu’il te plaît ?

Le dicton sur les mois de mai pourrait bien se révéler trompeur cette année… En tout cas, les astres posent un évident problème pour ceux qui pensent que la situation générale pourrait s’améliorer, que ce soit en France ou en Europe notamment.

Les pressions récessionnistes en Europe et la crise de la dette dépendent à notre avis d’une grande confrontation planétaire entre Uranus et Pluton (carré de 90°), qui va durer jusqu’en 2016. Ce n’est pas rien… Or, sur ce mois de mai, pour ne rien arranger, la planète Jupiter est elle-même dans une position agressive vis à vis d’Uranus (demi-carré de 45°) et de Pluton (sesqui-carré de 135°).

Que peut-on en déduire ? Qu’il y a un risque d’explosion… Ou plus précisément qu’il y a un risque « potentiel » d’aggravation de la crise de la dette en Europe, voire le franchissement clair et net d’une nouvelle étape désastreuse.

Evitons de jouer les Cassandre, bien sûr. Rien n’est assuré et rien n’est acquis à l’avance. On peut simplement s’inquiéter, sur ce mois de mai spécifiquement, d’une accélération de la crise économique actuelle et de ses répercussions politiques en Europe ou même en France. Et de toute façon, la grande confrontation entre Uranus et Pluton, un peu plus tôt ou un peu plu tard, ne laisse guère de doutes sur l’issue : la crise mondiale de la dette et ses répercussions récessionnistes ne sont qu’à leurs débuts… Les marchés financiers en sont déjà affectés, mais là aussi ce n’est qu’un commencement.

Jean-François Richard

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Pleine Lune du dimanche 6 mai.

La crise, oui la crise…

Petit à petit, l’Europe s’enfonce… La Grande-Bretagne est en récession depuis plus de six mois, l’Espagne subit dégradation après dégradation de ses notes de confiance sur sa dette, la France voit le chômage continuer son envolée et la production industrielle tomber toujours plus bas… Quant aux Etats-Unis eux-mêmes, leur croissance donne d’inquiétants signes d’étiolement…

A tel point que l’opposition Mars-Neptune, lourde car perdurant depuis plus d’un mois déjà, a fini par saper la déjà très relative confiance qui était revenu ces derniers mois sur les marchés financiers. On en est là, alors que la confrontation majeure entre Uranus et Pluton, synonyme de récessions et de faillites d’Etats en est encore au stade de la simple montée en puissance. Cela monte vite, d’ailleurs, mais cette configuration n’est pas encore installée avec toute sa puissance nocive sur l’économie, l’épargne, la démocratie et les libertés.

En France, le second tour de la présidentielle est proche. En dépit des sondages qui donnent François Hollande gagnant, nous avons une préférence pour la réélection de Nicolas Sarkozy. A tort ou à raison… Mais le soir du 6 mai, il y aura répétition presque parfaite d’une forte relation négative par rapport au thème natal d’Hollande (Lune-Jupiter-Neptune), ce qui nous fait douter de son possible succès.

Mais après la présidentielle, il y aura aussi les législatives ! Sur ce mois de juin, nous aurons un conflit entre Jupiter et Neptune (carré de 90°). Or, ce cycle est le plus important pour la France et, dans un telle configuration, il plaide en faveur d’une alternance politique ou, à défaut, d’une cacophonie politique qui pourrait résulter d’une chambre ingouvernable, faute de majorité.

Les faits semblent d’ailleurs déjà devancer l’analyse astrologique que l’on peut faire… Si la gauche n’a aucun complexe à faire alliance avec les staliniens du PCF, la droite conservatrice de l’UMP refuse toujours tout accord, même a minima, avec le FN de Marine le Pen… Or, le FN a fait 18% des voix au premier tour de la présidentielle.

Compte tenu du mode de scrutin des législatives, on peut déjà être certains qu’il y aura des triangulaires et que cela favorisera de façon déterminante la gauche. Elle devrait donc remporter les législatives, non par adhésion des électeurs, mais par défaut et divisions des droites…

Quand ce schéma se vérifiera, la porte sera alors définitivement ouverte pour une crise politique majeure et aigüe… Elle passera très probablement par l’implosion de l’UMP et des révisions déchirantes. Cela constituera le pendant politique de l’inévitable faillite de la France et d’un « modèle social » ahurissant, qui transforme en pauvres les classes moyennes ou populaires sous prétexte d’accorder toujours plus à une caste parasitaire d’assistés professionnels et d’agents de l’Etat. Voilà où nous mènera l’inconsistance du « changement maintenant » prôné par la gauche française et François Hollande…

Jean-François Richard

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Situation planétaire au lundi 30 juin.

