Récession mondiale

Une récession mondiale semble très probable d’ici la fin de l’année et elle pourrait même être spécialement sévère. C’est en tout cas l’hypothèse astrologique la plus crédible actuellement.

Depuis le mois de février et l’invasion russe de l’Ukraine, nous soulignons régulièrement le danger d’une récession généralisée. Peu d’analystes envisageaient ce cas de figure l’hiver dernier, mais ils sont de plus en plus nombreux à présent à se poser la question.

Les banques centrales courent à présent derrière une inflation hors de contrôle et les taux d’intérêts de marché aux Etats-Unis sont déjà 3 fois supérieurs à ceux de la Réserve Fédérale américaine. Ils sont autour de 3% mais l’inflation est à 8%, ce qui signifie qu’ils devraient être à environ 10% selon les données historiques sur les emprunts fédéraux américains.

La hausse des taux ne fait que commencer et elle va évidemment casser la croissance américaine et mondiale. En y ajoutant la guerre bestiale de la Russie en Ukraine et les confinements répressifs des communistes chinois, on risque même d’avoir une récession très brutale sur les mois à venir.

Au plan astrologique, on a depuis le début 2020 et jusqu’en 2024 un phénomène très négatif de concentration planétaire. Cela concerne les planètes dites « lourdes », c’est à dire les plus éloignées du système solaire et qui déterminent les cycles les plus longs et les plus importants. De Jupiter à Pluton, ces 5 planètes sont concentrées sur un arc de cercle d’environ 110°, ce qui est évidemment très limité par rapport au cercle zodiacal qui en fait évidemment 360.

Historiquement, un pareil regroupement de planètes a toujours impliqué une récession économique mondiale. Cela s’est produit au début des années 1980, puis également au milieu des années 1990. A chaque fois, on a eu une récession.

Par ailleurs, Saturne est en conflit avec Uranus depuis environ un an et pour une année encore. C’est également très négatif pour la croissance mondiale et notamment pour l’économie américaine. Les Etats-Unis sont en effet très dépendants de ce cycle planétaire, au plan économique comme politique.

Pour mémoire, on peut se rappeler la crise des subprime qui a conduit à la récession de 2008-2009, alors que Saturne et Uranus connaissaient un conflit majeur sous la forme d’une opposition de 180°. A présent, c’est seulement un choc négatif de 90° qui est un peu moins nocif mais ce n’est pas pour autant anodin.

Pour ces différentes raisons, on peut donc penser que la hausse des taux d’intérêts va casser la croissance mondiale et entraîner une récession généralisée. La déstabilisation de l’Europe et la nouvelle vague épidémique en Chine ne feront d’aggraver une situation déjà problématique.  

Une récession ayant par définition un effet déflationniste, on peut seulement se demander si l’inflation va continuer à se développer. Ce n’est pas sûr, sauf sur le court terme. Le conflit Uranus-Neptune qui nous l’a apporté, notamment avec la hausse du prix du pétrole mais aussi pour des raisons plus structurelles, est en train de se terminer. Cela n’implique pas la fin de l’inflation qui s’est à présent installée, mais cela peut éventuellement en limiter l’importance d’ici 2026 et un assainissement probable des prix.

En tout cas, nous ne serons probablement pas en fin d’année et surtout en 2023 dans une situation de stagflation avec une croissance faible et une inflation élevée comme dans les années 1970. On risque surtout une croissance fortement négative et une inflation plus faible qu’aujourd’hui, mais perdurant pour des raisons structurelles.

Carte du ciel montrant bien la concentration planétaire actuelle des planètes « lourdes » au samedi 7 mai 2022 :

Les commentaires sont fermés.