Les famines guettent…

A cause de l’invasion de l’Ukraine, des risques majeurs de famine et de disettes, notamment en Afrique et dans certains pays asiatiques, vont frapper la planète entière. La faute au conflit Uranus-Neptune depuis 2017.

Avec l’astrologie moderne, c’est facile de prévoir les périodes de famine qui sont généralement dues à de mauvaises récoltes agricoles, des guerres ou des maladies frappant telle ou telle culture. Il suffit de regarder le tandem planétaire Uranus-Neptune qui, à chaque conflit entre ces deux planètes, provoque ces drames alimentaires. Dans un précédent livre « La crise vue par l’astrologie » – Éditions Trajectoire, j’avais correctement prévu la période actuelle. Ce livre date de 2009…

Les cultures d’Afrique de l’Est ont déjà été ravagées par des invasions de sauterelles ces dernières années. A présent, c’est l’invasion de l’Ukraine, le grenier à blé de l’Europe, qui provoque une hausse violente des prix agricoles et, d’ici quelques semaines ou quelques mois, les premières disettes et famines à travers le monde, y compris peut-être en Russie. L’ONU redoute des famines sans précédent depuis longtemps.

On peut facilement se convaincre du mauvais rôle d’Uranus et Neptune sur l’alimentation mondiale quand ces deux planètes sont en conflit. Une petite liste remontant au début du 19ème siècle est assez édifiante :

– Milieu des années 1970 et demi-carré négatif de 45° Uranus-Neptune : famine au Bengladesh et 1 million de morts. Sécheresse en 1976 en Europe, mauvaises récoltes et « impôt sécheresse » en France.

– 1955 à 1958 et carré négatif de 90° : famine en Chine en 1959 et 15 millions de morts au minimum.

– 1932-1933 : sesqui-carré négatif de 135° : collectivisation forcée des campagnes en Russie et en Ukraine par Staline et 15 à 20 millions de morts.

– 1908-1910 : opposition négative de 180° a l’effet durable : famine en Chine de 1907 à 1911 et 25 millions de morts. Famines à partir de 1914 à cause de la première mondiale en Afrique du Nord, puis en Allemagne et en Russie notamment.

1886-1887 : sesqui carré négatif de 135 ° : Famine au Québec à cause de mauvaises récoltes provoquées par des froids inhabituels. Troupeaux de bovins décimés aux États-Unis, hausse brutale du prix de la viande. Période qualifié d’ « effondrement de l’empire du bétail » à cause de deux hivers au froid intense.

– 1868 à 1871 : carré négatif de 90° : mauvaises récoltes en Europe et émeutes de la farine dans la péninsule italienne. Disette à Paris début 1871 à cause de l’encerclement de Paris par les troupes prussiennes.

– 1848-1849 : demi-carré négatif de 45° : mauvaises récoltes, surtout en 1846. Maladie de la pomme de terre à cause du parasite du Mildiou. Famine historique en Irlande avec 1 million de morts et exil massif des survivants vers les États-Unis et le Canada.

– 1802-1803 : demi-carré négatif de 45° : « émeutes de la faim » en France à cause de mauvaises récoltes en 1801.

On pourrait ainsi remonter jusqu’à l’aube de l’humanité… A chaque mauvais passage entre Uranus et Neptune, on trouve ainsi diverses tragédies liées à des famines. C’est en fait Neptune le responsable, qui représente de façon plus générale la consommation. Avec un Uranus agressif, les résultats sont caricaturaux. Mais parfois, cela peut provenir de Jupiter, Saturne ou Pluton.

En tout cas, les conséquences de l’invasion bestiale de la Russie en Ukraine sont déjà présentes et elles vont s’aggraver sur les mois à venir. On sait que le névrosé Poutine n’a aucune humanité et qu’il ne fera donc rien de positif pour limiter les conséquences de sa violence criminelle.

Heureusement, le conflit actuel entre Uranus et Neptune a débuté en 2017 (premier demi-carré négatif de 45° exact) et ce choc planétaire est en train de se diluer. L’angle est presque à présent de 50° et il atteindra l’été prochain 53° : le confit Uranus-Neptune sera alors dépassé, même si les conséquences vont hélas continuer à se faire sentir sur les mois à venir.

Carte du ciel du demi-carré Uranus-Neptune dont l’orbe fait désormais plus de 49° :

La nouvelle menace planétaire

L’invasion de l’Ukraine par la Russie tourne une page des relations internationales. Cela peut être mis en parallèle avec le cycle Saturne-Pluton : il concerne notamment les menaces contre la paix et la stabilité mondiale et son cycle de 35 à 40 ans s’est renouvelé il a y a deux ans.

Si l’on veut se convaincre de l’influence du cycle entre Saturne et Pluton sur la stabilité mondiale, il suffit de les examiner sur les décennies et siècles passés. Bien sûr, plus on remonte loin et moins on trouve logiquement de correspondances car la planète était moins mondialisée

Mais examinons tous les cycles depuis la révolution française :

– Conjonction Saturne Pluton en 1786 et cycle de 1786 à 1819 : cela encadre parfaitement les guerres de la révolution française et surtout celles de l’Empire qui a suivi. Il y a eu plus de 3 millions de morts en Europe et tout l’Occident en a été déstabilisé.

– Cycle de 1819 à 1851 : on ne peut guère observer sur cette période de menaces claires à la stabilité mondiale. Il y a eu des guerres, mais pas généralisées.

– Cycle de 1851 à 1883 : Il y a eu aussi des guerres sur cette période, notamment la guerre civile américaine de 1861 à 1865 qui a déstabilisé les échanges avec l’Europe ou la guerre de la France contre l’Allemagne de 1870 mais il n’y a pas eu non plus sur l’ensemble de la période une seule et unique menace contre la paix et la stabilité mondiale.