A quand la débâcle ?

La crise de la dette ne cesse de creuser son petit bonhomme de chemin, l’Espagne, l’Italie et le Portugal se retrouvant en fâcheuse posture. Il n’y a encore rien de dramatique, mais on se situe quand même au bord d’une nouvelle charnière.

Le grand conflit entre Uranus et Pluton (jusqu’en 2015…) laisse peu de doutes sur l’évolution de la situation, mais peut-être à partir d’un élément qui est largement sous-estimé aujourd’hui : la menace récessionniste ! Historiquement en effet, les conflits entre Uranus et Pluton mènent non seulement des Etats en situation de faillite mais a également un effet profondément dépressif sur l’économie.

Les perspectives de l’Europe du Sud sont déjà négatives cette année. Elles sont cependant probablement sous-estimées, tandis que la présidentielle française, au lieu de se polariser sur les moyens de redresser des finances publiques dans un état apocalyptique, s’est focalisée sur des sujets secondaires et des effets de manches. D’ici quelques mois, le débat politique français apparaîtra encore plus clairement pour ce qu’il est : tout simplement grotesque !

Il peut y avoir pire… Uranus se situe en ce moment en face du Soleil natal de la 5ème République. Cela implique normalement de sérieux déboires à venir et concerne notamment la gestion des finances du pays. Or, celles-ci, indépendamment de leur gestion si clientéliste et ruineuse pour les contribuables comme les entreprises, dépend en partie de la croissance. François Hollande comme Nicolas Sarkozy continuent à penser qu’elle va tomber du ciel, se situer à 0,5% cette année et 1,70% environ l’an prochain.

Mais si l’on se fie au conflit entre Uranus et Pluton, ce seront plutôt ces chiffres au négatif qu’il faudrait envisager, et peut-être même des chiffres beaucoup plus négatifs… Ce sera d’autant plus facilement le cas, que les seules solutions envisagées passent toutes par des hausses d’impôts, essentiellement dans le programme socialiste, alors que la croissance française est déjà anémique depuis 35 ans à cause du rôle prédateur de l’Etat sur la richesse nationale. Ce sera bien pire dans les mois à venir, la banqueroute devant logiquement succéder au clientélisme à crédit…

Il existe donc une première possibilité que la crise de la dette et la récession viennent déjà frapper la France sur les mois à venir, dans la foulée de l’Europe du Sud. Toute la construction européenne, si bureaucratique et coûteuse, en serait ébranlée jusque dans ses fondements et la peau de l’euro ne vaudrait alors plus très cher… C’est ce qu’indique déjà le passage de l’opposition entre Jupiter et Saturne, si néfaste pour le Vieux Continent, sa coordination tant politique que monétaire.

Dans l’immédiat, on assiste à une première purge sur les marchés d’actions depuis un mois, ce qui correspond pour le moment à l’anticipation par les investisseurs d’une impossibilité pour l’ l’Europe de renouer avec une vraie croissance. Demain, ils anticiperont peut-être pire, très probablement en fait…

L’opposition actuelle entre Mars et Neptune, si redoutable car en place depuis la fin mars et qui sera encore très fortement présente jusqu’au début mai, est en train de faire tomber toutes les illusions de ces derniers mois. Elle prépare ainsi le terrain pour de nouveaux développements peu heureux, notamment en Europe mais aussi aux Etats-Unis.

Certes, cette semaine, le Soleil et Mercure vont sans doute venir apaiser un peu les ardeurs guerrières de Mars vis à vis de Neptune. Sur le fond, cela ne fera pas une grosse différence, même si les marchés s’en trouveront peut-être un peu soulagés.

Jean-François Richard

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Situation planétaire au lundi 23 juin.

 

Le ver est-il dans le fruit ?

La baisse brutale des places boursières depuis le 20 mars a jeté un joli froid sur les marchés et, en Europe, les indices ont plongé en deux semaines d’environ -10%. La faute à Neptune qui, subissant une longue opposition de Mars, a largement semé le doute sur la reprise de l’économie américaine comme la gestion de l’impossible dette européenne…

Heureusement, Uranus reçoit l’influence favorable de Vénus et des Noeuds Lunaires, ce qui est susceptible de ramener un peu d’oxygène et de réduire le pessimisme. Cette influence devrait apaiser les récentes tensions, au moins provisoirement et ponctuellement.

Cependant, le poison de l’opposition de Mars à Neptune va demeurer… Et même jusqu’au début du mois de mai. C’est ici la consommation des ménages, l’inflation et les prix du pétrole qui sont les plus concernés. On le voit bien avec l’emploi américain qui vacille à nouveau, comme avec l’inflation qui prend de la vigueur et s’établit par exemple à +2,3% en France sur un an.

