Actuellement, il y a trois paramètre planétaires négatifs qui pourrissent la vie de l’humanité. Mieux vaut les connaître pour en comprendre les ressorts et jusqu’où ils peuvent nous entraîner.
* Le premier est la concentration planétaire actuelle qui a débuté en 2020 et va perdurer jusqu’en 2024. On la voit très bien sur notre graphique ci-dessous. Les planètes ou astres les plus importants sont sur un arc de cercle très étroit de 106° (sur 360°), notamment celles qui déterminent les influences majeures de longue durée de Jupiter à Pluton. Même les autres, sauf Mercure depuis une dizaine de jours, se retrouvent sur cet arc de cercle.
Un phénomène de ce genre est assez rare. Ce repli sur elles-mêmes des planètes provoque le même phénomène pour l’espèce humaine : recroquevillement des esprits, égoïsme, brutalité, absence de compassion, nationalisme, chauvinisme, impérialisme, autarcie, tensions multiples, etc.
La meilleure illustration actuelle de ces influences cosmiques pernicieuses est l’invasion sanguinaire en Ukraine, lancée par le monstre du Kremlin sans aucune raison si ce n’est une férocité impériale démoniaque. Le 24 février dernier, lors du début de l’invasion, la concentration planétaire était à son maximum avec également les planètes dites « rapides » (de la Lune à Mars) à l’intérieur de cet arc de cercle allant sur notre graphique de Pluton à Uranus.
Vladimir Poutine en subira d’ailleurs de multiples conséquences négatives pour lui-même et la Russie, ce qui en fait est déjà à l’oeuvre avec tous les revers militaires, politiques et condamnations internationales qu’il subit.
Il y a cependant peu de chances que cela débouche sur une 3ème guerre mondiale et possiblement un holocauste nucléaire. La concentration planétaire crée de lourdes tensions et des affrontements, mais a priori pas au point d’entraîner une guerre mondiale.
La violence de la pandémie de Covid actuelle tient également à cette concentration planétaire. Si le virus lui-même s’est développé à cause d’un mauvais Neptune, la gravité de cette pandémie, la pire depuis la grippe espagnole de 1918-1920, tient essentiellement à cette mauvaise répartition planétaire.
Cette concentration planétaire va perdurer jusqu’en 2024. Ce n’est donc qu’à partir de 2025, que l’humanité va en quelque sorte retrouver un peu d’air et un souffle plus constructif.
Bien entendu, une telle situation nous mène directement vers une récession économique qui peut être profonde. On en voit déjà les prémisses, même si pour le moment les prévisions des institutions financières internationales en sont à seulement réduire cette année leurs prévisions de croissance. Mais le mouvement des planètes laisse peu de doutes et, probablement, une récession mondiale s’installera vers la fin de cette année.
* Saturne et Uranus sont en confrontation (carré de 90°) depuis le mois de février 2021 et cela va perdurer jusque vers le printemps 2023. Ce couple planétaire concerne notamment les taux d’intérêts et a surtout une influence de nature récessionniste. C’est déjà le cas en Chine avec une forte chute de la croissance et cela devrait bientôt concerner aussi les Etats-Unis, qui sont très sensibles à ce couple planétaire. On l’a bien vu de 2007 à 2009 avec une opposition entre les deux planètes et la récession qui a suivi l’éclatement de la crise des subprimes.
Actuellement, la confrontation est moins dure qu’en 2008, mais on voit néanmoins les taux se tendre. La suite sera inévitablement cette année des difficultés économiques accrues pour les Etats-Unis, qui vont évidemment se propager ensuite au reste du monde et notamment à l’Europe.
* Uranus et Neptune sont en train d’achever un choc (angle négatif de 45°), qui a pris naissance en 2017. Les implications négatives de cette mauvaise relation sont multiples :
– Un Neptune au négatif, c’est de l’inflation comme lors des années 1970 avec le même type d’angle négatif avec Uranus (angle de 45°). Les banques centrales n’ont pas vu venir le danger, elles commencent à réagir avec retard et avec des moyens dérisoires. Avec une inflation à 8% environ, il faudrait des taux directeurs à au moins 10% pour la casser. Or, ils sont encore à 0% en Europe et seulement à 0,50% aux Etats-Unis, à peine un peu plus haut en Océanie ou au Canada.