– Cycle de 1883 à 1915 : on entre à partir de ce cycle dans une correspondance très forte avec des menaces concernant tous les continents. Sur cette période,la menace d’une guerre impliquant l’Europe à cause des conflits entourant les colonies en Afrique et en Asie est là très claire. Il n’y a pas eu de guerres, mais une montée inexorable des tensions.

– Cycle de 1915 à 1947 : cela encadre parfaitement les deux guerres mondiales.

– Cycle de 1947 à 1982 : cela encadre parfaitement la guerre froide entre la Russie soviétique et l’Occident.

– Cycle de 1982 à 2020 : cela correspond à l’émergence du terrorisme islamiste au Liban dès 1982 avec l’enlèvement, la torture et souvent l’exécution de nombreux occidentaux par le Hezbollah. Les attentats du 11 septembre par Ben Laden ont eu lieu au milieu exact du cycle (opposition Saturne-Pluton), c’est à dire à sa partie la plus dangereuse. Depuis quelques années et la destruction de l’État islamique, le terrorisme islamiste est moins présent et moins spectaculaire même s’il y a encore de nombreux petits attentats.

– Cycle de 2020 à 2054 : l’invasion brutale de l’Ukraine correspond évidemment à une nouvelle menace pour la paix mondiale de la part de la dictature russe de Vladimir Poutine. A ce stade, cela n’implique que la Russie contre tous les pays occidentaux. Mais on sait que la Russie a une alliance politique pour le moment avec la Chine et que l’Inde a refusé par ailleurs de condamner l’invasion russe. La menace pour la paix mondiale peut donc encore s’amplifier éventuellement, à court ou plus long terme.

En résumé de ces différents cycles, on constate d’abord que les guerres de la révolution et de l’Empire ont constitué une sorte d’exception ou de premier coup d’essai en quelque sorte. Ensuite, depuis la fin du 19ème siècle et la « mondialisation » des économies, chaque cycle correspond à une menace planétaire différente : montée des tensions européennes de 1883 à 1915, 2 guerres mondiales de 1915 à 1947, guerre froide de 1947 à 1982, terrorisme islamiste sous ses différentes formes de 1982 à 2020 et nouveau cycle à présent depuis 2020 avec menace de 3ème guerre mondiale à cause de la Russie.

A présent, on peut se demander si le terrorisme islamiste n’est pas en train de disparaître progressivement depuis quelques années. Avec le cycle Saturne-Pluton, on constate en tout cas que chacun d’entre eux apporte sa propre menace et/ou ses guerres. Ensuite,la menace change de nature au cycle suivant. On peut donc envisager la disparition possible du terrorisme islamiste sur les années à venir.

A présent, la menace est, pour simplifier, celle d’une 3ème guerre mondiale. Cela n’implique nullement qu’elle aura lieu… Mais la menace est claire et chaque camp s’organise en la redoutant. Pour le moment, seule la Russie constitue une menace claire mais on peut évidemment redouter que la Chine ne s’en mêle d’une façon ou d’une autre, à un moment ou un autre.

Actuellement, l’invasion de l’Ukraine a été d’une brutalité inouïe et le psychopathe du Kremlin, d’une cruauté monstrueuse déjà vue en Syrie et en Tchétchénie, a détruit une grande partie des immeubles, écoles, hôpitaux, ponts, routes de l’Ukraine. Les morts, essentiellement des civils, se comptent sans doute par dizaines de milliers à présent.

Cette férocité gratuite et criminelle tient à notre avis au nouveau cycle Saturne-Pluton qui a commencé en janvier 2020, mais aussi et surtout pour cette bestialité

à la « concentration planétaire » actuelle qui a tendance à gravement amplifier tous les problèmes. D’où cette Russie destructrice de tout ce qu’elle peut saccager…

La période actuelle peut mener à un cessez-le-feu et de vraies négociations plus ou moins rapidement. Peut-être dès avril avec Jupiter et Neptune en conjonction potentiellement apaisante, ou seulement vers l’automne prochain en octobre avec une belle relation Soleil-Vénus-Jupiter, propice aux armistices et traités de paix.

Notons seulement que la « concentration planétaire » actuelle va perdurer jusqu’en 2024. Cela implique au minimum des conséquences malheureuses de la guerre actuelle : crise énergétique évidemment; effondrement de la croissance économique, voire probablement récession mondiale; famines en Afrique noire et du nord comme dans certains pays asiatiques; pénuries industrielles de toutes sortes; inflation mondiale et chute du pouvoir d’achat sur toute la planète.

A partir de 2025 et surtout 2026, on peut penser que les graves menaces actuelles vont très franchement s’apaiser, grâce à de belles relations entre Saturne, Uranus, Neptune et Pluton. Au milieu du cycle Saturne-Pluton, autour de l’année 2036 (opposition Saturne-Pluton), il y aura un nouveau risque de confrontation militaire.

Enfin, on pourra noter que le cycle suivant à partir de 2054 sera lui aussi très dangereux car intégrant de surcroît sur les années suivantes

une opposition Uranus-Pluton qui est propice aux guerres et même aux guerres mondiales.

En résumé, dans l’immédiat, il faut espérer atteindre 2024/2025 sans que les tensions actuelles ne dégénèrent.

Carte du ciel de la conjonction Saturne-Pluton du 12 janvier 2020 :

Jusqu’où peut monter le baril de pétrole ?


Le pétrole dépend essentiellement de Neptune, la planète qui régit également la production agricole et l’inflation. Le conflit entre Uranus et Neptune a déclenché le krach pétrolier que nous connaissons.


Ces deux planètes sont en querelle depuis 2017 et cela a fini par provoquer la hausse du prix du baril de pétrole depuis début 2020. On peut remarquer que c’est exactement la même confrontation entre ces deux planètes qui a été à l’origine du krach pétrolier de 1973…


On a également vu que la flambée du pétrole en 2008, quand le baril a atteint 150 $, s’est produite lors d’une opposition Saturne-Neptune en 2007 et 2008. La précédente avait eu lieu au début des années 1970, juste avant le krach de 1973…


En fait, depuis le forage du premier puits de pétrole aux Etats-Unis le 27 août 1859, les prix varient étroitement en fonction d’un bon ou d’un mauvais Neptune. Quand cette planète est bien entourée, les prix sont sages; et quand c’est l’inverse, les prix peuvent monter aux rideaux comme c’est le cas aujourd’hui.