D’autres mauvaises surprises sont probables, même si les marchés ne peuvent évidemment pas baisser en ligne droite et qu’ils procèdent toujours par vagues successives. Ceux qui pensent que la situation va se stabiliser risquent ainsi d’en être pour leurs frais.

Le ver est en effet dans le fruit. Le ralentissement de la croissance mondiale semble bel et bien amorcé tandis que la crise de la dette apparaît de plus en plus incontrôlable. Le retour progressif sur les devants de la scène du grand conflit entre Uranus et Pluton (récessions et faillites d’Etats notamment) laisse a priori peu de doutes sur une telle évolution, même si ce n’est pas à quelques semaines près. Pour le moment, on en est toujours à voir quelques belles illusions se briser et le doute s’installer… Le pire est encore à venir.

Jean-François Richard

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Le trio positif Uranus-Vénus-Noeuds lunaires + l'opposition Mars-Neptune au lundi 16 avril

Un poison nommé Mars-Neptune

Ce n’est pas encore la débandade sur les marchés d’actions, mais il ne faut pas pour autant négliger l’alerte de la semaine passée. Elle ressemble à une petite répétition générale en bonne et due forme…

Uranus et Neptune, sur le fond, ont conduit la belle reprise des marchés depuis le mois de septembre dernier. Ce n’est pas rien, un vaste rebond de 30 à 40% sur les indices européens…

Oui mais il ne faut quand même pas rêver, la crise de la dette est loin d’être terminée, elle vient juste de commencer… Et la récession frappe à nos portes, conflit majeur et croissant entre Uranus et Pluton oblige : il va bientôt reprendre du service en direct et sans doute casser la petite embellie de l’économie américaine depuis quelques mois.

Dans ce contexte de transition, voilà venu le temps des doutes… Dans son mouvement de rétrogradation (tous les deux ans), Mars vient actuellement se positionner en opposition de Neptune. Ce n’est pas une mince affaire, puisque cela va s’étendre de cette fin mars jusqu’à la mi-mai prochaine ! Un vrai poison, en résumé…

Neptune se trouve ainsi agressé par Mars sur une longue période. Or, Neptune représente tout ce qui a trait à l’aide des Etats à l’économie, aussi bien les efforts désespérés de l’Eurogroupe pour contenir l’ingérable dette du Vieux Continent que ceux des banques centrales qui pensent que la monétisation évitera la débâcle et permettra un retour de la croissance. Cela ne marchera évidemment pas et Mars est en train de commencer à jeter le doute. Il n’a pas fini… Regardez d’ailleurs l’Espagne ou le Portugal, dans le pur sillage de la Grèce et en attendant la contagion généralisée…

Au plan politique, cette opposition Mars-Neptune est tout aussi redoutable car favorisant les extrêmes de gauche les plus nébuleux. On le voit notamment en France avec le succès du si grossier Jean-Luc Mélenchon : sa seule proposition d’un SMIC à 1.800 euros obligerait les trois-quarts des entreprises françaises à mettre la clé sous la porte ! Mais quand on est stalinien et qu’on n’a jamais travaillé de sa vie dans une entreprise privé, bien sûr, tout cela n’est qu’un détail sans importance…

On le voit aussi en Grèce, où les trois formations d’extrême gauche, toutes plus délirantes et extrémistes les unes que les autres, sont désormais en tête des sondages pour les prochaines élections législatives qui devraient sans doute avoir lieu le 6 mai prochain. Si Mars prépare effectivement le terrain en ce sens, les bureaucrates de Bruxelles pourront en avaler leurs jolies cravates de chez Dior ou Cardin : les 350 milliards d’euros volés au contribuables ou spoliés aux épargnants européens partiraient alors en fumée ! Bienvenue alors dans une nouvelle étape de la crise européenne, celle où tous les Européens voudront pendre les Eurocrates comme de vulgaire jambons à fumer…. Ils le méritent d’ailleurs mille fois avec les augmentations de 4,7% de leurs « salaires » et autres « traitements » déjà somptuaires !

