VERS UNE PLAUSIBLE ASSEZ BELLE FIN D’ANNÉE
Bourse Anticipations novembre 2020
Bourse Anticipations novembre 2020, n°312
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Depuis le mois d’août 2020, il est clair qu’il y a une deuxième vague de prolifération du coronavirus dans les pays occidentaux. Cela est dû au plan astrologique à la persistance de la confrontation entre Uranus et Neptune, ainsi qu’à l’approche toujours négative d’une conjonction Jupiter-Neptune qui aura lieu en 2022.
Si l’on cherche le meilleur repère pour redouter une épidémie ou une pandémie sévère, cela se produit lors de conflits entre Uranus et Neptune et/ou à l’approche d’une conjonction Jupiter-Neptune. On peut sur ce plan se référer aux grippes asiatique en 1956-1958 ou de HongKong en 1968-1970 ou espagnole de 1918-1919. Bien entendu, avec une confrontation Uranus-Neptune et en même temps l’approche à moins de deux années d’une conjonction Jupiter-Neptune, on se situe dans le pire des cas de figure. Comme c’est le cas actuellement, pour les débuts de la pandémie de peste au XIVème siècle en Europe ou la grippe de Hong Kong à la fin des années 1970.
Actuellement, on a un mauvais demi-carré de 45° entre Uranus et Neptune depuis l’été 2017 et on est à environ un an et demi d’une conjonction Jupiter-Neptune. Le coronavirus est apparu en 2019 en Chine et il a poursuivi sa course jusqu’ici.
Lors de l’explosion de la pandémie au début de cette année 2020, la confrontation entre Uranus et Neptune était particulièrement féroce pendant plus de trois mois entiers (de décembre 2019 à avril 2020 en particulier). Actuellement, cette confrontation, après une période de relâchement relatif de la fin du printemps à la fin de l’été dernier, est en train de se resserrer jusqu’au printemps 2021.
Cela n’implique pas que la seconde vague de la pandémie va être aussi sévère que la première et durer sur la même période annuelle. L’astrologie ne peut entrer dans de tels détails, sauf à induire le plus souvent en erreur. Le repère était présent au plan des risques de pandémies depuis l’été 2017 à cause d’Uranus et Neptune. Puis il s’est singulièrement accru à partir de 2019, car Jupiter se situait à deux années de sa conjonction à Neptune et, historiquement, c’est sa position dans le temps la plus nocive. La grippe espagnole, outre une opposition Uranus-Neptune un peu antérieure, a visiblement attendu une telle position de Jupiter vis à vis de Neptune au printemps 1918 pour débuter son grand carnage qui a fait entre 20 et 50 millions de morts.
Actuellement, on peut simplement se dire que le risque d’une seconde vague dévastatrice existe. Pour autant, la confrontation Uranus-Neptune était plus sévère l’an dernier (à un seul degré d’orbe pour le demi-carré de 45°) et elle le sera sensiblement moins durant l’hiver et le début du printemps prochain (à environ un peu plus de 2 degré d’orbe).
Le Pr. Didier Raoult estime d’ailleurs que le second épisode de la pandémie est moins sévère et que les hospitalisations ou réanimations ont de bonnes chances d’être moins nombreuses. Nous verrons bien ce qu’il en est, mais ce n’est pas impossible. Dans ce cas, on pourrait alors se dire que cela correspond assez bien à un demi-carré Uranus-Neptune moins serré et donc « théoriquement » moins agressif dans ses effets.
En tout cas, au plan astrologique, nous voulions simplement souligner que le virus, qui dépend d’Uranus-Neptune et de l’approche de la conjonction Jupiter-Neptune qui aura lieu en 2022, peut encore provoquer des drames sur les six mois à venir. Mais c’est bien possible que ce soit moins redoutable que lors de la première vague, même si une telle nuance est très difficilement mesurable avec les cycles planétaires.
Carte du ciel au 28 février 2021 lors de la période hivernale où le choc Uranus-Neptune sera le plus théoriquement nocif :
Le choc actuel entre les planètes Uranus et Neptune, comme dans les années 1970, favorise le gauchisme sous ses différentes formes.