Heureusement, le conflit entre Uranus et Neptune est en train de se dissiper et il va devenir inexistant à peu près l’été prochain. Cela ne veut pas dire que le prix du pétrole va chuter, mais probablement qu’il va cesser de monter comme ce fut par exemple le cas après le krach de 1973.


Dans l’immédiat, on ne connaît pas le sommet de la vague de hausse actuelle. Mais il est au moins probable que le pic devrait être atteint sur les prochaines semaines et que les cours se stabiliseront ensuite, sans doute un peu plus bas. S’il n’y avait en fait pas autant de taxes sur le pétrole, et même de taxes sur les taxes comme en France, le choc économique à en attendre serait évidemment beaucoup plus limité.


Mais l’énergie étant une importante donnée de l’évolution des prix, la hausse brutale du gaz comme du pétrole a un effet inflationniste et récessionniste important. Par ailleurs, on voit pointer dans certains pays pauvres l’apparition de prochaines famines car Neptune est également très influent sur la production agricole. Or, le grenier à blé ukrainien est saccagé par les tanks de Poutine et les engrais nécessaires aux cultures sont également ukrainiens ou russes…


L’alimentation mondiale va coûter encore plus cher et des disettes vont toucher une partie importante des populations. Là aussi, cependant, on devrait atteindre assez vite sans doute un pic sur les prix. En effet, tous les pays du globe sont en train de chercher et de mettre au point des solutions alternatives, ne dépendant ni de la pauvre Ukraine ni de la Russie. L’inflation, cependant, s’est enracinée pour d’autres raisons également et elle ne disparaîtra probablement pas très rapidement.

Prix du baril de pétrole depuis 2012 :

Ukraine : une occasion manquée


Au milieu de la semaine, il y a eu un apaisement transitoire dans la guerre en Ukraine. Le président turc a en effet réuni les ministres des Affaires étrangères des deux parties pour entamer des discussions.


Astrologiquement, on avait une belle configuration planétaire d’ « équilibre général » (ou barycentre) allant de Pluton à Uranus aux extrémités et avec un pivot formé par le Soleil, Jupiter et Neptune (notre graphique). Le Soleil étant en conjonction de Jupiter, cela pouvait favoriser un armistice ou un cessez-le-feu.


Las… Poutine ne veut que la guerre et pousser à l’exode des millions d’Ukrainiens par la terreur.


Lors de l’armistice du 11 novembre 1918 qui a mis fin à la première guerre mondiale ou de la capitulation sans conditions de l’Allemagne le 8 mai 1945 qui a mis fin à la seconde, on avait aussi une belle relation du Soleil à Jupiter. Mais il y avait aussi un lien très favorable de Vénus au Soleil et à Jupiter. C’est ce qui manquait cette semaine, Vénus étant à l’inverse en conflit avec le Soleil par le biais d’un demi-carré négatif de 45°.


A présent, pour mettre un terme à cette boucherie, on peut observer que la configuration d’ « équilibre général » est encore en place mais qu’elle commence à se déliter lentement. Il est donc douteux qu’elle permette de renouer des négociations constructives, dont on voit a priori que le criminel du Kremlin ne veut pas.


En se projetant plus loin et en étant bien conscient des limites d’un tel exercice prospectif, il y a devant nous un facteur potentiel pour favoriser la paix : la conjonction Jupiter-Neptune qui sera exacte le 12 avril prochain. C’est une relation très constructive par définition et elle peut notamment concerner la Russie qui est très sensible à Neptune.


Par ailleurs, en combinant au positif les planètes Vénus et Jupiter avec le Soleil jusqu’en fin d’année, on aboutit au petit tableau suivant des relations « pouvant » favoriser des traités de paix :


– 24 mai : Soleil-Jupiter et faiblement Vénus-Soleil. Le cycle de la Russie Saturne-Neptune est par ailleurs sur une petite boucle positive avec Vénus, ce qui peut pousser la Russie à se montrer plus coopérative.


– 31 juillet : Soleil-Jupiter.


– 24 octobre : sans doute la meilleure configuration pacifique de cette année 2022, qui réunit positivement et de façon très étroite le Soleil et Vénus par une conjonction. Cette conjonction est elle-même très bien reliée par ailleurs à Jupiter. L’armistice du 11 novembre 1918 avait vu une relation similaire entre ce trio.
Carte de « l’équilibre général » du milieu de la semaine :

Espoirs de paix ?

La conjonction Soleil-Jupiter de samedi dernier, propice à la paix, met en valeur cette semaine un nouvel équilibre planétaire.

Pluton (la guerre et le nucléaire au négatif) est bien relié à Uranus avec un beau pivot au centre de Jupiter, Neptune et le Soleil en maître des cérémonies.

Cela peut permettre de lancer de vraies négociations, d’autant plus que le président ukrainien a ouvert la porte. A suivre en tout cas…

Quels changements avec la présidentielle française ?

L’invasion de l’Ukraine nous amène à reprendre notre analyse sur l’élection présidentielle française des 10 et 24 avril prochains. Le cycle planétaire de la France entre Jupiter et Neptune se renouvelant au même moment (conjonction de 0° le 12 avril), il est logique d’envisager un grand changement politique et une alternance.

Pour mesurer l’importance de ce renouvellement de cycle, on peut souligner que 3 Républiques sur 5 ont été fondées immédiatement après une telle conjonction Jupiter-Neptune. Par ailleurs, depuis le début du 20ème siècle, il y a eu 9 conjonctions dont voici le bilan résumé :

– 2 ont mené à une nouvelle République, la 4ème et la 5ème.

