La pandémie sur la fin ?

Le nombre de contaminations ne cesse de baisser dans le monde et on peut donc se demander si la pandémie de Covid-19 n’est pas en train de se terminer. La planète Neptune, qui concerne les virus et les épidémies, ne dira pas le contraire…

La sulfureuse OMS elle-même estime que l’on est probablement à la fin de la pandémie. En tout cas, il y a à présent dans le monde moins de 500 000 contaminations par jour contre plus d’1 million début août, soit une baisse supérieure à 50% en un mois et demi. En France les contaminations ont presque doublé depuis la rentrée scolaire à presque 30 000 cas par jour, mais le ministre de la Santé cherche surtout à faire peur avec une 8 ème vague dont la possibilité est pour le moment bien douteuse : il n’y a aucune nouvelle souche ou nouveau variant pour l’envisager à ce stade…

Il serait normal que la pandémie s’achève naturellement, car le mauvais Neptune qui l’a provoquée est devenu à présent neutre ou positif. En premier lieu, le demi-carré agressif et négatif entre Uranus et Neptune est à présent disloqué. Uranus ne peut donc plus permettre à Neptune de propager des virus, anciens ou nouveaux.

En second lieu, nous avons eu en avril dernier une conjonction très positive de Jupiter à Neptune. Cela a mis un terme au désastreux Jupiter de la fin toujours si négative de son cycle avec Neptune. Là aussi, on est passés du négatif au positif.

Initialement, on pouvait penser que la pandémie allait sans doute s’arrêter dès le printemps dernier, dans la foulée de cette conjonction Jupiter-Neptune. Mais c’était un peu trop optimiste, car Jupiter a formé sa conjonction à Neptune mais demeure comme scotché à lui. Depuis avril dernier, il y a à peine eu au maximum environ 13° d’écart angulaire entre les deux planètes.

Autrement dit, on peut sans doute considérer que la conjonction n’est pas complètement formée car Jupiter est resté collé à Neptune. Jupiter revient d’ailleurs en ce moment au plus près de Neptune et, vu de la Terre, l’orbe minimal sera atteint en novembre prochain avec seulement 6° d’écart angulaire. Pour dépasser environ 15° et considérer que la conjonction est franchement formée, il faudra attendre février 2023.

D’ici là, cela peut éventuellement laisser la place à une potentielle 8 ème vague de contaminations. Mais ce n’est pas sûr du tout… La conjonction Jupiter-Neptune a tout de même été formée et elle peut ne produire ses effets constructifs que progressivement. Pour le moment, c’est ce qui semble se produire : le virus Omicron est toujours là, mais il contamine de moins en moins et sa nocivité est beaucoup moins redoutable que pour les variants précédents. Il n’y a désormais que 1 600 décès recensés par jour dans le monde contre plus de 10 000 au début de l’année et jusqu’à 15 000 au plus fort de la pandémie.

Carte du ciel au 17 septembre : elle montre qu’Uranus et Neptune ne sont plus en conflit avec un angle désormais de 54°; et que Jupiter demeure toujours très proche de Neptune à environ 10° actuellement.

La menace nucléaire

L’invasion russe en Ukraine fait planer une menace nucléaire sur toute l’Europe à cause des manigances de Vladimir Poutine à Tchernobyl et Zaporijia. C’est la planète Pluton qui concerne le nucléaire et représente potentiellement des dangers évidents.

Pour se convaincre de l’importance de Pluton en matière nucléaire, les bombardements américains d’août 1945 sur les villes d’Hiroshima et Nagasaki ont eu lieu en présence d’un conflit direct entre Jupiter et Pluton. Même situation lors de la crise des fusées à Cuba en octobre 1962 avec une opposition de Jupiter à Pluton et, aussi, la fin négative du cycle entre Uranus et Pluton.

Les accidents de Tchernobyl et Fukushima mettent également en valeur un mauvais Pluton : un méchant demi-carré Uranus-Pluton en 1986 lors de l’explosion de la centrale de Tchernobyl; et au début d’une confrontation Uranus-Pluton, essentiellement une opposition Jupiter-Saturne agressant Pluton en mars 2011 lors de l’accident de la centrale de Fukushima au Japon.