Jean-François Richard

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Opposition Mars-Neptune au lundi 2 avril

 

Portrait d’un tueur fanatique

Les bas-fonds de la société affectionnent un mauvais Pluton, qui les réveille comme une véritable armé de zombies assoiffés de sang ! Mohammed Merah en fait partie…

Arrivés au stade si cruel du grand carré Uranus-Pluton (2012-2015 en étant très stricts et 2008-2018 en étant larges), inutile de s’étonner de la multiplication de faits divers plus atroces les uns que les autres ou d’un fanatisme barbare et sanglant. Pluton concerne non seulement le crime de façon générale, mais aussi les guerres et le terrorisme sous toutes ses formes. Peut-on le vérifier avec le monstre Mohammed Merah ? Oui… Le grand carré entre Uranus et Pluton est mis en valeur durant ce mois de mars par la présence du Soleil et de Mercure en Bélier et en conjonction d’Uranus (donc eux aussi au carré de Pluton). Il y a même pire, du moins pour ceux que la géométrie n’effraye pas et qui savent calculer un barycentre, ou point d’équilibre, entre une collection de planètes au sein de notre système solaire. Résumons grossièrement le calcul, effectué autour du 15 mars dernier, soit au milieu de la vague de tueries : de Neptune situé à 1° des Poissons en passant par le Soleil vers 25° des Poissons, Uranus vers 4° du Bélier, Mercure vers 6° du Bélier, Jupiter à 9° du Taureau et Vénus à 10° du Taureau, on trouve au jour près un barycentre se situant à presque 9° du Bélier : SOIT AU CARRÉ PARFAIT DE 90° A PLUTON ! Six planètes qui se liguent ensemble contre Pluton au même moment et dans une figure géométrique absolument parfaite, oui il y a de quoi susciter l’apparition d’un monstre sanglant et d’actes de terrorisme de première ampleur…

Si l’on regarde ensuite les coordonnées de naissance de Mohammed Merah (10 octobre 1988), on s’aperçoit qu’il est né lors d’une conjonction Saturne-Uranus au demi-carré (45°) de Pluton. De sa naissance jusqu’à ses meurtres et sa propre mort, le cycle Uranus-Pluton est donc passé d’un demi-carré de 45° à un carré de 90°, parfaite boucle planétaire cyclique au plan négatif. D’une certaine façon, l’horreur de ce mois de mars était inscrite dans ses gènes ou, en tout cas, on en retrouve sans aucune difficulté la matrice originelle…

En s’arrêtant par ailleurs sur le terrorisme islamiste, il a pris naissance au Liban en 1982 avec les premiers attentats ou enlèvements d’Occidentaux de sinistre mémoire. L’année 1982, c’est celle d’une conjonction Saturne-Pluton, représentant la nouvelle menace internationale après l’enterrement de la guerre froide du cycle précédent qui avait débuté en 1947 (conjonction précédente). Le coup d’éclat de ces fanatiques islamistes, ce fut bien sûr les attentats du World Trade Center en septembre 2001 lorsque Saturne et Pluton en étaient arrivés au cap majeur et si destructeur de l’opposition (angle majeur de 180° et tournant du cycle).

Pour en revenir à Mohammed Merah, son thème natal collectionne la panoplie « potentielle » du parfait terroriste : non seulement un demi-carré entre Uranus et Pluton mais aussi un second demi-carré entre Saturne et Pluton. On voit ainsi clairement le lien entre un petit délinquant de banlieue devenu fanatique, le mouvement terroriste barbare auquel il finit par attacher son destin et les conséquences sanglantes qui en découlent…

Etait-ce pour autant prévisible ? Au plan général, oui, le carré Uranus-Pluton l’indiquant clairement dans la période actuelle, de même que le cycle Saturne-Pluton. Et cela fait des années que je mentionne régulièrement ce risque majeur… Et sur ce mois de mars précisément ? Oui, à condition d’avoir à l’avance calculé le barycentre des 6 planètes mentionnées plus haut, puisqu’elles agressent frontalement Pluton… Mais personne ne l’a fait, et moi-même pas davantage, du moins pas sur une échelle aussi large. Au moins peut-on désormais comprendre par l’astrologie moderne que cette « mi-mars » n’était pas anodine et de relier clairement des événements tragiques au mouvement implacable de notre système solaire. Est-ce si étonnant ? Non, je ne le crois pas…

C’est aussi la France qui est concernée par cette affaire, la 5ème République (28 septembre 1958) ayant son Soleil natal à 5° de la Balance, c’est à dire le point le plus « vital » de son thème de naissance. Un Soleil pris en tenailles par Uranus et Pluton entre 4° du Bélier et 9° du Capricorne, renforcées sur ce mois de mars par Mercure et le Soleil notamment. Et ce n’est pas fini, les déconvenues nationales pouvant être bien diverses dans la période actuelle… La seule planète Uranus (sans même utiliser divers barycentres possibles) sera en opposition frontale à ce Soleil natal au mois d’avril. Un repère parmi d’autres…

Cela dit, Uranus et Pluton, comme nous l’avons détaillé dans une analyse précédente, posent aussi le problème de l’immigration. Sur ce plan, comment ne pas voir que la sanglant Mohammed vivait du travail des autres, véritable assisté professionnel cumulant le RSA, les allocations logement et les mille autres avantages qui en découlent… La collectivité lui assurant si généreusement son ordinaire, voilà notre oisif patenté qui avait tout le temps d’aller braquer épiciers ou pompistes pour monter son arsenal militaire et même le tester en allant voyager pour en apprendre le maniement !