– 5 ont entraîné un changement de Premier ministre et un profond tournant ou alternance politique sur au maximum les six mois qui ont suivi.

– 2 ont provoqué un virage politique à 180° par rapport à l’orientation précédemment suivie, mais sans changement du président ou du Premier ministre en fonction. Cela a concerné le changement radical de politique de Georges Clémenceau en 1907 et l’ouverture de négociations avec l’insurrection viticole dans le midi de la France; et l’abandon en 2009 par Nicolas Sarkozy de sa politique de dépenses publiques pour soutenir l’économie après la crise de 2007-2008.

Dans ces conditions, la conjonction du 12 avril prochain, en plein milieu du scrutin présidentiel des 10 et 24 avril, peut tout à fait correspondre à la non réélection d’Emmanuel Macron et à un ou une nouvelle présidente d’alternance politique. On pourrait facilement en comprendre les raisons, tant les Français sont mécontents du bilan catastrophique du président en matière d’immigration et de sécurité principalement. Même au niveau de l’emploi, il n’y a aucune amélioration par rapport à 2019 : les artifices de comptabilisation des demandeurs d’emploi, en matière d’apprentissage pour les jeunes et d’emplois subventionnés à cause de la crise, expliquent cette prétendue amélioration. L’achat du scrutin à coups de milliards d’euros au profit d’une foultitude de catégories particulières est souvent critiqué également, au moment où la gestion d’une dette publique monstrueuse va devenir impossible avec l’inflation qui ne peut que provoquer une énorme hausse des taux d’intérêts.

Cela dit, à presque un mois seulement du premier tour, on voit que la barbarie russe en Ukraine apporte un soutien important au président sortant, Emmanuel Macron. Il approche les 30% d’intentions de votes au premier tour et est donné largement gagnant au second tour.

Dans ces conditions, sauf à manier les cycles planétaires avec dogmatisme, il convient d’examiner toutes les conséquences possibles de cette conjonction Jupiter-Neptune du 12 avril. On peut en fait envisager 3 hypothèses :

– La première est la non réélection d’Emmanuel Macron. C’est évidemment le plus logique à envisager, étant donné que le scrutin a lieu en même temps que le renouvellement du cycle Jupiter-Neptune. Pour mémoire, la fondation de la 5ème République par un référendum le 28 septembre 1958 avait suivi une conjonction Jupiter-Neptune 3 jours plus tôt.

– La seconde est la réélection d’Emmanuel Macron, notamment à cause de la guerre en Ukraine. Mais son parti LREM perdrait alors les législatives du mois de juin les 12 et 19 juin suivants. Dans ce cas, la conjonction Jupiter-Neptune provoquerait une alternance politique seulement deux mois plus tard.

– La troisième, enfin, verrait Emmanuel Macron être réélu et conserver également une majorité parlementaire aux législatives du mois de juin. Ce dernier cas de figure serait le plus étonnant étant donné les conséquences des 9 précédentes conjonctions Jupiter-Neptune depuis 1900, mais on ne peut totalement l’écarter.

Dans ce cas, il y aurait stabilité politique mais à coup sûr un changement de cap profond, sans doute à 180°, de la politique suivie jusque-là. Dans cette dernière hypothèse, on peut penser que cette rupture politique interviendrait avant le mois de septembre prochain. Une conjonction Jupiter-Neptune provoque toujours ses effets sur les 6 mois suivants au maximum et généralement bien plus rapidement.

Carte du ciel de la conjonction Jupiter-Neptune du 12 avril 2022 :

La menace nucléaire

Poutine menace clairement d’un holocauste nucléaire la planète entière. Notre graphique ci-dessous montre clairement que le risque est réel…

L’invasion de l’Ukraine a débuté sur le conflit Jupiter-Pluton (angle négatif de 45°), qui était « exact » mercredi dernier 23 février, activé dès le lundi 21 février par une mauvaise Lune avec les premières agressions militaires russes.

Un mauvais Pluton, c’est la guerre. Pluton, c’est aussi l’énergie nucléaire et donc l’arme atomique. Chacun peut faire le lien entre les deux domaines…

Quand Poutine a fait son annonce de menace nucléaire cet après-midi, la Lune passait « exactement » devant Pluton (conjonction de 0°). Une heure plus tard environ, elle est passée elle-même au demi-carré négatif de 45° de Jupiter.

Notre graphique montre ce moment précis où la Lune est passée devant Pluton, exactement quand le fou du Kremlin a menacé la Terre entière d’un holocauste.

On voit aussi très bien Vénus et Mars qui s’approchent de Pluton et formeront à leur tour, comme la Lune aujourd’hui, une conjonction « exacte » de 0° jeudi prochain le 3 mars. Vénus et Mars seront ensuite en conflit « exact » de 45° avec Jupiter vendredi.
Le risque d’une déflagration nucléaire ne peut donc pas être écarté d’ici la fin de la semaine à venir. Cela peut être une semaine à hauts risques, notamment lors de la Nouvelle Lune du mercredi 2 mars : le Soleil et la Lune seront alors en conflit direct avec Pluton de façon très précise, par le biais d’un demi-carré de 45°.

Notre graphique ci-dessous montre déjà la mauvaise position du Soleil, qui approche de cette confrontation à Pluton. Elle sera donc « exacte » mercredi prochain, presque exactement aussi lors de la formation de la Nouvelle Lune. C’est évidemment potentiellement très inquiétant.

Astrologiquement, l’espoir réside avec la conjonction pacifique et propice à des traités de paix ou des armistices du Soleil à Jupiter qui aura lieu le samedi 5 mars. Il faudrait y arriver sans catastrophe auparavant…

Carte du ciel lors des menaces nucléaires de Vladimir Poutine :

L’inflation, c’est Neptune !


Un bon Neptune amène des prix sages et un mauvais Neptune une forte inflation. Les hausses de prix déraisonnables proviennent généralement d’un conflit entre cette planète et Saturne ou Uranus.