Actuellement, la guerre en Ukraine éveille le problème nucléaire et, à chaque incident, on y voit aussi la marque de Pluton. Il n’y a heureusement pas de conflit planétaire important avec des planètes dites « lourdes » comme Jupiter, Saturne, Uranus ou Neptune. Mais à chaque mauvais passage vis à vis de Pluton des planètes dites « rapides » (de la Lune à Mars), on voit la question nucléaire se reposer de façon menaçante.

Le 3 septembre, le Soleil s’en est pris à Pluton et la centrale de Zaporijia a subi des coupures d’électricité mettant en danger le refroidissement du réacteur encore en service. Aujourd’hui le samedi 10 septembre, c’est Mars qui est en conflit avec Pluton sur une Pleine Lune : la Corée du Nord menace de frappes nucléaires ses voisins de Corée du Sud et du Japon, tandis que l’électricité a de nouveau été coupée par les troupes d’occupation russe à la centrale de Zaporijia.

Tout cela est bien entendu inquiétant, et d’autant plus que chaque revers militaire des Russes se traduit par de nouvelles menaces, chantages ou mesures irresponsables de Vladimir Poutine. Heureusement, il n’y a cependant que des conflits « mineurs » concernant Pluton actuellement.

Malheureusement, les tensions internationales risquent évidemment de perdurer. Au plan astrologique, elles sont essentiellement provoquées par un regroupement des planètes « lourdes » sur un arc de cercle limité d’environ 110°. La bande est étroite et cela crée des désordres, des tensions et des conflits armés en tous genres. Cette mauvaise situation ne commencera à se dissiper qu’en 2024 et, d’ici là, on peut évidemment avoir à subir d’autres drames.

En particulier, on peut s’inquiéter d’un conflit entre Jupiter et Pluton qui aura lieu au printemps 2023. Cela peut concerner de nouveaux affrontements armés ou des crimes de guerre supplémentaires, l’invasion de l’Ukraine ayant déjà débuté en février 2022 avec un conflit entre ces deux planètes. On pense aussi aux prétentions de la dictature chinoise sur Taïwan

Ce nouveau choc entre Jupiter et Pluton au printemps 2023 peut également impliquer le nucléaire. Étant donné que seul Jupiter sera en confrontation avec Pluton, il ne s’agit pas d’une situation d’une gravité a priori majeure. Mais c’est néanmoins préoccupant à cause de toutes les tensions internationales actuellement présentes. Le danger ne saurait donc être écarté trop rapidement.

En vidéo sur youtube :

https://www.youtube.com/watch?v=l8WmUCa3ISc

Carte du ciel de la Pleine Lune du 10 septembre avec Mars en sesqui-carré négatif de 135° à Pluton :

La France en suspens

Le cycle Jupiter-Neptune, celui de la France notamment au plan politique, s’est renouvelé au printemps dernier. Cependant, les deux planètes demeurent scotchées l’une à l’autre avec des conséquences paralysantes : il peut en résulter de nouveaux changements politiques à la fin de cette période, en l’occurrence progressivement et surtout à partir de décembre prochain.

Pour le moment, les seuls changements observés sont un changement de Premier ministre dont les conséquences sont mineures; et une Assemblée Nationale plutôt ingouvernable mais toujours avec une majorité macronienne.

On voit par ailleurs un nombre grandissant de problèmes explosifs et non solutionnés par l’exécutif : criminalité et immigration exponentielles, crise du pouvoir d’achat et de l’énergie, surfiscalité et taxations démentielles, assistanat galopant…

Par ailleurs, le thème natal d’Emmanuel Macron est très négatif, au moins jusqu’en 2024. Compte tenu des lourds problèmes posés et d’un cycle Jupiter-Neptune qui tarde à se renouveler complètement, il est donc possible que d’autres changements politiques soient devant nous.