Et si… Et si cet assistanat n’avait pas existé, il aurait bien fallu que la petite terreur travaille, ce qu’il aurait immanquablement fait puisqu’il avait une formation en carrosserie. Fatiguant, d’ailleurs, la carrosserie… Cela lui aurait peut-être fait passer son dynamisme de petit braqueur déjà condamné 15 fois, cela lui aurait peut-être évité de se passionner pour les armes de guerre et de pouvoir en acheter, cela lui aurait peut-être évité des vacances fatigantes dans les montagnes afghanes, etc. Bref, au lieu de fantasmer comme le font tous les assistés sur des paradis inaccessibles, il se serait peut-être même intégré par un vrai travail !

Voilà ainsi ce grand carré Uranus-Pluton qui pose la question de l’assistanat de masse et du multiculturalisme de complaisance qui mènent à l’immigration sociale parasitaire et au rejet du pays d’accueil. On n’a pas fini d’en parler, cette configuration planétaire s’installant dans la durée… Nul doute qu’elle remette aussi au goût du jour la définition d’une Nation ! Dans la douleur, certes…

Jean-François Richard

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Thème natal de Mohammed Merah et des conflits de Saturne et Uranus à Pluton

Pourquoi Nicolas Sarkozy pourrait l’emporter ?

Eh oui, Nicolas Sarkozy nous semble toujours avoir d’assez bonnes chances de remporter l’élection présidentielle, tout simplement parce qu’il bénéficie en ce moment du cycle planétaire le plus important pour la France : celui entre Jupiter et Neptune. Ce n’est pas une garantie absolue, certes, mais c’est un repère incontournable dés que l’on veut faire de l’astrologie sérieusement !

J’en profite pour régler quelques comptes amicaux avec certains de mes amis ou relations chez les astrologues. Non pour alimenter des polémiques, mais parce que j’ai des convictions profondes et argumentées sur le maniement des cycles planétaires… Et que je me désole chaque jour de voir, que ce qui devrait être le ba-ba de l’astrologie est totalement inconnu au royaume des… astrologues ! C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je ne me suis jamais senti « astrologue »…

Ainsi, nombre d’astrologues prévoient la victoire de François Hollande… en se basant sur son thème natal. Désolé, ce n’est pas comme ça que ça marche ! D’ailleurs, cela n’a jamais marché, il suffit de voir la caricature de l’astrologie, Elizabeth Teissier, s’être systématiquement trompée à chaque consultation nationale. C’est dire : elle n’avait pourtant qu’une chance sur deux de se planter…

Le rôle majeur de Jupiter et Neptune

Pour apprécier une élection politique, il faut aller « au-delà » des thèmes des candidats. Le repère absolument « incontournable », c’est d’abord d’examiner ce qui fait « vibrer » un pays au plan astral. C’est de là qu’il faut partir, c’est la règle de base intangible et cela paraît quand même frappé au coin du bon sens ! Pourtant, absolument AUCUN astrologue ne procède ainsi : chacun y va de sa petite sauce personnelle, sans repères, sans règles et sans méthode… Comment voulez-vous que l’échec ne soit pas au rendez-vous, et pas seulement au plan politique !

Je prends un exemple avec les Etats-Unis, qui « vibrent » principalement au rythme du cycle Saturne-Uranus. Quand Barack Obama a été élu début novembre 2008, ce cycle planétaire arrivait au cap « majeur » de l’opposition (angle de 180°), ce qui impliquait comme étant « le plus probable » un changement politique majeur. Et ce fut le cas avec l’élection d’un démocrate en remplacement d’un Républicain, à un moment d’autant plus crucial que la récession issue de la crise des subprime faisait rage.

La France, pour sa part, « vibre » d’abord au rythme du cycle Jupiter-Neptune, si représentatif d’une République qui, de part sa constitution, se définit notamment comme « sociale ». Or, Neptune, c’est le social… La 1ere, la 4ème et la 5ème République ont chacune été fondée pile-poil sur une conjonction Jupiter-Neptune, c’est à dire sur l’angle majeur de 0° qui renouvelle le cycle de ces deux planètes.