Avec Saturne, il ne faut considérer que l’angle majeur et négatif qu’est l’opposition de 180°. C’est dans ce genre de situation que l’on a une violente explosion des prix, mais qui ne dure généralement pas très longtemps.


Les dernières oppositions Saturne-Neptune ont eu lieu en 2007-2008 avec la crise des subprime et tout le monde se rappelle au moins le prix du baril de pétrole qui avait grimpé jusqu’à 150 $. Une précédente opposition en 1936-1937 avait également poussé à une forte hausse des prix jusqu’en 1939.


Avec un Neptune malmené, on a toujours les mêmes caractéristiques sur certains produits : hausse des prix du pétroles et des denrées alimentaires. Cela mène souvent à des famines provoquées par de mauvaises récoltes.
On a également eu une opposition Saturne-Neptune en 1971 et 1972. Tout le monde se rappelle d’ailleurs la décennie des années 1970, marquée par une faible croissance économique et une forte inflation accompagnée d’un chômage de masse. Car Neptune, c’est aussi la consommation des ménages et par conséquent l’emploi.


Dans les années 1970, nous avons eu aussi un conflit bien plus important entre Uranus et Neptune, sous la forme d’un demi-carré négatif de 45° « exact » de 1971 à 1973 et avec globalement une influence très directe de 1970 à 1975. Chacun se rappelle encore le krach pétrolier d’octobre 1973, de même que les mauvaises récoltes agricoles de 1975 qui avaient conduit en France à un impôt « sécheresse » l’année suivante.


Actuellement et depuis 2017, nous avons exactement le même conflit entre Uranus et Neptune qu’au début des années 1970 avec un demi-carré de 45°. On voit donc l’inflation flamber partout, notamment à cause de la hausse du prix du pétrole (et des taxes) comme des matières premières agricoles comme le blé et le maïs. Soulignons aussi l’invasion de criquets qui a ravagé les cultures d’Afrique de l’Est en 2020…


Le conflit entre Uranus et Neptune est en train de disparaître. Cet hiver, l’angle négatif de 45° est déjà franchement dépassé et atteint à présent 49° avant d’aller jusqu’à 53° l’été prochain et, compte tenu de la course particulière des planètes vue de la Terre, ne plus redescendre ensuite sous 51°.


On pourrait donc se dire que les prix vont s’assagir progressivement, en dépit du militarisme russe qui pollue notamment les cours du pétrole et du gaz comme le « grenier à blé » de l’Europe qu’est l’Ukraine. C’est possible, espérons-le… Cela dit, on peut être inquiets car cela ne s’était pas passé de cette façon dans les années 1970.


En 1975 comme aujourd’hui en 2022, le choc entre Uranus et Neptune s’est dissipé. Mais pas l’inflation ! Celle-ci a poursuivi sa course jusqu’à ce que des mesures sévères soient prises par la banque centrale américaine, avec son nouveau président Paul Volcker qui a poussé les taux d’intérêts de 11 à 20% très rapidement. L’inflation a alors baissé assez vite, d’abord aux Etats-Unis, des environs de 14% à environ 3% en 1983. Mais cela s’est fait au prix de la pire récession depuis 1945 en 1981 et 1982.


Au plan astrologique, on pouvait remarquer en 1979, lors du changement de cap complet de la banque centrale américaine, qu’il y avait une relation harmonique reliant Neptune, Uranus et Pluton.Cela conduit à observer que le choc inflationniste produit par Uranus et Neptune a perduré entre 1975 et 1979, jusqu’à rencontrer l’obstacle apaisant de Neptune, Uranus et Pluton sur cette dernière année et les suivantes.


Actuellement, si l’on cherche un phénomène similaire, il ne se produira qu’à partir de l’été 2025 entre Uranus et Neptune et en 2026 entre Uranus, Neptune et Pluton.


En conclusion, même si l’astrologie n’est pas une science exacte, on peut néanmoins redouter une forte inflation pendant encore 3 à 4 années de plus. Comme lors de la crise des années 1970.


Carte du ciel des planètes lentes au 26 février 2022, l’orbe entre Uranus et Neptune étant d’un peu plus de 49° :

La détestable concentration planétaire jusqu’en 2024

L’occupation de l’Ukraine ne règle pas la question de la sécurité de la Russie, et surtout de la façon dont Poutine veut l’obtenir. Reste en suspens ses intentions concernant les 3 pays baltes, la Pologne et la Roumanie qui sont intégrés à l’Otan. Le risque d’une déflagration générale ne peut donc être écarté.

La concentration planétaire actuelle est très négative et source de tensions lourdes, de même que le conflit Uranus-Neptune qui pèse sur les relations Est-Ouest. Ce dernier paramètre négatif est en train de se dissoudre lentement, mais ce qu’il a créé de conflictuel peut évidemment demeurer et se poursuivre sur la lancée, surtout après le choc ukrainien.


La concentration planétaire elle-même va atteindre son paroxysme le 3 mars prochain, car les planètes dites rapides (Soleil, Mercure, Vénus, Mars et même la Lune ponctuellement) vont se retrouver jusqu’à la fin avril à l’intérieur de l’arc de cercle formé par les planètes dites « lourdes (Jupiter, Saturne, Uranus, neptune et Pluton). Voici le graphique plus bas au 3 mars pour bien visualiser cette concentration planétaire négative, l’arc de cercle formant 103° seulement sur les 360° du cercle zodiacal autour de la Terre…


Etant donné que ce très mauvais indicateur atteint sa puissance de nuisance maximale au plan théorique sur les deux mois à venir, il est « possible » que les tensions est-ouest montent encore d’un cran supplémentaire. D’autant plus que la Chine « comprend » les exigences russes en matière de sécurité…


Bien que l’ayant correctement repéré, nous avons sous-estimé le poids de ce mauvais indicateur qui, de surcroît, va perdurer sur les mois à venir avec les seules planètes dites « lourdes », mais les plus importantes en l’occurrence. D’environ 100° d’orbe actuellement, l’arc de cercle atteindra 107° seulement en fin d’année et encore 109° seulement fin 2023. Ce n’est qu’à partir de 2024 que l’orbe va commencer à s’élargir fortement grâce à la course de Jupiter qui sortira de cet arc de cercle qui atteindra alors 134° fin 2024.


