Vent de panique sur les marchés

Vent de panique sur les marchés

Différents marchés financiers ont brusquement décroché en fin de semaine dernière, la chute violente de différentes devises de pays émergents entraînant une bourrasque aussi soudaine que ravageuse sur les actions. Cela montre à notre avis la fragilité de la situation actuelle.

Le joli duo très serré entre Uranus et Neptune ne produit finalement qu’une maigre reprise américaine et des dettes monstrueuses qui vont évidemment finir par ressortir de sous les tapis. Pendant ce temps, et c’est la raison de la petite tempête actuelle, Jupiter, Uranus et Pluton ne cessent d’alimenter une sorte de machine infernale qui commence à crépiter un peu en tout sens avant son explosion ultime…

Les résultats des entreprises américaines ne sont pas flamboyants, loin de là… Et la planche à billets de la Fed commence à tourner un peu moins vite, ce qui commence à réduire les illusions sur les soi-disant miracles à en attendre. Finalement, le mini-krach boursier de vendredi dernier ne fait que refléter la crainte des marchés d’une rechute en récession ! Ils ont bien raison, c’est à notre avis ce qui nous pend au nez cette année et surtout en 2015.

Cela intervient en ce moment, alors que Jupiter se rapproche de son opposition à Pluton qui s’est nouée l’été dernier et va provoquer, avec l’aide si nocive et brutale d’Uranus, de surprenants retournements de situation sur les prochains mois. Ce sont la crise de la dette et une trop maigre croissance qui vont progressivement émerger pour confirmer que la crise économique née en 2007 est loin d’être terminée. Dans les pays industrialisés comme chez les émergents…

Dans l’immédiat, les marchés ont pris peur et il constituent sur ce plan un indicateur avancé des frayeurs plus générales qui se préparent et sont en train de monter en puissance. D’ailleurs, les marchés n’ont sans doute pas fini à court terme de redouter le pire, même si Uranus et Neptune constituent encore un certain filet de sécurité contre un vrai krach ou une franche débandade.

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Opposition Jupiter-Pluton exacte le 31 janvier 2014

 

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Un président aux abois ?

Mais quels sont les astres qui clochent pour François Hollande, ce président qui, décidément, a tout d’un bouffon ?

Elu en 2012 sur un mauvais triangle Lune-Jupiter-Neptune qui a reproduit le même mauvais triangle entre ces trois planètes à sa naissance, sa présidence ne pouvait qu’être catastrophique et annoncer de spectaculaires revers.

Précisons…

– Jupiter est concerné, ce qui affecte sa puissance de travail, sa cohérence, ses capacités et ses possibilités à atteindre les buts fixés. Nul besoin d’épiloguer sur la faillite de sa politique axée sur le « tout-impôt », qu’il est lui-même en train de contester tout en continuant à l’appliquer… Comprenne qui pourra et ce n’est même pas sûr qu’il se comprenne lui-même !

– La Lune fait partie de ce mauvais triangle. Or, la Lune c’est le peuple et sa cote de popularité… On sait ce qu’il en est, jamais un président n’a été si impopulaire et encore moins aussi vite ! Ceux qui l’ont élu s’en mordent les doigts, hélas c’est trop tard mais ils lui font cher payer leur erreur par leur profond mépris et leurs critiques acerbes. Quant aux autres, c’est l’écoeurement et la colère à un niveau record !

– Neptune est le dernier maillon négatif. Et un mauvais Neptune touche à la fois à l’incompréhension d’Hollande devant son échec cinglant, qu’il ne peut que mettre stupidement (toujours Neptune…) au compte de l’infortune et de la malchance. Il est incapable de comprendre que c’est lui-même qui a créé le chaos ! Et Neptune, ce sont aussi les scandales publics et retentissants dans divers domaines… Là, on est déjà bien servis avec l’étalage sordide de sa vie privée. Heureusement pour lui, c’est un euphémisme, que les lobbys intello-féministes soient subventionnés par la gauche ! On ne les a pas encore entendus, mais cela pourrait (peut-être…) finir par se produire tant le machisme insolent et désinvolte est évident.

Tout cela ne fait que décrire ce qui était déjà en germe au moment de son élection. Mais la situation actuelle le voit subir un bien mauvais carré Uranus-Pluton, pour lui qui est né sur ce plan de façon « globalement » négative avant la grande conjonction de ces deux planètes au milieu des années 1960. Or, Uranus, à la suite de Pluton depuis environ un an, forme sur ce mois de janvier un sesqui-carré exact à son Pluton natal qui est en maison IV, c’est à dire celle de la famille, du home et donc du conjoint également.

Uranus est la planète type des changements brutaux et des déferlantes inattendues. Inutile de dire que c’est la planète des divorces brutaux et, confrontée au Pluton natal de Hollande, cela « peut » impliquer la « mort » (valeur de Pluton) de son couple actuel. L’astrologie n’invente rien, c’est bien la question que tout le monde se pose aujourd’hui…

Et la suite ?

Comprendre ce qui se passe est une chose, prévoir l’avenir d’un individu est plus compliqué quand on veut entrer dans les détails. Outre le carré Uranus-Pluton qui n’a pas fini de lui faire des misères, surtout cette année sans doute, on peut aussi noter l’encerclement de son Soleil natal par Saturne (carré évolutif de 90°) pendant presque toute l’année 2014. Il s’agit là d’un frein et même d’un blocage à son action et d’une impossibilité d’asseoir une quelconque autorité (puisqu’il est président de la République, bien entendu…).

Eventuellement, en poussant le bouchon le plus loin possible, cela pourrait entraîner sa démission. Il y aurait en tout cas de quoi… Ou aussi, peut-être, la dissolution subie et non voulue de l’Assemblée Nationale en raison de contraintes insoutenables.

On peut se dire qu’il s’agirait de la meilleure solution (démission du président ou dissolution de l’Assemblée) pour un pays qu’il est en train de détruire par tous les côtés. Car, si l’on se penche sur le calendrier électoral et la présidentielle prévue pour le moment en 2017, le plus probable est la reconduction de l’équipe politique qui sera alors en place. Mieux vaudrait tout de même ne pas subir à nouveau la même équipe de bras cassés, dirigée par un président aussi irresponsable, incompétent et immature…

Le 17 janvier 2014

Thème natal de François Hollande

Hollande

 

Où va la crise ?