Si l’on examine par ailleurs les élections présidentielles depuis la 5ème République et l’élection du président au suffrage universel, on s’aperçoit vite d’une règle qui semble bien FONDAMENTALE : à chaque relation favorable entre Jupiter et Neptune, c’est le camp sortant qui remporte à nouveau l’élection; et à chaque relation conflictuelle entre Jupiter et Neptune, on assiste à une alternance politique. Ce n’est quand même pas compliqué de s’en rendre compte, il n’y a eu que 8 élections présidentielles depuis la première en 1965 !

Ainsi, la stabilité politique a prévalu en 1965 (De Gaulle), 1969 (Pompidou), 1988 (2ème mandat de Mitterrand), 2002 (2ème mandat de Chirac) et 2007 (Sarkozy), alors que Jupiter et Neptune formaient des angles, aspects ou relations POSITIVES. A l’inverse, l’alternance a prévalu en 1974 (Giscard qui était un libéral et non un Gaulliste), 1981 (Mitterrand) et 1995 (Chirac), alors que Jupiter et Neptune formaient des angles, aspects ou relations NÉGATIVES.

Voilà la première règle de base à examiner pour toute élection présidentielle en France !

Or, que constate-t-on en ce moment ? Jupiter et Neptune forment depuis décembre 2011 une relation POSITIVE, sous la forme d’un long sextile (angle positif de 60°). Sur un plan « tendanciel », cela favorise le camp sortant, et donc Nicolas Sarkozy. On constate d’ailleurs que la campagne de François Hollande est tout sauf convaincante, quelques soient les options partisanes que l’on peut avoir : il prétend réduire les déficits mais veut engager 60.000 de ses copains en plus comme fonctionnaires à l’Education Nationale, il abolit un jour le quotient familial et le rétablit quelques jours plus tard, il veut taxer à 75% les « riches » et veut une semaine plus tard plafonner la fiscalité à 85% des revenus, etc. A l’inverse, chacun a pu voir, indépendamment de son programme bien sûr, que Nicolas Sarkozy a marqué des points ces dernières semaines en « apparaissant » beaucoup plus cohérent, convaincant et rassurant dans ses propositions. Résultat, les deux hommes sont désormais au coude à coude dans les sondages… C’était bien loin d’être acquis il y a encore quelques semaines, Nicolas Sarkozy peut vraiment remercier Jupiter et Neptune !

Ce n’est pas tout… Jupiter et Neptune, dans leur mouvement naturel en avant, vont former le 4 avril prochain un quintile, c’est à dire un nouvel angle POSITIF de 72°. Cela devrait encore favoriser le « camp sortant » et donc Nicolas Sarkozy, alors que le premier tour de la présidentielle aura lieu à peine 15 jours plus tard…

Est-ce que c’est suffisant pour assurer la réélection du président sortant ? Franchement, je n’en sais rien, même après la leçon a priori percutante des 8 précédents scrutins présidentiels et du cycle Jupiter-Neptune… Prévoir le résultat d’un scrutin politique, qui dépend notamment d’une série de considérations purement techniques, est un exercice qui doit être manié avec beaucoup de modestie. A mon avis… Il y a tellement d’autres domaines où l’astrologie peut exceller, mais celui-ci est le plus casse-gueule. Mais verrez-vous un astrologue ne serait-ce que le reconnaître ? Non, puisque les astrologues travaillent sans repères et sans règles, donc en aveugles. Alors, quitte à être aveugle, autant l’être jusqu’au bout… Mais pour ce qui me concerne, je remarque simplement et uniquement que Nicolas Sarkozy est « plutôt » favorisé et son principal adversaire « plutôt » défavorisé dans les circonstances actuelles du cycle Jupiter-Neptune. Voilà…

Seul problème avec le schéma que je présente, le cycle Jupiter-Neptune va ensuite se diriger vers un carré (angle de 90°) NÉGATIF. C’est un facteur d’alternance politique, évidemment, qui va arriver assez rapidement et à la fin  au mois de juin suivant. Mais ce carré sera encore éloigné en mai et surtout au moment du second tour le 6 mai. Il me semble donc qu’il ne faut donc pas en tenir compte pour la présidentielle… Cela dit, il aurait été infiniment plus confortable au plan prévisionnel que ce carré négatif n’intervienne que 6 mois ou un an plus tard. Mais ce n’est pas le cas et il faut donc trancher. Or, il me semble pertinent de considérer que l’élection elle-même sera de toute façon beaucoup plus influencée par deux facteurs positifs (sextile et quintile) qui auront émaillé les 6 mois précédents, plutôt que par un élément négatif d’alternance qui n’est pas encore en place et ne le sera que plus d’un mois et demi plus tard… Il faut cependant reconnaître que le contexte de cette présidentielle n’est pas aussi parfait ou simple qu’on aurait pu le souhaiter, du point de vue de ce cycle Jupiter-Neptune. Mais le mentionner et le reconnaître, c’est aussi accepter les limites qu’impose le maniement de l’astrologie…