Une telle concentration planétaire est rare et on l’a surtout rencontrée récemment de 1979 à 1982, période de nombreuses guerres : Malouines, Iran-Irak, invasion russe de l’Afghanistan, occupation du Liban sud par Israël…
En remontant le temps, on ne trouve pas facilement une situation similaire. Autour de 1994 cependant, pendant la guerre en Bosnie-Herzégovine dans l’ex Yougoslavie…


De surcroît, lors de la mauvaise période 1979-1982, une conjonction Saturne-Pluton apaisante avait mis fin à la série des guerres fin 1982, la dernière s’étant produite avec le Liban en juin de cette année-là. Or, nous avons connu une conjonction théoriquement pacificatrice de Saturne à Pluton en janvier 2020. Cependant, elle n’a visiblement pas permis de contenir les appétits de l’ogre Poutine.


L’astrologie n’est pas une science exacte. Mais on peut quand même s’inquiéter de voir que, globalement et jusqu’en 2024, pendant plus de deux années par conséquent, la concentration planétaire actuelle va perdurer. Le risque est donc de voir de nombreuses tensions internationales perdurer ou apparaître. Si la Russie envahit l’Ukraine, pourquoi la Chine ne ferait-elle pas la même chose à Taïwan ? Taïwan est fondamentale pour les économies occidentales, fabricant l’essentiel des semi-conducteurs au monde notamment…


Par ailleurs, le coup de force de Poutine est stupide, dans la mesure où il ne fait nullement avancer le dossier certes objectif de la sécurité de la Russie. Mais en créant des tensions supplémentaires, militaires de surcroît et en envahissant un pays indépendant, on mesure que des négociations Est-Ouest ne peuvent qu’être plus difficiles. Cela peut donc encourager d’autres aventures militaires russes et, déjà, le psychopathe du Kremlin a agité la menace d’un conflit nucléaire.

L’invasion de l’Ukraine

L’invasion de l’Ukraine par l’armée russe fait a priori peu de doutes : 180 000 soldats, équipements lourds en chars et artillerie, aviation de combat à la frontière; multiplication des provocations au Donbass et évacuation dramatisée des civils dans l’est de l’Ukraine déjà annexée, etc. Sauf miracle diplomatique qui n’est pas sur la table, Vladimir Poutine va encore envahir son voisin ukrainien après avoir déjà annexé la Crimée et le Donbass, également envahi la Georgie en 2008.


Cette guerre de plus en plus probable, si elle a effectivement lieu, aura été favorisé par la concentration planétaire actuelle. Les planètes dites « lourdes », de Jupiter à Pluton, sont réunies sur un petit arc de cercle de seulement 100° environ sur les 360° du cercle zodiacal. De surcroît, les planètes dites « rapides » (Soleil, Mercure, Vénus, Mars) et même la Lune souvent se retrouvent également sur cet cet arc à l’orbe très limité. Sur notre graphique ci-dessous, on voit que Vénus et Mars sont encore un peu à l’extérieur, mais de quelques degrés seulement, ce qui est assez secondaire.


En résumé, le zodiac est déséquilibré par cette concentration planétaire inhabituelle. La dernière fois que cela s’était produit, nous étions à la fin des années 1970 et jusqu’en 1982 sur un arc de cercle encore plus étroit de seulement 60 à 70°. Et nous avions eu sur cette période l’invasion russe de l’Afghanistan, la guerre Iran-Irak, la guerre des Malouines, l’occupation du Liban par Israël…


La planète qui signifie le mieux les guerres c’est Pluton au négatif. Les guerres napoléoniennes comme la 1ère et en partie la seconde guerre mondiale ont eu lieu juste après une opposition négative d’Uranus à Pluton. L’invasion de la Georgie en août 2008 par les troupes de Poutine (déjà !) a eu lieu avec un carré négatif Uranus-Pluton, Mars se situant de surcroît en conflit très précis par une opposition à Uranus comme avec un carré à Pluton. 


Lors des nombreux conflits de la fin des années 1970 à 1982, Saturne approchait par ailleurs d’une conjonction à Pluton, une position toujours très conflictuelle pendant 2 à 3 ans. Actuellement, Saturne vient à l’inverse de former une conjonction par nature apaisante au même Pluton depuis janvier 2020. On pouvait en déduire, comme nous l’avions fait d’ailleurs, que ce Saturne conciliant allait empêcher l’invasion de l’Ukraine ou en tout cas limiter toute l’importance et la portée d’un éventuel affrontement militaire. On verra ce qu’il en est exactement, même un petit conflit militaire de portée limitée ne paraît pas assuré… 

En tout cas, nous aurons le mercredi 23 février précisément une petite confrontation entre Jupiter et Pluton par le biais d’un demi-carré de 45°. En soi, c’est peu de chose. Mais dans le contexte actuel, cela pourrait bien mettre le feu aux poudres, surtout quand la Lune agressera elle-aussi Pluton, le lundi 21 ou le jeudi 24 février.


Pour le moment, Vladimir Poutine voulant empêcher l’Ukraine d’adhérer à l’Otan, une intervention militaire pourrait bien avoir pour objectif la capitale ukrainienne, Kiev : pour imposer un traité à l’Ukraine lui interdisant d’ adhérer à l’Otan; ou pour renverser le gouvernement actuel et lui substituer un pouvoir pro-russe comme cela a déjà été le cas par le passé. Une expédition militaire jusqu’à la capitale ne serait évidemment pas un petite affaire et le choc des armes comme les implications d’une telle occupation du territoire ukrainien constituerait un événement évidemment majeur.