La crise économique n’est pas finie, tout le monde en est conscient, même si les arguments manquent parfois. La conjoncture économique s’améliore en effet dans les pays industrialisés et, petit clin d’oeil, même le catastrophiste Nouriel Roubini, le dernier gourou à la mode de Wall Street, est optimiste pour 2014 !

La ronde planétaire au-dessus de nos têtes fournit d’autres arguments, plus solides car moins irrationnels ou émotifs. Les grands cycles de Saturne à Pluton induisent non des certitudes ou des romans feuilletons, mais indiquent les tendances lourdes à l’oeuvre. On peut en déduire sans gros risques de se tromper les grandes directions de l’économie mondiale et de la prospérité humaine.

On peut le constater depuis les débuts de la crise et, si l’on veut remonter le plus loin possible, avec l’éclatement de la première bulle spéculative. Ce fut le krach Internet de 2000 à 2003 en présence d’une double opposition (angle négatif majeur de 180°) de Jupiter et surtout Saturne à Pluton. Cela provoque à chaque fois (tous les 33 ans en moyenne pour Saturne et Pluton) une « tendance » à la récession à la suite d’une croissance exagérée et généralement spéculative. Ce fut bien à nouveau le cas…

Le choc Internet a cependant été à peu près digéré de 2003 à 2007, alors que se produisait un quintile de 72° (angle favorable découvert par Kepler) entre Uranus et Pluton. Les relations favorables entre Uranus et Pluton favorisent historiquement la croissance, notamment par l’innovation technologique. Ce fut bien le cas avec l’arrivée fracassante de toutes les applications industrielles des nouvelles technologies issues d’Internet. La révolution des télécommunications trouvait alors son aboutissement.

Fort peu d’économistes ont vu ensuite le nouveau danger ou la nouvelle bulle spéculative, les prêts immobiliers subprime aux Etats-Unis. La crise a éclaté en 2007, alors que Saturne formait une opposition à Neptune. Or, ce genre de configuration, comme dans les années 1970 ou à la fin des années 1930, provoque toujours une crise de croissance de nature inflationniste à partir d’éléments touchant à la consommation des ménages. Ce fut bien une nouvelle fois le cas, l’effondrement d’une grande partie de l’immobilier américain touchant le pouvoir d’achat des ménages tandis qu’une pointe sévère d’inflation entraînait le pétrole au-dessus des 150 $ le baril.

S’il n’y avait eu que cela, la crise des subprime aurait seulement secoué un peu sèchement l’économie mondiale. Mais a succédé en 2008 et 2009 une opposition de Saturne à Uranus, la configuration planétaire qui provoque presque systématiquement une récession mondiale. Ce sont alors les ressorts essentiels de l’économie capitaliste qui se trouvent un temps brisés, provoquant toujours un nombre plus ou moins important de faillites bancaires. Ce fut le cas de façon d’autant plus spectaculaire cette fois, que l’économie des pays industrialisés était déjà sévèrement ébranlée.

Le risque systémique de faillites bancaires a alors entraîné une intervention majeure des Etats et des banques centrales : plans de relances budgétaires liés à la baisse des taux directeurs des banques centrales et mise en route d’une monétisation massive des dettes souveraines ont permis une relance fragile des économies occidentales. Cela s’est produit en présence de l’arrivée d’un demi-sextile (angle favorable de 30°) entre Uranus et Neptune de 2009 à 2011, aussitôt suivi par un demi-quintile (angle favorable de 36°) entre ces deux mêmes planètes depuis 2011. Or, les aspects favorables d’Uranus à Neptune entraînent à chaque fois des interventions publiques (les Etats et/ou les banques centrales) en faveur de l’économie. Sans juger de la qualité de ces interventions qui ne font que masquer provisoirement l’étendue des dettes souveraines des Etats, remarquons simplement que cela a permis de relancer les économies industrialisées, notamment aux Etats-Unis, au Japon et en Grande-Bretagne. Un peu moins franchement en Zone euro.

A ce stade, on peut se dire que l’économie mondiale serait à peu près sauvée si la suite des cycles planétaires devait être positive. En effet, nous arrivons à la fin des effets « favorables » de la monétisation des dettes des Etats, le demi-quintile entre Uranus et Neptune s’éloignant dans le cosmos à partir de mars 2014…

Mais la suite n’est malheureusement pas très favorable, c’est le moins que l’on puisse dire. L’endettement des Etats est devenu la préoccupation numéro un au fil des années et notamment la faillite de la Grèce en 2010. Or, un nouveau conflit planétaire d’envergure, sous la forme d’un carré (angle négatif de 90°) entre Uranus et Pluton, a approché lentement jusqu’à son installation complète en 2012 et il durera jusqu’en 2016. C’est à présent là que le bat blesse, car les duels entre Uranus et Pluton sont synonymes historiquement de faillite des Etats (comme celle de la France en 1797), de récession et de montée des extrêmes de droite en politique (comme dans les années 1930). Il s’agit aussi du principal facteur de guerres (comme pour la grande guerre de 14-18)…

La crise n’est donc pas finie, les liens positifs entre Uranus et Neptune n’ayant permis qu’une pause importante dans la crise de 2010 à 2013 et une belle remontée des indices boursiers. Mais à présent, dans la foulée de la faillite de la Grèce, il va falloir affronter les conséquences de la planche à billets des banques centrales qui n’ont fait que différer la crise de la dette en repoussant la poussière sous le tapis. Au moins, peut-on se dire, cela a permis de souffler provisoirement et à la majeure partie des économies industrialisées  de reprendre un peu de tonus comme au chômage de reculer sensiblement. Sauf celle de la France, évidemment, affectée de façon structurelle par près de 40 ans de politiques publiques irresponsables et clientélistes.