On peut donc penser que l’inflation est là pour durer, aggravée par l’invasion de l’Ukraine et les confinements en Chine. Si on compare la situation actuelle avec celle des années 1970 et le début de mesures efficaces pour casser à l’époque l’inflation, l’emballement des prix ne commencerait à refluer qu’à partir de 2025 ou 2026. D’ici là, on mesure facilement que le pouvoir d’achat des ménages peut être mis à rude épreuve et que des crises alimentaires et des émeutes sont assez probables en Afrique et certains pays pauvres d’Asie.
– Un mauvais Neptune avec Uranus mais aussi avec Saturne (approche négative d’une conjonction qui aura lieu en 2026) crée de lourdes tensions entre l’Est et l’Ouest. Avec la guerre en Ukraine, on est évidemment servis…
Une telle situation ne va commencer à se détendre qu’à partir de 2025 et surtout 2026. En effet, ces trois planètes, Saturne, Uranus et Neptune vont se retrouver en harmonie : cela devrait créer les conditions d’une coopération nouvelle entre l’Est et l’Ouest.
D’ici là, les tensions risquent d’être inquiétantes car la principale menace de déstabilisation internationale est devenue un affrontement Est-Ouest à cause du dictateur russe. On peut d’ailleurs noter que Poutine a dans son thème une relation Saturne-Neptune qui est le principal cycle pour la Russie; et de son côté, Joe Biden, a à la naissance un lien fort entre Saturne et Uranus, qui est le cycle majeur pour les Etats-Unis. Entre les deux hommes, l’affrontement est donc inévitable dans les circonstances actuelles.
– Neptune concerne aussi au plan politique la gauche. Mal aimé en ce moment de Saturne et surtout Uranus, on voit ainsi la gauche modérée céder souvent le pas à l’extrême gauche et à toutes ses déviances : wokisme, cancel culture, excès LGBT, écriture inclusive, soviétisme, etc.
Cela se traduit par une violence gauchiste qui est présente partout, notamment dans les pays occidentaux. En France, des milices gauchistes existent à présent partout et organisent des manifestations violentes et des agressions individuelles dès qu’elles le peuvent.
Les réseaux sociaux en sont par ailleurs venus à exercer une dictature de la pensée contre ceux qui ne partagent pas le délire gauchiste actuel.
Sur Twitter, FB ou Youtube, les cas de censure et la perversité de la mise en oeuvre de mesures de rétorsion, contre ceux qui ne pensent pas comme les gourous « sociaux » du wokisme, sont devenus effrayants pour la liberté d’expression. Twitter impose même le refus de publicités n’ayant pas l’aval du sulfureux et contesté GIEC sur le climat et ses solutions. Dans ces conditions, le lancement d’une OPA sur Twitter par Elon Musk, afin d’y rétablir la liberté d’expression, est une initiative intéressante à suivre.
Heureusement, nous sommes à la fin de la confrontation Uranus-Neptune. Sur la lancée, bien sûr, la situation ne va pas s’améliorer du jour au lendemain. Au moins peut-on penser que le pire est en passe d’être atteint, sans doute cette année.
S’agissant du Covid, une conjonction positive de Jupiter à Neptune a eu lieu le 12 avril dernier. Or, sur 3 des 4 dernières pandémies virales, les contaminations ont cessé juste après une conjonction Jupiter-Neptune à quelques mois près. On va voir si cette influence théoriquement apaisante va jouer le même rôle cette année. Pour le moment, on peut simplement observer au plan mondial une assez forte baisse des contaminations depuis février dernier : de plus de 4 millions de contaminations recensées par jour fin janvier dernier, on est actuellement passés à moins de 400 000 cas aujourd’hui, soit 10 fois moins en deux mois et demi.
Mais cela varie d’un pays à l’autre également et ce n’est donc pas encore gagné : simple baisse d’une vague avant la prochaine ou franc début d’une disparition progressive du virus…
En résumé, la situation actuelle n’est pas bonne et elle ne va pas s’améliorer sur les mois à venir. Après les charniers russes et la destruction de villes entières en Ukraine, on peut redouter d’autres problèmes non moins réjouissants de famines, de chômage, de baisse du pouvoir d’achat, d’affrontements entre collectivités diverses et de menaces dictatoriales gauchistes.
Pour s’en consoler au moins partiellement, on peut néanmoins se dire que l’humanité en a vu d’autres au fil des siècles…
Carte du ciel au 23 avril. Seul Mercure commence à s’échapper de la concentration planétaire si puissante de ces trois derniers mois. Mais ce phénomène est surtout à apprécier avec les planètes lentes, de Jupiter à Pluton :