Depuis le mois d’août 2020, il est clair qu’il y a une deuxième vague de prolifération du coronavirus dans les pays occidentaux. Cela est dû au plan astrologique à la persistance de la confrontation entre Uranus et Neptune, ainsi qu’à l’approche toujours négative d’une conjonction Jupiter-Neptune qui aura lieu en 2022.
Si l’on cherche le meilleur repère pour redouter une épidémie ou une pandémie sévère, cela se produit lors de conflits entre Uranus et Neptune et/ou à l’approche d’une conjonction Jupiter-Neptune. On peut sur ce plan se référer aux grippes asiatique en 1956-1958 ou de HongKong en 1968-1970 ou espagnole de 1918-1919. Bien entendu, avec une confrontation Uranus-Neptune et en même temps l’approche à moins de deux années d’une conjonction Jupiter-Neptune, on se situe dans le pire des cas de figure. Comme c’est le cas actuellement, pour les débuts de la pandémie de peste au XIVème siècle en Europe ou la grippe de Hong Kong à la fin des années 1970.
Actuellement, on a un mauvais demi-carré de 45° entre Uranus et Neptune depuis l’été 2017 et on est à environ un an et demi d’une conjonction Jupiter-Neptune. Le coronavirus est apparu en 2019 en Chine et il a poursuivi sa course jusqu’ici.
Lors de l’explosion de la pandémie au début de cette année 2020, la confrontation entre Uranus et Neptune était particulièrement féroce pendant plus de trois mois entiers (de décembre 2019 à avril 2020 en particulier). Actuellement, cette confrontation, après une période de relâchement relatif de la fin du printemps à la fin de l’été dernier, est en train de se resserrer jusqu’au printemps 2021.
Cela n’implique pas que la seconde vague de la pandémie va être aussi sévère que la première et durer sur la même période annuelle. L’astrologie ne peut entrer dans de tels détails, sauf à induire le plus souvent en erreur. Le repère était présent au plan des risques de pandémies depuis l’été 2017 à cause d’Uranus et Neptune. Puis il s’est singulièrement accru à partir de 2019, car Jupiter se situait à deux années de sa conjonction à Neptune et, historiquement, c’est sa position dans le temps la plus nocive. La grippe espagnole, outre une opposition Uranus-Neptune un peu antérieure, a visiblement attendu une telle position de Jupiter vis à vis de Neptune au printemps 1918 pour débuter son grand carnage qui a fait entre 20 et 50 millions de morts.
Actuellement, on peut simplement se dire que le risque d’une seconde vague dévastatrice existe. Pour autant, la confrontation Uranus-Neptune était plus sévère l’an dernier (à un seul degré d’orbe pour le demi-carré de 45°) et elle le sera sensiblement moins durant l’hiver et le début du printemps prochain (à environ un peu plus de 2 degré d’orbe).
Le Pr. Didier Raoult estime d’ailleurs que le second épisode de la pandémie est moins sévère et que les hospitalisations ou réanimations ont de bonnes chances d’être moins nombreuses. Nous verrons bien ce qu’il en est, mais ce n’est pas impossible. Dans ce cas, on pourrait alors se dire que cela correspond assez bien à un demi-carré Uranus-Neptune moins serré et donc « théoriquement » moins agressif dans ses effets.
En tout cas, au plan astrologique, nous voulions simplement souligner que le virus, qui dépend d’Uranus-Neptune et de l’approche de la conjonction Jupiter-Neptune qui aura lieu en 2022, peut encore provoquer des drames sur les six mois à venir. Mais c’est bien possible que ce soit moins redoutable que lors de la première vague, même si une telle nuance est très difficilement mesurable avec les cycles planétaires.
Carte du ciel au 28 février 2021 lors de la période hivernale où le choc Uranus-Neptune sera le plus théoriquement nocif :