Hollande défavorisé par la Lune, Jupiter et Neptune

Rajoutons un autre élément favorable à Nicolas Sarkozy en ce moment, sous la forme d’un quintile positif Saturne-Pluton qui va être exact le 28 mars prochain et va demeurer très présent jusqu’au 6 mai. Or, le cycle Saturne-Pluton est celui de la famille gaulliste et conservatrice française depuis sa fondation en 1947 (RPF) sur une conjonction Saturne-Pluton. Cela n’est pas un facteur déterminant pour le résultat d’un scrutin, autant que l’histoire politique puisse nous l’enseigner… Cela dit, c’est tout de même un facteur favorable qui, au minimum, devrait dynamiser la campagne électorale de Nicolas Sarkozy. A l’inverse, la gauche, qui dépend essentiellement de Neptune, devrait subir une opposition négative Mars-Neptune qui est déjà présente mais va encore se renforcer et sera très présente jusqu’aux deux tours de scrutin. Ce n’est pas non plus déterminant, mais ce n’est évidemment pas un atout au plan purement « électoral » pour la candidature de François Hollande…

Un autre élément ne peut que frapper un observateur attentif des cycles planétaires et non un idéologue de l’astrologie comme il y en a tant. Le soir du second tour de la présidentielle, le 6 mai prochain, il va se produire une petite configuration planétaire triangulaire qui n’est pas belle : elle va mettre aux prises une opposition de la Lune à Jupiter qui va se situer au carré de Neptune. Autrement dit, il va y avoir un petit conflit planétaire entre la Lune, Jupiter et Neptune. Et si l’on regarde, on y vient maintenant seulement… le thème natal de François Hollande, on constate qu’il a à la naissance… une opposition de la Lune à Jupiter au carré de Neptune ! Autrement dit, exactement le même conflit planétaire que celui qui va se produire le soir du 6 mai…

Alors, je sais bien que nombre de mes amis astrologues vont chercher à minimiser ce conflit planétaire du 6 mai pour aller chercher d’autres arguments plus favorables à Hollande. D’accord… Personnellement, je préfère m’arrêter à celui-là, car il me semble IMPOSSIBLE de faire l’impasse dessus. La répétition de ce conflit planétaire, présent au moment de la naissance de François Hollande comme le soir du 6 mai prochain, ne peut qu’interpeller très fortement celui qui essaye de comprendre comment peuvent bien fonctionner les cycles planétaires. Et une conclusion simplement « possible », c’est que cela signe la fin des ambitions politiques les plus importantes de François Hollande. Ou, en tout cas, que cela ruine d’un coup les espoirs que le candidat socialiste pensait satisfaire avec cette élection.

C’est une analyse. Bien sûr, et elle est forcément fragile. Mais au moins elle part de règles de base que ne connaissent pas et ne veulent pas connaître les astrologues; et d’autre part, elle s’appuie sur des éléments qui ne seront peut-être pas déterminants mais qui, au moins, ne peuvent être écartés d’un revers de main. Or, aucun d’entre eux n’a seulement été examiné à ma connaissance dans les nombreux pronostics astrologiques effectués pour cette présidentielle.

Mais ce n’est pas tout, puisque après la présidentielle il va y avoir les législatives en juin. Or, dans le mouvement naturel de Jupiter et Neptune et comme indiqué précédemment, celles-ci vont se situer à proximité immédiate d’un carré entre les deux planètes, autrement dit un angle NÉGATIF de 90° qui sera exact le 25 juin prochain. Aie… Cela risque en effet de se corser, puisqu’il s’agit d’un puissant facteur d’alternance politique et que le scrutin législatif est prévu les 10 et 17 juin… Il est donc fort possible que l’UMP perde la majorité à l’Assemblée Nationale et que ces législatives imposent alors une cohabitation droite-gauche avec un Premier ministre socialiste ! Envisageons aussi une alternative possible à ce schéma « classique » : que le Front National arrive à pénétrer le Palais Bourbon, rendant l’Assemblée ingouvernable faut d’une majorité absolue de l’UMP ou du PS…

En résumé, on se mire dans la présidentielle… Et si la véritable surprise venait plutôt des législatives qui vont suivre ? En tout cas, il s’agit là d’éléments de réflexion qui me paraissent argumentés à partir des cycles planétaires et qui ne relèvent pas de la simple boule de cristal. Mais c’est à prendre de cette façon, et non comme une recette toute faite qui indiquerait, à coup sûr et de façon tout à fait miraculeuse, le résultat de toutes les consultations politiques…