A partir de cette année et jusqu’en 2016, seul va trôner le grand conflit entre Uranus et Pluton, aggravé d’ailleurs par l’immixtion assez désastreuse de Jupiter puis de Saturne. Cela promet une relance de la crise de la dette et notamment la hausse des taux d’intérêts, un peu à l’image des années 1986 et 1987 avec le krach boursier dit des « déficits jumeaux » qui a suivi et qui s’est produit en présence d’un autre conflit entre Uranus et Pluton (un simple demi-carré de 45°…). Les mêmes causes produisant les mêmes effets, les taux d’intérêts seront sans doute un des moteurs principaux de cette nouvelle étape dans la crise de la dette. Cela risque fort, comme c’est le cas généralement, de conduire à une nouvelle récession généralisée et, déjà, on peut observer que les économies émergentes sont en phase de ralentissement chronique (Brésil, Afrique du Sud, Chine, Inde, Russie)….

Un conflit entre Uranus et Pluton est mauvais pour l’économie, car il produit en outre un assèchement de l’investissement industriel. En dehors de taux d’intérêts qui ont tendance à fortement monter et pénalisent l’investissement, les idées et les projets rentables manquent pour développer la richesse des nations. Il n’y a tout simplement plus d’innovations technologiques, ou plutôt celles-ci se développent trop lentement ou ne sont pas utilisables immédiatement… Le capitalisme se recroqueville alors sur lui-même et le résultat en est généralement la récession et la hausse du chômage.

Les tensions économiques que cela provoque alimente le repli des Etats sur eux-mêmes et le libre-échange en subit généralement les conséquences, ce qui est déjà le cas. La montée de ce nationalisme économique va de pair avec certaines formes de nationalisme politique, ce qui alimente les formations d’extrême-droite, comme on l’a si bien vu dans les années 1930 en présence d’un autre carré entre Uranus et Pluton, bien plus sévère à l’époque toutefois. Il en résulte également des facteurs de guerre puissants et, aujourd’hui, c’est le Proche-Orient qui paraît une nouvelle fois le plus visé. Pluton concernant notamment l’énergie nucléaire, civile ou militaire, une guerre autour du nucléaire iranien, quand Saturne s’en prendra à son tour à Pluton de fin 2014 jusqu’en 2016, apparaît comme une hypothèse tout à fait plausible.

Et en 2016, la crise serait-elle enfin terminée ? Hélas, non… Uranus et Neptune entreront alors en conflit de 2017 à 2019 (demi-carré de 45°), ce qui provoquera une inflation sans doute lourde et l’incapacité des Etats à réduire le chômage. Le même phénomène s’était produit dans les années 1970, provoquant la stagflation, autrement dit une croissance stagnante accompagnée d’une poussée continuelle et à deux chiffres des prix. De 2018 à 2020, une nouvelle récession paraît ensuite très probable, en raison de l’approche si négative pour la croissance économique d’une conjonction (angle de 0°) de Saturne à Pluton. Le dernier exemple en date est celui des années 1980-1982 à l’approche de la précédente conjonction entre ces deux planètes.

Heureusement, tous ces cycles négatifs jusqu’en 2020 vont ensuite s’inverser de façon radicale, à partir d’une double conjonction de Jupiter et Saturne à Pluton qui devrait marquer la fin de cette longue crise de près d’une quinzaine d’années (2007-2020). D’autres facteurs très favorables, impliquant tout à la fois Saturne, Uranus, Neptune et Pluton suivront et on devrait alors assister à un redémarrage de plus en plus puissant de la croissance économique : une nouvelle révolution industrielle n’est pas à exclure sur les années 2020-2040…

Inutile en tout cas de chercher dans l’immédiat un raccourci qui voudrait que la crise soit terminée. Elle ne l’est pas, elle ne peut pas l’être. Elle a simplement repris son souffle depuis quelques années, tout en laissant néanmoins de profondes séquelles qui vont hélas se ranimer au fil des mois à venir.

Seule petite consolation, le super-cycle planétaire, celui entre Neptune et Pluton, demeure positif : il s’agit d’un très long sextile (angle favorable de 60°) qui se noue et se dénoue depuis les années 1950. La première fois, ce furent les trente glorieuses, la seconde fois la superbe croissance des années 1980 et la troisième et dernière fois ce sera sur les années 2020-2040… Actuellement, ce cycle est relativement en sommeil et il ne saurait avoir d’effets « directs ». Il est cependant toujours présent en filigrane, constituant une sorte de filet de sécurité. Il devrait au moins éviter le pire sur les années à venir, même s’il ne pourra évidemment pas empêcher la crise de la dette de revenir frapper durement à nos portes.

Carte du prochain carré Uranus-Pluton le 21 avril 2014

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La crise est surmontée… Vive la crise !

Uranus et Neptune font des merveilles… La monétisation à tout-va de la banque centrale américaine a réussi à redonner un peu de tonus à l’économie des Etats-Unis et les politiciens de tous bords se plaisent à considérer que la crise est en passe d’être surmontée, y compris en Europe.

Le problème, c’est que cela n’est pas possible !

Le duo Uranus-Neptune est sur la fin de son influence, qui se terminera définitivement en mars prochain, dans quelques petits mois. Et, par ailleurs, le sévère conflit entre Uranus et Pluton, alimenté par Jupiter avant de l’être par Saturne, ne cesse de monter en puissance. La conclusion est claire et c’est d’ailleurs celle des économistes qui ne vivent pas dans les nuages : la crise de la dette n’a fait que commencer avec la faillite de la Grèce et elle va bientôt connaître une nouvelle étape… Sans doute à cause de la hausse des taux d’intérêts de marché, qui accompagne systématiquement tous les conflits planétaires entre Uranus et Pluton.

Une chute de la croissance mondiale devrait s’ensuivre, et elle est déjà en repli dans les économies émergentes. De là à envisager une nouvelle récession généralisée dans les pays occidentaux, c’est l’hypothèse la plus probable.

La Nouvelle Lune du 1er janvier 2014 pourrait bien donner un nouvel avant-goût de ce qui se prépare. Notre graphique ci-dessous montre ainsi une lunaison qui se produit en conjonction de Pluton et donc au carré (en conflit) avec Uranus et tout autant avec Jupiter (opposition par ailleurs si négative à Pluton)… De surcroît, Mars est également dans cette mauvaise danse, en opposition d’Uranus et au carré de la Lunaison et de Pluton comme à Jupiter.