En tout cas, en résumé, si l’invasion désormais très probable a effectivement lieu, Saturne ne l’aurait pas empêchée et c’est la concentration planétaire si agressive qui aurait été dominante. Le choc Uranus-Neptune depuis 2017 et jusqu’à aujourd’hui aurait par ailleurs accentué comme c’est toujours le cas les tensions entre l’Est et l’Ouest. On les a vu monter en puissance depuis la présidence de Donald Trump qui, pourtant, était sensé bien s’entendre avec la Russie de Vladimir Poutine. Cela n’a pas été le cas.


Pour conclure, on peut se dire que Vladimir Poutine est franchement un sale type, à l’évidence un psychopathe sans aucune compassion ou empathie, qui a de plus en plus de sang sur les mains. Cela dit, la Russie ne peut pas être critiquée par ailleurs pour chercher à éviter son encerclement par l’Occident et l’Otan, sans compter les bases de missiles déployées ou en voie de l’être en Roumanie, en Pologne et dans les pays baltes. 


Sur ce plan, ce sont les Etats-Unis qui ont provoqué frontalement la Russie, et notamment Joe Biden qui refuse, par arrogance et sans doute incompétence diplomatique, de négocier quoi que ce soit avec la Russie. L’administration Biden a eu tout le temps de voir que le Kremlin n’accepterait jamais l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan. Et qu’a-t-elle fait pour éviter un drame et négocier intelligemment ? Rien. Elle laisse l’Ukraine se débrouiller toute seule et, le moins que l’on puisse dire, c’est que les dirigeants ukrainiens ne sont pas non plus des lumières pour éviter le pire à leur pays !


Pour conclure, soulignons simplement que Poutine et Biden sont des opposés au plan astral, que tout prédispose à l’affrontement : Poutine a à la naissance une conjonction Saturne-Neptune, le cycle collectiviste propre à la Russie. Et Biden a de son côté l’opposé, une conjonction Saturne-Uranus, le cycle libéral et individualiste qui domine les Etats-Unis. Par ailleurs, dans le domaine le plus politique, Poutine a à son Milieu du Ciel la planète Pluton, celle d’un prédateur; et Biden a au même endroit Neptune, la planète des idéologues rêveurs et ne sachant pas souvent quoi décider, à la limite un autiste. Bref, l’affrontement en Ukraine, c’est aussi l’affrontement entre deux chefs d’Etat que tout oppose.


Concentration planétaire majeure au 19 février 2022 : 

Le Covid-19 peut disparaître

Il est tout à fait possible que le Covid-19 disparaisse de lui-même ou par de nouveaux traitements ou vaccins sur les prochains mois. Certains virologues se demandent si le variant Omicron ne constitue pas une dernière vague. Astrologiquement, c’est possible…

Les virus, microbes et autres bactéries dépendent de la planète Neptune qui, en même temps, permet ou interdit la diffusion de masse de maladies épidémiques qui peuvent y être liées. Si l’on se base sur les pandémies de grippe les plus récentes, au nombre de quatre, on peut remarquer des points communs assez saisissants et notamment sur leur fin naturelle :

* Grippe russe de 1889 à 1894 :

– Conflit Uranus-Neptune dès 1889 (sesqui-carré de 135°) et perdurant sur les années suivantes.

– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune qui a lieu en 1894.

* Grippe espagnole de 1918 à 1920 :

– Conflit Uranus-Neptune (opposition de 180°) depuis 1909 et perdurant sur les années suivantes.

– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune qui a lieu en 1920.

* Grippe asiatique de 1956 à 1958 :

– Conflit Uranus-Neptune (carré de 90°) dès 1956 et perdurant sur les années suivantes.

– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune qui a lieu en 1958.

* Grippe de Hong Kong de 1968 à 1970 :

– Conflit Uranus-Neptune (demi-carré de 45°) mais qui débute de façon « exacte » en 1971.

– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune qui a lieu début 1971.

Dans trois cas sur quatre, on a exactement le même schéma d’apparition de la pandémie et de sa disparition : un conflit entre Uranus et Neptune et l’approche toujours négative d’une conjonction de Jupiter au même Neptune.

Dans les cas de la grippe russe, espagnole et asiatique, on peut même souligner que ces trois pandémies se sont précisément achevées environ à un mois près sur les conjonctions Jupiter-Neptune de 1894, 1920 ou 1958.

La grippe de Hong Kong de 1968-1970 donne des résultats moins précis. Selon les données disponibles, le virus a fait son apparition au printemps 1968, donc près de trois ans avant la confrontation « exacte » Uranus-Neptune (demi-carré de 45°) à l’automne 1971. Même imprécision avec la conjonction Jupiter-Neptune de janvier 1971, qui a lieu environ 9/10 mois après la fin « officielle » de la pandémie pendant le printemps 1970.

Cela dit, il est possible que le virus ait continué à circuler un peu plus longtemps que ce qui a été recensé officiellement. En Chine, notamment, on ne sait pas quand le virus a disparu, le pays étant en pleine révolution culturelle : aucune structure politique ou administrative ne fonctionnait correctement, surtout en raison des assauts des gardes rouges contre les grandes villes…

En tout cas, pour ce qui nous concerne avec le Covid-19 actuellement, on peut globalement faire les mêmes observations planétaires que lors des pandémies précédentes :

– Conflit Uranus-Neptune (demi-carré de 45°) depuis 2017.

– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune en 2022.

La situation est donc à nouveau identique avec les pandémies précédentes pour l’apparition d’un tel virus, y compris celle de Hong Kong en 1968.