L’automne à venir risque d’ailleurs d’être lourd. Un conflit frontal entre Saturne et Uranus devrait confirmer les récessions dans les pays occidentaux. Mais il implique également, le plus souvent, des mouvements contestataires importants et généralement violents. L’année 1968 et ses multiples manifestations, notamment en France, avait vu le même conflit planétaire…

Tout cela sera à suivre sur les prochains mois.

https://www.youtube.com/watch?v=VB-Al1tHt8Y

Carte du ciel des planètes lentes le 3 septembre 2022

Krachs économiques et boursiers ?

Les configurations planétaires sont dures jusqu’en fin d’année et on peut redouter une violente dégradation supplémentaire de la situation actuelle. Saturne et Uranus sont en conflit très serré jusqu’en janvier prochain et Jupiter va également se mettre de cette mauvaise partie : les 4 mois à venir sont franchement à redouter…

On a déjà une inflation à 10% dans les pays occidentaux (n’en déplaise à l’Insee qui voit le nuage des prix s’arrêter aux frontières françaises !); les prix du gaz et de l’électricité sont respectivement multipliés par 20 et 10; la récession frappe déjà les Etats-Unis (n’en déplaise à la banque centrale américaine la Fed et l’administration Biden qui ne savent plus lire les chiffres sur le PIB !); la zone euro est sans doute elle-même en récession également; les pénuries alimentaires ou industrielles sont multiples… Bref, la situation est déjà désastreuse.

Malheureusement, on peut faire pire. Les conflits qui réunissent Jupiter, Saturne et Uranus sont présents depuis le début de l’année, mais ils vont atteindre une sorte de paroxysme d’ici la fin de l’année. Par ailleurs, il y a toujours une concentration planétaire de Jupiter à Pluton sur un arc de cercle de seulement 110°, qui a « tendance » à aggraver tous les problèmes déjà présents. Dans ces conditions, on peut évidemment redouter des drames supplémentaires au plan économique et social.

Pour le moment, la pénurie de main d’oeuvre est l’un des principaux soucis des entreprises au plan économique. Cela ne devrait pas durer bien longtemps avec les récessions qui se sont amorcées partout. C’est plutôt l’envolée du chômage qui risque de devenir le principal sujet d’inquiétude sur les mois à venir. Il a déjà augmenté sensiblement de 0,6% le mois dernier en France…

Mais dans l’immédiat, on peut surtout redouter ce que peut produire notre détestable trio planétaire, au premier rang duquel la hausse des taux d’intérêts à cause de l’inflation et l’accentuation des récessions économiques. Les États-Unis sont a priori les premiers concernés car très dépendants du cycle Saturne-Uranus; et ensuite la zone euro et l’Union Européenne, qui sont très sensibles  au cycle Jupiter-Saturne. Cela amène à envisager la possibilité sur les mois à venir de véritables krachs tant économiques que boursiers.

Quel serait le pire scénario au seul plan économique ? A notre avis, celui d’une violente remontée des taux d’intérêts de marché à cause d’une inflation toujours vigoureuse. Un krach obligataire ne peut ainsi pas être exclu.

Actuellement, les taux d’intérêts à 10 ans des principaux pays industrialisés oscillent entre 1,5 et 3,50% environ. Mais avec une inflation autour de 10%, ils devraient normalement se situer à peu près 2 points de pourcentage plus haut, soit autour de 12%. On en est bien loin actuellement…

Mais si les investisseurs s’inquiétaient d’une telle situation, provoquée en fait depuis 15 ans par les planches à billets de banques centrales irresponsables, on pourrait assister à une brutale flambée sur les taux d’intérêts. Les conséquences en seraient évidemment terribles, les entreprises comme les ménages ne pouvant plus utiliser le crédit et seraient donc menacées de faillite pure et simple.

Espérons que ce schéma ne se produise pas et que les récessions en cours ne se développent pas de façon trop radicale, trop profonde et trop durable. Cependant, on ne peut pas en écarter le risque d’un simple revers de manche, comme l’avaient affirmé nos si géniaux responsables politiques et économiques avec une inflation simplement « passagère » pendant l’hiver et le printemps derniers.