Cette lunaison ou plus précisément la période qui l’entoure est donc assez explosive. Elle pourrait bien contribuer en tant que détonateur à révéler que la poussière accumulée sous les tapis commence à s’échapper de tous côtés et empoisonner l’atmosphère. Il n’y a d’ailleurs pas que les questions économiques qui soient concernées, mais également des risques d’attentats ou d’affrontements de nature militaire ainsi que des succès de l’extrême-droite la plus autarcique ou repliée sur elle-même au plan économique comme social.

La France apparaît comme l’homme le plus malade des pays occidentaux : quasi récession rampante, destruction de pans industriels entiers et ruine des classes moyennes à cause d’une hyperfiscalité unique au monde et d’un clientélisme monstrueux, hausse continuelle du chômage en dépit d’emplois bidons et de subventions à de fausses associations amies par de la dette supplémentaire, etc. Même les dépenses électorales des communes à la veille des élections municipales n’ont pas réussi à relancer la croissance du Pib, sauf si modestement au second trimestre 2013.

Cela prépare des révisions déchirantes d’un président qui ne sait faire que de mauvaises blagues et continuer à gaspiller au profit de sa clientèle privilégiée du secteur public ou soi-disant « associatif ». A la mauvaise gestion se mêle ainsi la gangrène de la corruption, les deux allant toujours de pair… Tous ces parasitismes ont ruiné le pays et l’année 2014 s’annonce particulièrement sombre pour le pays, le président en étant toujours à prétendre inverser la courbe du chômage avec des artifices si douteux, coûteux et contraire à l’intérêt général.

La 5ème République a été fondée en 1958 à l’approche si négative s’une conjonction Uranus-Pluton. Elle ne peut donc que subir douloureusement le conflit actuel entre ces deux planètes. Déjà conspuée de tous côtés et au plus bas dans toutes les enquêtes d’opinion, la fragile majorité de gauche va donc subir en 2014 les revers d’une politique inconsistante, sauf par son soviétisme rampant et son clientélisme. La hausse des taux d’intérêts qui est déjà en marche sur les marchés ne peut que conduire la France à la ruine et à de profondes révisions politiques.

La France dépend aussi du cycle entre Jupiter et Neptune qui, arrivé à l’étape de son sesqui-carré de 135° bien défavorable, va continuer provoquer la destruction de la crédibilité politique, notamment de gauche et socialiste. Il en résultera des mesures politiciennes encore plus douloureuses pour le peuple, et notamment les classes moyennes qui sont haïes du pouvoir en place… Une sorte de dislocation sociale du pays est déjà en train d’en résulter, un petit fonctionnaire si médiocre comme Hollande n’ayant pas la carrure pour affronter les difficultés ni provoquer des élections générales en raison de l’échec tragique de sa politique d’endettement sans fin. C’est une bien mauvaise année qui va s’ouvrir au plan général et spécialement pour la France, le maillon désormais si faible d’une Europe de plus en plus fragile en raison de la décroissance par ailleurs du cycle entre Jupiter et Saturne : l’euro sera à nouveau menacé…

Carte astrale de la Nouvelle Lune du 1er janvier 2014 à Paris.

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De la « tulipomania » à la « dettomania »…

Qu’y a-t-il de commun entre la crise des bulbes de tulipes en 1637 et la crise de la dette aujourd’hui ? Les mêmes configurations planétaires… Cela devrait donc se traduire par des résultats similaires.

Au début des années 1630, de façon tout à fait irrationnelle comme lors de la constitution de toute bulle financière spéculative, le cours des bulbes de tulipes a commencé à augmenter aux Pays-Bas. Le mouvement est devenu de plus en plus brutal, au point de rendre complètement folle une très grande partie de la population : on s’endettait pour acheter des bulbes, on mettait en gage sa maison ou même on la vendait, des marchés à terme se sont constitués et les bulbes « rares » sont devenus bien plus chers que des pierres précieuses, on se vantait d’avoir acquis à prix d’or une collection d’oignons rares…

Cette folie collective spéculative s’est produite en présence d’un demi-sextile (angle positif de 30°) entre Uranus et Neptune. Aujourd’hui, un demi-quintile positif de 36° entre ces deux planètes, soit une configuration similaire, est en train de s’achever alors que la monétisation des dettes bat son plein. C’est le premier point commun… Même si dans un cas il s’agissait d’une bulle spéculative marchande, alors qu’aujourd’hui la « bulle des dettes » est alimentée par les banques centrales et encouragée par les Etats.

La bulle sur les tulipes a commencé à crever en février 1637, quand on a commencé à s’apercevoir que l’on spéculait sur des plantes qui ne fleurissent guère plus longtemps que 15 jours par an. Ce fut la première crise financière du monde moderne et, bien entendu, cela s’est soldé par une profonde récession économique.

La belle relation entre Uranus et Neptune s’était alors achevée quelques mois plus tôt, tandis que montait en puissance un choc planétaire redoutable entre Uranus et Pluton sous la forme d’un sesqui-carré de 135°. De surcroît, Saturne est venu renforcer cette relation détestable au début de l’année 1637 (carré de 90° à Uranus et Sesqui-carré de 135° à Pluton), provoquant très directement en février le début rapide de l’effondrement des cours.

Situation similaire aujourd’hui… En effet, un carré très nocif de 90° est déjà en place entre Uranus et Pluton ! Il est potentiellement d’autant plus redoutable que Jupiter vient de passer le cap de son opposition (angle négatif majeur de 180°) à Pluton et plus secondairement d’un carré (90°) à Uranus. De plus, en 2014, Saturne viendra comme en 1637 ajouter sa mauvaise pierre à l’édifice par voie de demi-carré à Pluton et de sesqui-carré à Uranus.

On voit ainsi très bien ce qui attend l’économie mondiale sur les prochains mois et les prochaines années : l’éclatement de la bulle des dettes souveraines, l’envolée des taux d’intérêts et une très probable récession généralisée devant l’incapacité des Etats à honorer leurs dettes.

L’histoire ne se répète jamais de la même façon, bien sûr, mais signalons tout de même que la belle relation entre Uranus et Neptune va s’achever au mois de mars prochain. Quant à la guerre des tranchées entre Uranus et Pluton, elle est déjà bien engagée : l’éclatement de la bulle des dettes souveraines est donc imminente…

Carte astrale au 6 février 1637.