Les affaires Floyd et Traoré ne sont pas identiques, le premier ayant été visiblement tué par un policier violent et le second étant décédé naturellement d’une faiblesse cardiaque. Le seul point commun entre les deux affaires est qu’il s’agissait de deux délinquants multirécidivistes, violents et déjà condamnés à d’assez lourdes peines de prison.
L’extrême-gauche islamo-gauchiste s’est enflammée à partir de la mort de George Floyd. Cependant, on ne sait pas si le policier meurtrier l’a simplement fait à cause de sa brutalité naturelle excessive ou s’il avait un motif raciste.
Il en va ainsi du gauchisme… Il n’a nul besoin de faits avérés pour se manifester, tout est dans l’émotion qu’il essaye de susciter et tant pis pour les manipulations évidentes que cela entraîne. Or, un mauvais Neptune pousse toujours à la malhonnêteté et aux manipulations. Et avec Uranus, c’est toujours violent et brutal, comme en ont témoigné toutes les déprédations au travers des émeutes qui ont suivi.
Bien entendu, cette flambée de colère, à défaut d’avoir un vrai fondement « anti-raciste », a pour origine la crise économique provoquée par le coronavirus et la peur d’un chômage qui s’envole sur les cinq continents. Le gauchisme y a trouvé un terreau naturel pour alimenter une agitation anti-raciste.
Pour le moment, l’extrême-gauche tient le haut du pavé : on dissout la police de Minneapolis, on réduit les crédits de la police à New York au profit de dépenses sociales pour la communauté de couleur, on interdit en France le placage ventral pour les arrestations et on invite même à discuter le si violent gang familial Traoré dont au moins 5 membres sont en prison ou y sont passés pour des faits de graves violences, de tortures, de vols, de viols et de trafics divers…
Bref, on marche complètement sur la tête. De nombreux gouvernements occidentaux en viennent à mélanger eux-mêmes tout ce qui peut bouillonner anarchiquement dans la tête d’un gauchiste !
De toute cette agitation brouillonne, il ne restera évidemment rien au bout du compte. Comme dans les années 1970 où les communautés hippies se sont auto-dissoutes et où les petits partis d’extrême-gauche ont implosé tout aussi rapidement.
Il peut cependant en rester des groupuscules terroristes qui existent déjà plus ou moins sur un mode indigéniste ou anti-colonial. Peut importe qu’il n’y ait plus de colonies depuis des décennies et que l’esclavage n’existe plus que dans les repères islamistes en Afrique…
Mais les années 1970 avaient entraîné la création de nombreux groupes terroristes de nature diverse : bande à Baader en Allemagne, Action Directe en France, Brigades Rouges en Italie, Eta en Espagne, Ira en Irlande, etc. C’est évidemment ce que l’on peut redouter sur les prochaines années.
C’est tout cela que l’on peut redouter d’une confrontation entre Uranus et Neptune. Au-delà du verbe gauchiste qui peut faire sourire, il y a la violence propre à l’extrême-gauche qui est elle beaucoup plus redoutable.
En France, par ailleurs, on assiste à un véritable effondrement des valeurs démocratiques avec ce surgissement islamo-gauchiste. Pour résumer brièvement la situation, le pouvoir courtise les voyous et même le gang Traoré, désarme la police, encense les lobbys « anti-racistes » avides de subventions et oublie les meurtres ignobles de blancs et notamment de Juifs par certaines petites mafias de couleur.
Le calcul politique du président derrière tout cela est évident : il veut affoler les électeurs de la droite traditionnelle pour les pousser dans les bras du Rassemblement National de Marine Le Pen. A la présidentielle de 2022, il estime qu’il la battrait alors facilement, tandis que cela pourrait être plus compliqué avec un candidat LR de la droite classique. Cela permet aussi au président Macron d’aller flatter son électorat de gauche, qui commençait à s’éloigner.
Ce genre de calculs politiciens est assez honteux, bien sûr, et témoigne de l’abandon complet de l’intérêt général. Après la désastreuse gestion de l’épidémie de coronavirus en France qui donne lieu à 80 plaintes contre les ministres ou hauts-fonctionnaires de la Santé, le pays s’enlise de plus en plus dans une profonde crise politique.