A présent, le conflit entre Uranus et Neptune est en voie d’extinction. L’angle entre les deux planètes est déjà sur ce mois de février de 49°, il va atteindre 54° l’été prochain et ne se resserrera que jusqu’à 51° pendant l’hiver 2022-2023. Autrement dit, on peut considérer globalement que le conflit entre Uranus et Neptune (demi-carré de 45°) aura cessé d’exister dès que l’angle aura dépassé les 50°, c’est à dire sur les prochaines semaines.

Par ailleurs, nous sommes à la fin de l’approche si négative de la conjonction Jupiter-Neptune. La conjonction aura lieu le 12 avril prochain et renouvellera donc de façon positive le cycle d’environ 13 années entre ces deux planètes.

 En conséquence, après avoir examiné les pandémies précédentes et leur fin tout à fait naturelle, on peut avancer l’hypothèse plausible, en tout cas possible, que la pandémie s’éteigne d’elle-même sur les prochaines semaines et notamment à partir du mois d’avril prochain. Certes, on n’est pas en la matière à trois mois près avant ou après cette conjonction… Mais le repère est là et il est « exact » le 12 avril prochain.

A titre de nuance, la pandémie pourrait également cesser si un vaccin ou un traitement efficace est mis au point. C’est également une possibilité, mais l’hypothèse d’une fin naturelle de la pandémie est tout à fait crédible étant donné les expériences passées. Nous verrons bien, on croise les doigts…

Carte du ciel au 12 février 2022 avec l’approche de la conjonction Jupiter-Neptune et le demi-carré de 45° Uranus-Neptune qui est déjà à 49° :

A la conquête de l’Ukraine ?

L’Ukraine continue d’inquiéter. Astrologiquement, il y a deux raisons de s’inquiéter :

– La concentration actuelle des cinq planètes lourdes de Jupiter à Pluton sur un orbe d’environ 100° seulement sur 365° (notre graphique ci-dessous). C’est toujours un facteur de tensions internationales. Même situation sur ce seul plan en 1940 à la veille de la seconde guerre mondiale, ou au début des années 1980 qui avaient vu de nombreux conflits localisés éclater.

– Le choc Uranus-Neptune avec un angle négatif de 45° depuis 2017. Cette confrontation est sur sa fin, l’angle étant déjà à plus de 49° actuellement. Il va s’élargir de plus en plus sur les prochains mois et l’orbe atteindra 54° l’été prochain pour revenir au plus près à 51° pendant l’hiver 2022-2023. 

Au-delà de 50°, on ne pourra plus continuer à considérer qu’il y a un conflit encore actif entre Uranus et Neptune. Cette mauvaise configuration est donc sur la pente descendante et, a priori, elle ne devrait plus poser les problèmes qu’elle a créé depuis son début en 2017. Il faut simplement tenir compte que ce qu’elle a apporté ou provoqué concrètement ne va pas forcément disparaître non plus d’un seul coup. Cela peut prendre un certain temps, évidemment…

Sur le fond, les relations Uranus-Neptune sont notamment capitales pour les relations Est-Ouest. Pour résumer simplement, l’individualisme et l’esprit libéral occidentaux sont dominés par Uranus, alors que la Russie dépend étroitement de valeurs plus collectives et autoritaires de nature neptunienne.

Lors de l’alliance USA-URSS pendant la seconde guerre mondiale contre l’Allemagne nazie, on avait une superbe relation positive Uranus-Neptune qui a duré pendant tout ce second conflit mondial. Cela montre à quel point les relations est-ouest sont dépendantes de ce cycle.

Les tensions entre la Russie et l’Occident et notamment les États-Unis ne sont donc pas étonnantes en ce moment et c’était déjà le cas quand Donald Trump était président… C’est en fait le cas de façon croissante depuis plusieurs années, depuis cette confrontation Uranus-Neptune qui a commencé en 2017.

Une fois les jeux olympiques d’hiver à Pékin terminés le 20 février prochain car Vladimir Poutine ne veut pas gêner cette vitrine chinoise, on pourra redouter la période entourant le 23 février avec un demi-carré négatif Jupiter-Pluton. Il « peut » en effet avoir une implication militaire et guerrière. 

Un mauvais Pluton mène en effet aux guerres. Certes, ce n’est pas avec Jupiter que l’on a les conflits les plus spectaculaires, loin de là et contrairement à Saturne ou surtout Uranus. Mais c’est quand même un mauvais petit facteur pour la paix.

Il y a quand même par ailleurs un facteur positif, dont on peut espérer qu’il sera déterminant :

– Saturne a formé une conjonction à Pluton en janvier 2020 et, en règle générale, c’est l’approche d’une telle conjonction qui déstabilise la planète, crée ou renforce de nombreuses tensions et provoque des conflits militaires. A présent, la conjonction a eu lieu et elle est de nature apaisante et donc pacifique. A priori, elle devrait éviter un conflit militaire majeur comme celui qui peut être redouté pour l’Ukraine.

En résumé, il nous semble donc qu’une invasion de l’Ukraine par la Russie est possible mais pas certaine du tout. Ou alors, peut-être quelques affrontements qui feraient plaisir à l’autocrate Poutine et que favorisent indubitablement l’administration Biden qui joue les pousse-au-crime depuis plusieurs mois. Finalement, la Russie ne fait que réclamer la neutralité de l’Ukraine et, si les Occidentaux n’étaient pas aussi arrogants de leur côté, une solution diplomatique aurait sans doute déjà été trouvée. 

On peut penser aussi que la Russie ne pourrait pas occuper l’Ukraine pour imposer facilement un nouveau gouvernement pro-russe comme au lendemain de la chute de l’ex-URSS : l’Ukraine est un pays immense de 44 millions d’habitants et sa partie occidentale mènerait une résistance désastreuse pour des troupes russes d’occupation. Sauf si Poutine est devenu fou et qu’il veut tenter une telle aventure, mais a priori on peut penser qu’il n’en a pas envie, même si c’est un dictateur brutal dans son pays.

Carte du ciel du demi-carré Jupiter-Pluton du 23 février 2022, mettant en valeur la concentration des 5 planètes lourdes :