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Le travail de sape continue

La crise économique continue de couver mondialement et elle va bientôt ressurgir avec brutalité. Le mirage des monétisations, qui a seulement conduit à une maigre reprise économique américaine, ne durera pas plus longtemps que quelques mois…

Le dimanche 23 novembre a eu lieu un grand carré exact de 90° entre les planètes Uranus et Pluton en données héliocentriques, c’est à dire calculées à partir du Soleil et non de la Terre comme on le fait le plus souvent. Cela indique que le grand conflit entre Uranus et Pluton, calculé cette fois en données géocentriques ou à partir de la Terre, arrive à un tournant : tous les ingrédients pour qu’éclatent les graves conséquences de la confrontation entre Uranus et Pluton (de 2012 à 2016) sont désormais en place.

Un tel conflit planétaire mène à la faillite ou menace de faillite d’Etats, aux récessions ou à la chute brutale de la croissance, à l’hyperfiscalité pour combler en vain des déficits ou rembourser des dettes, à des guerres et des coups d’Etat militaire ou de nature fasciste, à l’envolée de la criminalité, au déclin et au discrédit des partis traditionnels comme à la mise en vedette de mouvements populistes ou d ‘extrême-droite.

On voit déjà, bien sûr, une série d’éléments malheureux qui vont déjà dans ce sens. Mais ils sont loin d’avoir atteint leur apogée et leurs conséquences maximales. Pour le moment, grâce à une belle relation entre Uranus et Neptune (demi-quintile de 36°), la planète vit encore au rythme du mirage de la monétisation des dettes, essentiellement menée par la Fed, la banque centrale américaine. Cela ne marchera pas : il ne restera bientôt dans le ciel que le sombre carré entre Uranus et Pluton (crise de la dette en résumé), car le duo harmonique entre Uranus et Neptune (la monétisation pour l’essentiel) va bientôt se dissoudre.

Contrairement aux espoirs de beaucoup d’économistes, la planète et notamment les économies industrialisées ne sont pas en train de sortir lentement de la crise amorcée en 2007 avec la spéculation irresponsable sur les prêts subprime. La suite de cette crise, c’est l’éclatement généralisé de la bulle de l’endettement souverain des Etats. On ne peut pas vivre durablement au-dessus de ses moyens, ce sera une nouvelle fois la leçon des prochaines années.

Carte astrale au lundi 25 novembre 2013.

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France : la débâcle

On remarque en France une contestation fiscale et sociale de plus en plus large, dont la Bretagne demeure le fer de lance. Cela correspond très bien aux signaux négatifs indiquant une probable crise politique et sociale très grave, que nous signalons depuis plusieurs mois : installé depuis fin septembre dernier, le sesqui-carré Jupiter-Neptune brille de tous ses feux, la France étant spécialement sensible à ce cycle planétaire.

Compte tenu de nos indicateurs d’une part et de la situation générale française d’autre part, il apparaît que nous ne sommes vraisemblablement qu’au début de cette crise politique et sociale. On relèvera d’ailleurs que les contestations sont assez anarchiques, dans le sens où elles mêlent des revendications qui proviennent aussi bien de l’extrême-gauche que de l’extrême-droite pour en donner une caricature. La manifestation en Bretagne de vendredi dernier a ainsi réuni un spectre politique maximal… Il ne s’agit pas de minimiser la portée de ces contestations, mais simplement d’observer que la plus grande confusion politique règne en France, ce qui se traduit également dans les mouvements de contestation. C’était la même chose en Grèce en 2010, lors des premières manifestations contre le début des mesures d’austérité.

Au plan politique, François Hollande est un fonctionnaire des impôts. Il n’a donc su qu’augmenter les impôts et, à présent, en bon fonctionnaire pantouflard qu’il est, il attend tout simplement que le vent change de direction et ne fait que le dos rond. Son impopularité record ne l’incite pas à changer quoique ce soit de fondamental, il n’a pas les capacités politiques pour remettre en question une stratégie essentiellement fiscale qui appauvrit l’ensemble du pays. La poursuite du clientélisme étatique et social ne peut que se poursuivre de cette façon et il ne fait qu’essayer d’acheter les mécontentements par de la dette supplémentaire : 1 milliard pour la Bretagne, 3 milliards pour Marseille, qui ne serviront évidemment à rien…

Si comme nous le pensons la contestation se poursuit et même s’amplifie (encore au moins 6 mois de notre point de vue de climat très explosif de façon potentielle), il y aura évidemment des conséquences et des changements. Le premier d’entre eux est déjà acquis, l’éviction du Premier ministre Jean-Marc Ayrault et son probable remplacement par Manuel Valls, le seul ministre populaire. Sauf accélération des événements, un tel changement ne se ferait qu’après les municipales de mars prochain et sans doute aussi après les Européennes qui suivront à la fin mai. Relevons d’ailleurs que le thème astral de Manuel Valls se prête très bien à une nomination éventuelle comme Premier ministre en mars ou en avril prochains… L’ampleur des contestations peut cependant entraîner une accélération de ce calendrier, voire une toute autre évolution. Valls semble au moins favorisé à titre personnel au début du printemps prochain, d’une façon ou d’une autre.

La situation mériterait d’aller plus loin et de dissoudre une Assemblée Nationale qui ne représente plus qu’elle même après à peine plus d’une année d’existence. En bon fonctionnaire fort peu courageux comme il se doit, le président ne prendra pas une mesure de dissolution, sauf s’il y est obligé par les circonstances. Et il faudrait alors que ces circonstances soient relativement « dramatiques » pour l’obliger à un tel choix. Ce n’est cependant pas impossible…

La démission elle-même du président n’est pas totalement à exclure. Elle est encore moins probable qu’une dissolution de l’Assemblée, mais là aussi tout dépendra de l’évolution de la situation.