Cela est assez typique de l’approche toujours négative d’un nouveau cycle entre Jupiter et Neptune. Or, cette paire planétaire est celle qui a le plus d’influence sur les destinées de l’hexagone. De surcroît, on peut penser que le président Macron a tout faux car il ne sera probablement pas réélu en 2022.
En particulier, l’élection présidentielle va se dérouler en présence d’une conjonction entre Jupiter et Neptune, ces deux planètes représentant le principal cycle pour la France. Ce nouveau cycle planétaire inaugure normalement une alternance politique… Cela n’indique pas quel camp politique va succéder à celui d’Emmanuel Macron, mais cela signale un changement politique complet.
Le dernier exemple en date est celui de la surprenante arrivée au poste de Premier ministre du socialiste Lionel Jospin en 1997. Le président conservateur Jacques Chirac avait dissout l’Assemblée Nationale pour conforter sa majorité, mais son calcul s’est révélé faux à cause… d’une nouvelle conjonction entre Jupiter et Neptune ! Les socialistes l’avaient emporté.
Emmanuel Macron s’apprête en quelque sorte à répéter la même erreur avec la future conjonction Jupiter-Neptune de 2022. Il ne devrait donc pas réussir à faire un second mandat.
Carte astrale au 25 mai 2020, lors de l’arrestation et de la mort de George Floyd à Minneapolis. On y voit bien le demi-carré de 45° entre Neptune et Uranus, renforcé par la mauvaise position de Vénus et Mercure vis à vis de ce duo explosif :
Abordons les tensions Chine-USA actuelles, ravivées à cause de l’attitude liberticide des communistes chinois vis à vis de Hong Kong. Elles ont en fait commencé avec la guerre commerciale depuis l’été 2018 et se sont sérieusement tendues avec le coronavirus, l’attitude choquante de l’OMS infiltrée totalement par la Chine et les mensonges du régime communiste sur l’importance de l’épidémie. Donald Trump n’a pas tout à fait tort de dire que la Chine a provoqué une « tuerie de masse » en ne partageant pas des informations essentielles pour lutter contre le Covid-19.
Cela donne à penser que la conjonction Saturne-Pluton de janvier dernier va entraîner sur les 35 années à venir et jusqu’autour de l’année 2053 une menace pour la paix mondiale, à cause des tensions entre l’Occident et la Chine et notamment entre les Etats-Unis et cette dernière. Même la si timorée Union Européenne a émis quelques critiques contre Pékin.
Les conjonctions Saturne-Pluton ont en effet un impact a priori très puissant pour la stabilité mondiale. Les précédents conjonctions ont eu lieu en 1914 (deux guerres mondiales ensuite), en 1947 (guerre froide ensuite) et en 1982 (terrorisme islamiste jusqu’à aujourd’hui).
On peut penser que le terrorisme islamiste va peut-être se réduire et disparaître progressivement, mais que les tensions avec la Chine vont perdurer et pourraient même s’amplifier à tel ou tel moment de façon bien plus dure qu’aujourd’hui.
La chute du régime communiste et l’instauration d’une démocratie libérale en Chine aideraient à réduire ces tensions. Cela pourrait intervenir petit à petit sur les prochains mois, la Chine dépendant par ailleurs étroitement du cycle Saturne-Pluton qui vient donc de se renouveler depuis janvier dernier : il peut donc apporter des changements positifs, même si on ne les voit évidemment pas pour le moment.
Mais une évolution démocratique peut ne pas avancer avant l’année 2026 et une conjonction Saturne-Neptune et aussi une belle relation Uranus-Neptune. La Chine communiste dépend en effet également étroitement du cycle Saturne-Neptune qui, en 2026, devrait favoriser les libertés et la démocratie car Neptune sera très positif. C’est à dire l’inverse d’aujourd’hui…
Carte du ciel de la conjonction Saturne-Pluton du 12 janvier 2020
La planète Neptune, c’est notamment la consommation…
En 1993, Uranus est venu former une conjonction avec Neptune, renouvelant ainsi un cycle planétaire qui dure environ 170 ans ! Ce fut le point de départ, au plan du consommateur, d’une « mondialisation » très profitable qui a fait baisser les prix de l’habillement des deux/tiers, l’informatique de moitié, etc.