Jean-François Richard

 

Graphique au 19 mars sur le cycle Jupiter-Neptune

 

 

Pluton hors du temps…

L’insoluble dette grecque vient une nouvelle fois d’être… solutionnée ! Il en coûte maintenant 350 milliards d’euros, dont la spoliation de 100 milliards qui ne suscite guère de critiques : si les Français savaient que cela revient à effacer purement et simplement quelques lignes au sein de leurs contrats d’asurance-vie, ils seraient peut-être un peu meilleurs en économie et plus attentifs à la bonne gestion des Etats…

Toujours est-il que cet énième sparadrap grec, c’est à dire un mauvais adhésif bien sûr, correspond très bien à la belle réunion actuel de Jupiter et Pluton. Notre Si débonnaire Jupiter vient ainsi apaiser la crise de la dette, si bien représentée par Pluton… Cette crise effroyable est donc oubliée. Oubliée une nouvelle fois, pourrait-on dire…

En fait, on se satisfait très bien de ce nouvel accord sur la Grèce, d’autant plus facilement que la croissance américaine se conforte vaille que vaille. Uranus et Neptune veillent sur ce plan là, leur impact pour encourager l’intervention des Etats au secours d’une économie vacillante n’étant plus à démontrer depuis les plans de relance de 2009.

Tout cela donne l’impression que la crise de la dette est enfin sous contrôle et que le prochain retour d’une croissance solide mondiale n’est qu’une question de mois. Cette illusion durera le temps du vol d’une hirondelle au printemps… Le retour prochain du grand carré Uranus-Pluton, symbole de faillite des Etats et de récession, dissipera assez vite le malentendu actuel.

Mais dans l’immédiat, profitons de l’effet bien apaisant de Jupiter avec Pluton, qui sera d’ailleurs suivi un peu plus tard d’un joli quintile de Saturne au même Pluton. La fin de l’hiver est rêveuse ? Sans doute, mais heureusement qu’il y a quelques embellies avant d’affronter le choc suivant…

Trigone Jupiter-Pluton du 13 mars, bien relié également à Vénus et Mars.

Jean-François Richard

http://www.bourseanticipations.com

L’effondrement de l’immobilier a commencé !

Les experts tablent désormais sur une baisse modérée des prix de l’immobilier cette année en France, voire sur quelques années… Ils auront tort et se planteront tout autant que quand ils annonçaient il y a quelques mois une hausse des prix cette année !

Astrologiquement, le repère est très fort pour être convaincus d’un tout autre schéma… Depuis 2010, une opposition (angle négatif majeur de 180°) entre les planètes Jupiter et Saturne a eu lieu et elle est maintenant totalement installée. Or, ce cycle planétaire a une influence majeure sur le bâtiment et l’immobilier et, dans le cas de l’opposition, c’est toujours l’annonce d’une baisse forte des prix.

La hausse récente des prix dans les principales capitales occidentales (un bon repère) a débuté au tout début des années 2000 sur une conjonction (angle positif majeur) entre Jupiter et Saturne. Voici venu le retour de bâton avec l’opposition…

Juste un élément rapide de comparaison avec les effets de la précédente opposition Jupiter-Saturne, celle de 1889-1990 : les prix ont chuté à Paris jusqu’en 1997 d’environ -35/-40%…

Dans le désastreux contexte économique actuel, la baisse des prix de l’immobilier ne se limitera donc pas aux -5 à -10% que prévoient nos gentils experts. Elle sera infiniment plus forte ! Sans doute ne sera-t-elle pas inférieure à -50% mais, en d’autres circonstances après le passage d’une telle opposition, on a déjà assisté aussi à du -80%…

La baisse a donc franchement démarré dans les derniers bastions, c’est à dire les grandes villes d’Europe et des Etats-Unis qui résistaient encore jusqu’ici. Elle pourrait s’étendre jusqu’e vers 2020 et la prochaine conjonction entre Jupiter et Saturne…

S’il y a lieu d’être très pessimistes pour l’immobilier sur les années à venir, c’est d’abord en raison de cette opposition planétaire entre Jupiter et Saturne. Mais aussi parce que les autres cycles planétaires poussent à la récession et aux faillites d’Etats (carré Uranus-Pluton jusqu’en 2016), puis à l’hyper-inflation (demi-carré Uranus-Neptune de 2016 à 2018) et enfin à une nouvelle récession (approche d’une conjonction Saturne-Pluton de 2018 à 2020). Dans ces conditions, la baisse des prix de l’immobilier risque d’être… très puissante !

 

Jean-F

Etat de l'opposition Jupiter-Saturne au 5 mars 2012

rançois Richard