Un élément doit à notre avis être manié avec précaution mais sans l’écarter pour autant avec trop de certitudes : l’enchaînement des événements… Dans une situation révolutionnaire (pour se référer à une situation extrême), on constate que celle-ci n’est rendue possible que par une succession inattendue de facteurs explosifs qui entretiennent les tensions et poussent au bout du compte un contexte général très dégradé à son paroxysme caricatural. C’est déjà le cas en France (toutes proportions gardées bien sûr), la mise en place de l’écotaxe étant par exemple intervenue au plus mauvais moment possible, de même que la dégradation de la dette par Standard & Poors qui a suivi le déblocage la veille des fonds pour Marseille et la Bretagne… La faute à pas de chance ? Non, c’est le produit d’une situation sur le fond désastreuse au plan fiscal, économique et social, et aussi d’une sorte de spirale qui apporte presque chaque jour un nouveau sujet de scandale, d’amateurisme, de panique politique ou de mécontentement populaire.

C’est avec cette spirale « révolutionnaire » qu’il faut aussi compter… Par définition, elle est imprévisible dans les facteurs qu’elle contient et on ne sait pas non plus jusqu’où elle peut entraîner le pays. Au stade actuel, on peut seulement observer qu’elle est en plein déploiement et vient déjà de provoquer deux chocs importants : l’affaire Léonarda qui a ridiculisé le pouvoir et montré à quel point une certaine immigration était insensée avec un coût prohibitif (600.000 euros estimés pour la seule famille de Léonarda en 4 ans); l’écotaxe qui a constitué la goutte d’eau qui a fait déborder une overdose fiscale généralisée.

Désormais, les conditions sont ouvertement réunies pour une contestation générale et centralisée de la politique économique désastreuse du pouvoir socialiste. Cela rappelle une fois de plus la Grèce de 2010, avec un Pasok socialiste en plein effondrement et qui ne s’en est toujours pas remis, plafonnant encore sous les 15% de votes et ayant provoqué une ascension des extrêmes de gauche comme de droite. En France et de façon plus générale en Europe à présent, ce sont uniquement les extrêmes de droite qui profitent de la déliquescence générale…

Les commentateurs ont à cet égard les yeux rivés sur les prochaines municipales et le choc que pourrait créer le Front National. C’est évidemment une échéance mais, dans la situation explosive actuelle, les municipales n’auront lieu que dans près de 5 mois et il peut d’ici là se produire encore bien des événements importants ou peut-être même majeurs. Parfois, l’histoire accélère à vive cadence et, sans parier que ce sera forcément le cas, il faut en tout cas en envisager la possibilité. Nos indicateurs utilisables pour la France signalent en tout cas cette simple possibilité de façon assez forte.

Le 8 novembre 2013

Carte du sesqui-carré Jupiter-Neptune au 8 novembre 2013.

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La crise de la dette tisse sa toile

Chacun voit bien que la crise économique, dans ses différents aspects, est toujours présente… Les astres ne disent pas autre chose et ils signalent aussi que la situation est loin de pouvoir s’améliorer : un nouveau carré entre Uranus et Pluton a lieu ce 1er novembre, cette mauvaise boucle planétaire étant encore là jusqu’en 2016.

Une confrontation entre Uranus et Pluton implique une mauvaise santé financière des Etats et des faillites souveraines entraînant une forte hausse des taux d’intérêts, des tendances à la récession des économies et une montée des extrêmes de droite sous leurs diverses formes populistes à cause de la faillite et de la corruption des partis politiques traditionnels. On le constate historiquement à chaque choc entre Uranus et Pluton et… on le constate à nouveau aujourd’hui : la faillite de la Grèce en a traduit le coup d’envoi.

Uranus étant en petite forme en ce moment (rétrogradation de la planète), il n’est pas sûr que le nouveau carré (le 4ème exact depuis 2012) à Pluton donne lieu à des événements spectaculaires, même si les marchés d’actions risquent d’y être sensibles. Cette configuration planétaire tisse en effet lentement sa toile, jusqu’au jour où une brutale déflagration se produit. Comme en 1987, un demi-carré entre Uranus et Pluton ayant commencé son installation une année plus tôt et provoquant le krach des « déficits jumeaux »…

Si l’on veut prendre un peu de recul, on peut mesurer que, depuis l’apparition de la « crise de la dette » en 2010, la situation a empiré : maigre croissance mondiale et surtout dans les pays industrialisés, chômage persistant de masse, endettements accrus et déficits à peine (ou pas du tout) réduits. La situation est donc devenu encore plus explosive.

Certes, les banques centrales ont dissimulé la poussière sous le tapis en monétisant les dettes, parfois à outrance comme aux Etats-Unis et au Japon, de façon plus intelligente en Grande-Bretagne ou totalement désordonnée en zone euro. Dés 2009, Uranus et Neptune ont permis cet interventionnisme des banques centrales et des Etats pour sauver les économies : un demi-sextile de 30° suivi d’un demi-quintile de 36° ont ainsi permis de gagner du temps.

Mais de cette monétisation neptunienne, nous allons passer aux faillites plutoniennes, le sud de l’Europe ayant déjà donné un sérieux avertissement. L’imbroglio budgétaire américain en apporte un nouveau beaucoup plus sérieux, sans parler de la France, l’homme malade de l’Europe avec un endettement clientéliste qui ne connaît plus ni limites ni décence… De ce point de vue, la nouvelle confrontation « exacte » entre Uranus et Pluton de ce 1er novembre marque d’une balise supplémentaire ce sinistre cheminement vers une nouvelle crise mondiale.

Le 31 octobre 2013

Carte du carré Uranus et Pluton du 1er novembre 2013.

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Catastrophe annoncée…

Imbroglio budgétaire, plafond de la dette à relever, politique monétaire de la Réserve Fédérale peu compréhensible : les Etats-Unis se rappellent au bon souvenir de la crise de la dette !

Uranus et Pluton peuvent se réjouir, les deux planètes, ne cessant dans leur choc frontal depuis 2010 et la faillite de la Grèce, d’attiser les problèmes sur les dettes souveraines. Et, ce faisant, de pousser au défaut de paiement les pays mal gérés. Ils sont nombreux…

A cet égard, le cirque budgétaire washingtonien n’est pas seulement la marque d’un système politique américain en crise, paralysé par une poignée de parlementaires idéologues du Tea Party d’un côté et un président incapable de négocier de l’autre. C’est surtout le symbole d’un pays qui ne cesse de s’endetter depuis des décennies et qui, pour mieux continuer, fait tourner une monstrueuse planche à billets depuis 2009. Tout ceci ne peut que se payer un jour ou l’autre et le conflit entre Uranus et Pluton, auquel se rajoute Jupiter depuis le mois d’août dernier, ne peut que précipiter les échéances sur les prochains mois.