Ce cycle si positif pour le consommateur se heurte à présent à un mauvais virus, presque aussi mortifère que la grippe espagnole de 1918-1919 (2,3 contre 3% à peu près). Cela va changer nos habitudes de consommation et nous faire payer plus cher ! Il n’y a qu’à voir la tête si peu sympathique de Greta pour le comprendre…
Actuellement, depuis 2017 et en gros jusqu’à l’été prochain, et surtout de façon très agressive de décembre dernier jusqu’en avril prochain, le cycle Uranus-Neptune est à sa première étape négative avec un demi-carré de 45° très brutal. D’où le virus (Neptune concerne les virus autant que la consommation !).
Cela va entraîner par conséquent, outre les problèmes de santé publique, de nouvelles approches de consommation. Consommateurs, sortez vos chéquiers, pour une raison ou une autre, vous paierez plus cher !
L’inflation est au coin de la rue, de la même façon qu’un mauvais Neptune crée les mauvaises récoltes et les famines, comme c’est le cas en Afrique de l’Est avec la si démente invasion actuelle de sauterelles qui détruit toute l’agriculture de cette région immense.
Les bobos-écolos et leur refus du progrès va avoir un peu de vent dans les voiles avec leurs aberrations du « consommer local » qui ne pourrait nous ramener qu’à l’âge de pierre s’il était vraiment appliqué. Mais pendant un certain temps, ces idéologies anti-consommation vont prospérer.
Pas si longtemps pour autant… Le cycle Uranus-Neptune subit certes une sorte de coup d’arrêt actuellement, mais le cycle est de toute façon positif et constructif. Il s’en remettra ! Et surtout en approchant des années 2025 et surtout 2026 avec un superbe sextile très positif de 60°.
A la moitié de la décennie, on comprendra de façon un peu plus mûre qu’il n’y a qu’une seule planète, une seule économie, un seul marché et un seul intérêt général pour le consommateur que nous sommes tous.
Carte du ciel au 1er mars avec, pour le moment, le demi-carré Uranus-Neptune qui est omniprésent.
Le meurtre de l’un des chefs terroristes iraniens met toute la région en ébullition : l’Iran des Mollahs adore utiliser l’arme terroriste depuis sa création, mais ne supporte pas d’en subir les conséquences. De surcroît, la catastrophe économique à cause des Mollahs (hyper-inflation, faillites en chaîne, chômage de masse…) encourage évidemment les politiques nationalistes et aventureuses…
L’approche toujours très négative et bien guerrière de la conjonction Saturne-Pluton le 12 janvier prochain nous réserve peut-être une escalade militaire au Moyen-Orient. Sans faire de prévisions à ce sujet, l’histoire de l’approche si délicate des conjonctions Saturne-Pluton montre qu’elles correspondent à beaucoup de bains de sang.
La précédente a eu lieu fin 1982. Sur les trois années précédentes, on a eu les débuts de l’invasion soviétique de l’Afghanistan, de la si meurtrière guerre Iran-Irak (déjà…), de la guerre des Malouines, des attentats de l’OLP contre Israël ayant mené à l’intervention de Tsahal au Liban contre les camps armés palestiniens, etc.
Israël n’aime pas les mauvaises relations Saturne-Pluton et pourrait donc se trouver impliqué malgré lui dans l’escalade actuelle.
Tout cela est à suivre avec attention sur les prochaines semaines, d’autant plus qu’Uranus est en conflit très serré de Neptune (demi-carré de 45°) jusqu’en avril ou mai prochains. Cela encourage non seulement les guerres commerciales, mais aussi différents fanatismes d’extrême-gauche ou islamistes.
Le pétrole a déjà connu une belle petite flambée en fin de semaine, et bien sûr les bourses d’actions peuvent être sensibles à une escalade des tensions au Moyen-Orient.
Carte aujourd’hui de l’approche si négative de la conjonction Saturne-Pluton du 12 janvier prochain et demi-carré Uranus-Neptune bien visible à un degré d’orbe seulement.
DES PARAMÈTRES ASSEZ ENCOURAGEANTS
Bourse Anticipations novembre 2019
Bourse Anticipations novembre 2019, n°300
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