Bien sûr, Saturne et Uranus sont bien disposés en ce moment et, ce cycle planétaire étant le plus influent sur les Etats-Unis, des solutions de compromis peuvent être trouvées. Mais cette influence apaisante ne va pas durer longtemps, alors que le conflit entre Uranus et Pluton, qui signifie historiquement des faillites d’Etats suivies de récessions, va poursuivre de son côté son oeuvre destructrice jusqu’en 2016.

La crise de la dette apparaît ainsi bien loin d’être terminée. Elle a commencé par un pays fragile comme la Grèce, elle finira comme toutes les crises systémiques par atteindre le coeur de la machine et notamment les Etats-Unis. Comme lors du krach de 1987, baptisé à l’époque krach des déficits jumeaux, qui avait déjà été provoqué par un conflit entre Uranus et Pluton (demi-carré de 45°).

La catastrophe est annoncée par la course inéluctable d’Uranus et Pluton, seuls les détails et les mécanismes précis sont encore largement inconnus. Une nouvelle récession devrait s’ensuivre…

Le 4 octobre 2013

Nouvelle Lune du 4 octobre

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Le choc des municipales

Les municipales françaises des 23 et 30 mars 2014 pourraient bien constituer un important choc politique, voire créer une situation et des rapports de force tout à fait inédits depuis les débuts de la 5ème République. Le Front National devrait en tout cas réaliser une importante percée.

Notre graphique ci-dessous montre que le second tour des élections va se produire sur une Nouvelle Lune, celle-ci mettant en valeur le grand et si mauvais carré planétaire entre Uranus et Pluton. Sans oublier Jupiter, qui agresse lui-même Pluton et Uranus.

Or, un mauvais Pluton favorise l’extrême-droite… On le voit déjà depuis un bon moment et l’installation du carré Uranus-Pluton. En France bien sûr, mais aussi dans toute l’Europe et même bien au-delà. Les prochaines élections belges risquent également de créer bien des surprises avec la montée de partis « populistes » et indépendantistes…

En fait, les conflits entre Uranus et Pluton constituent un terreau pour l’extrême-droite, comme ce fut notamment le cas dans les années 1930 (également un carré de 90°, bien qu’encore plus agressif que dans les années actuelles). La crise déstabilise les partis traditionnels de droite comme de gauche, leur clientélisme habituel ne fait plus recette et la crise bouleverse tout le champs politique. L’extrême-droite, sous pareille configuration planétaire, a tendance à agglutiner tous les mécontentements et toutes les rancoeurs. Et il y en a beaucoup !

Les dernières élections législatives partielles françaises ont déjà montré que le Front National de Marine Le Pen avait le vent en poupe. Les premiers sondages pour les municipales confirment cette implantation de plus en plus profonde, faisant souvent du FN le second parti en terme d’intentions de votes, le plus souvent devant le PS.

Le scrutin municipal pourrait ainsi voir un grand nombre de triangulaires aux résultats incertains. Et à l’issue du vote, la conséquence majeure sera peut-être de constater qu’il existe désormais trois grands partis politiques et non plus deux… En tout cas, on peut sans doute envisager un séisme à ces municipales !

Le 8 septembre 2013

Carte du ciel le 30 mars 2014 à 20h0

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Marasme et tempête jupitériens

Ce mois d’août 2013 voit se produire une nouvelle configuration planétaire de première importance : elle risque fort de créer un nouveau climat économique et politique sur les deux prochaines années ! Rien que cela…

Jupiter arrive ainsi en opposition de Pluton (angle négatif majeur de 180°) le mercredi 7 août. Cette configuration se produit tous les 12 ou 13 ans et a eu lieu la dernière fois le 4 septembre 2000. Ce jour là précisément, tous les indices boursiers occidentaux ont fait des sommets (dont le pic historique du CAC 40 à 6944 points…) et se sont ensuite effondrés de -30% sur les huit mois suivants. C’était en fait le début du krach internet et d’une molle récession qui a duré trois ans…

Ce repère astrologique est donc intéressant. Il l’est d’autant plus qu’existe par ailleurs, depuis 2010 et jusqu’en 2016, une configuration encore plus importante sous la forme d’un carré (angle négatif de 90°) entre Uranus et Pluton. Cette relation planétaire, comme au début des années 1930 ou lors du krach de 1987, met en valeur des endettements excessifs et provoque la faillite d’Etats comme d’entreprises de premier plan; et elle pèse lourdement sur la croissance économique, au point d’entraîner le plus souvent des périodes de récession de plusieurs années. Inutile de dire que les premiers exemples abondent déjà en Europe du Sud ou au plan de collectivités locales américaines (faillite récente de Détroit notamment).

Pour simplifier, tous ces maux dépendent d’un « mauvais » Pluton… Agressé par Uranus depuis déjà 2 années et à présent pour une année entière par Jupiter, il est donc logique d’envisager une nouvelle étape dans la crise de la dette et de nouvelles pressions négatives sur la croissance mondiale. En résumé, de par sa mauvaise position à partir de mois d’août, Jupiter  risque fort de relancer une crise économique qui a pris sa source dans l’affaire des subprime en 2006-2007 et d’en constituer un nouveau chapitre. Autrement dit, Jupiter risque d’exciter Uranus et Pluton et de provoquer sur les deux ou trois ans à venir un marasme économique supplémentaire et des tensions bien plus vives sur les taux d’intérêt et les pays excessivement endettés et insouciants comme la France ou les Etats-Unis après l’Europe du Sud.

Pour le moment et depuis environ une année, un joli tandem entre Uranus et Neptune (demi-quintile de 36°) a permis une respiration dans la crise des pays occidentaux. Si cette relation va persister jusqu’au printemps 2014, on peut cependant douter qu’elle permette la poursuite de l’apaisement d’ailleurs assez relatif des derniers mois. Sans doute cela donnera-t-il encore quelques espoirs ponctuels jusqu’au printemps 2014, mais on parlera peut-être surtout de simples soubresauts.

Les conséquences politiques d’une telle situation économique sont désormais connues et on voit bien monter de toutes part le populisme de droite. Comme sous pareille influence la présidentielle française de 2002 qui avait vu s’affronter Jacques Chirac et Jean-Marie le Pen. Les prochains mois devraient être encore plus riches sur ce plan, y compris pour la Belgique qui pourrait finalement éclater à l’issue des divers scrutins du printemps prochain. Les municipales françaises pourraient également apporter une évolution politique majeure..

Finalement, la planète Pluton devrait une nouvelle fois mériter sa réputation sulfureuse quand elle se retrouve en mauvaise posture : elle fait éclater au grand jour les scandales (corruption, sexe, manipulations) et permet de donner un grand coup de balai. Cela se fait cependant dans la douleur et la violence…

Le 4 août 2013

Carte du ciel au mercredi 7 août 2013

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Sans doute le bouquet final…

Personne n’ignore la crise, sauf… les indices boursiers ! Dopés par la planche à billets des banques centrales et notamment celle de la Réserve fédérale américaine, les marchés se portent comme des charmes depuis près d’un an, en particulier ceux du New York Stock Exchange qui ont même établi de nouveaux sommets historiques depuis 2007. On mesure le décalage avec la réalité économique américaine…

Tout cela est très neptunien et, sur ce mois de juillet, Uranus et Neptune (demi quintile positif de 36°) ont reçu l’appuis de Saturne (trigone favorable de 120° à Neptune) ainsi que de Jupiter (autre trigone constructif de 120°). Les investisseurs bénissent ainsi l’action de la Fed qui, faisant couler de l’argent à gogo à des taux sans intérêts, a finalement créé les conditions d’une vraie bulle spéculative sur les actions.

C’est typique d’une influence dominante de Neptune : on dépense sans compter… Quand le contexte est vraiment positif, cela ne pose aucun problème particulier et, au contraire, cela constitue un des moteurs de l’économie, notamment par les dépenses de consommation des ménages et un endettement raisonnable car à la mesure de l’enrichissement individuel comme collectif. On l’a fort bien vu lors de la forte croissance des 30 glorieuses et au début des années 1980 (sextile positif Neptune-Pluton de 60°); et de la même façon sur la décennie des années 1990 (avec notamment les conjonctions hautement favorables Saturne-Neptune puis Uranus-Neptune de 0°).

Malheureusement, la situation est toute différente aujourd’hui. Certes, Neptune brille de tous ses feux depuis deux ans (demi quintile d’Uranus) mais, parallèlement, la décroissance de tous les cycles de Saturne et le grand conflit entre Uranus et Pluton (carré fortement négatif de 90° de 2010 à 2016) alimente, comme c’est toujours le cas sous une influence similaire, des crises liées à des endettements publics et privés excessifs tout en ralentissant fortement la croissance mondiale.

Dernier exemple d’envergure : la faillite de la ville de Détroit aux Etats-Unis. Cela rappelle aux esprits naïfs que la crise de la dette comme la menace d’une récession généralisée, au moins dans l’ensemble des pays occidentaux, sont loin de constituer des menaces qui auraient été conjurées par la magie de l’argent artificiel des banques centrales. Non, cela n’a fait que repousser les échéances avec l’aide pour une fois bien délétère de Neptune.

Dés cet été, une bonne partie des influences neptuniennes, notamment celles apportées par Saturne et Jupiter, va d’ailleurs disparaître. Restera au firmament planétaire le grand carré Uranus-Pluton, puissamment renforcé à partir du mois d’août par une opposition de Jupiter à Pluton, c’est à dire un angle négatif majeur de 180°… Or, un mauvais Pluton rime au plan économique avec dettes insoutenables et récessions !

Voilà ainsi un nouveau paramètre qui entre dans la danse avec Jupiter, dont la seule installation de son opposition si redoutable avec Pluton, va s’étaler durement pendant près d’une année entière… Et pour ceux qui auraient des doutes légitimes sur l’importance potentielle d’une telle influence planétaire, on peut par exemple relever, puisqu’une telle configuration se présente tous les 12 ou 13 ans, que la précédente a eu lieu en 2000-2001 et correspondu au début du krach Internet dont beaucoup d’investisseurs gardent encore un souvenir bien amer ! Sur les indices boursiers européens, cela avait déjà représenté une purge de -30% environ, qui s’est ensuite accentuée en 2001, 2002 et 2003 sous d’autres influences non moins heureuses (opposition Saturne-Pluton en l’occurrence)…

Dans l’immédiat, on voit déjà un grand nombre de menaces se profiler au fil des jours et des mois : faillite de Détroit qui en annonce bien d’autres avec des collectivités locales et des Etats surendettés à l’excès aux Etats-Unis; scandale majeur de corruption du gouvernement Rajoy en Espagne, qui risque fort de relancer la crise de la dette européenne et celle de la gouvernance d’une zone euro en pleine errance; crise politique française avec l’effondrement des socialistes, une multitude de scandales et une désagrégation de la société; ralentissement de plus en plus sévère de la croissance des pays émergents, notamment de la Chine et de l’Inde; hausse déjà préoccupante des taux d’intérêts de marché aux Etats-Unis et en Europe; baisse générale de l’immobilier, etc. Autant de facteurs qui dépendent du conflit entre Uranus et Pluton.

Pour mémoire, le dernier heurt Uranus-Pluton, bien que beaucoup plus léger, a eu lieu en 1986-1987 (demi-carré négatif de 45°). On a alors eu une forte hausse des taux d’intérêts, un grand krach boursier, une récession généralisée évitée de justesse dans les pays industrialisés et un effondrement de l’immobilier…

Dans ces conditions, la belle fête neptunienne des marchés d’actions ne saurait durer bien longtemps… Elle n’annonce nullement un redémarrage général de la croissance comme le pensent les idéologues de gauche, mais ne fait que refléter la formation d’une grosse bulle spéculative. Une de plus… La purge est devant nous, son potentiel est impressionnant et peut se chiffrer en dizaines de pourcents sur les indices boursiers. Elle entraînera ou accentuera un inévitable retour en récession à cause des monstrueux endettements publics qui existent des deux côtés de l’Atlantique.

Le 20 juillet 2013

Carte du ciel au lundi 22 juillet 2013 carte_du_ciel_astroquick-9