Ou en vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=BjgexyWYlI8

Carte du ciel au 27 août, qui montre que le conflit Jupiter-Saturne-Uranus est déjà sévère :

Vers un apaisement… à venir

Une amélioration de la situation n’est pas pour tout de suite… Cependant, une belle relation entre Uranus et Neptune, par le biais d’un angle képlérien favorable de 54°, a commencé sa lente installation le 14 août dernier.  Il va poursuivre sa course et renouveler cette relation à répétition jusqu’en 2025.

Une relation constructive entre Uranus et Neptune est favorable à une inflation maîtrisée et un prix raisonnable du pétrole, du gaz ou des produits agricoles, un développement de la consommation des ménages et la diffusion de nouveaux produits ou services, enfin à l’établissement de bonnes relations Est-Ouest.

Chacun peut mesurer l’apport d’un tel support dans la situation actuelle où nous subissons exactement l’inverse… Il y a donc, devant nous, une amélioration de la crise que nous connaissons actuellement avec ses différentes facettes.

Cela dit, ce changement de situation n’est pas pour tout de suite et il faudra au moins un an, voire deux ans, pour commencer à pouvoir observer une amélioration notable de la situation et probablement aussi sortir de la récession généralisée qui devrait découler de la situation actuelle.

Pour donner un repère, nous avons eu de 2017 à 2021 la situation exactement inverse avec une relation négative de 45° entre Uranus et Neptune. En particulier, cette relation est inflationniste. Mais on n’a pas vraiment vu de traces de cette inflation entre 2017 et 2020, soit pendant près de trois ans… Il a fallu attendre 2020 pour commencer à la voir apparaître, surgir franchement en 2021 et exploser cette année.

Il devrait en aller de même avec la relation inverse qui a commencé sa « timide » installation le 14 août dernier. Il ne faut donc pas attendre de changements dans l’immédiat, la crise devant se poursuivre sur différents plans et aussi à celui des lourdes tensions Est-Ouest à cause du psychopathe Poutine. Au moins est-ce un espoir réel de voir les différents facteurs de tension se réduire sur les années à venir. D’ici là, il faudra tenir bon…

Carte du ciel le dimanche 14 août et angle de 54° exact entre Uranus et Neptune :



Ou en vidéo :

https://www.youtube.com/watch?v=1q2eo8GwrJc

La Pleine Lune a cassé la canicule

La canicule fait déjà partie du passé, la Pleine Lune du vendredi 12 août lui ayant porté un coup mortel à travers toute l’Europe et notamment en France. Les orages qui s’abattent un peu partout devraient également aider à limiter la sécheresse actuelle et à combattre plus efficacement les feux de forêts.

C’est l’occasion de faire le point sur la prévision météo avec l’astrologie. Il n’y a hélas pas de recette miracle et, dans l’état actuel des connaissances, on ne sait pas prévoir un été sec ou pluvieux ni un hiver doux ou rigoureux. Ceux qui ont essayé s’y sont cassés rapidement les dents…

En revanche, en se basant uniquement sur les lunaisons, plus précisément les Nouvelles et les Pleines Lunes, on peut observer une tendance cyclique au niveau du temps et surtout des températures. Cela donne ainsi un repère utilisable tous les 14 jours, une lunaison complète durant 28 jours.

En premier lieu, les Nouvelles Lunes ont « tendance » à faire monter les températures et les Pleines Lunes ont « tendance » à les faire baisser. Le phénomène est suffisamment marquant pour qu’on puisse l’observer sans contestation possible environ 8 fois sur 10. Il est ainsi bien rare que l’on n’assiste pas au moins à une « tentative » de hausse des températures juste après une Nouvelle Lune, et à une baisse après une Pleine Lune.

Parfois, le changement n’est pas radical et assez secondaire, d’autant plus que la hausse ou la baisse des températures peut ne durer que 2 ou 3 jours. Mais dans d’autres circonstances, le changement est radical et on change complètement de situation météorologique. C’est le cas avec la fin de la canicule de cet été et la Pleine Lune qui l’a enterrée. La chute des températures en 48 heures n’est nulle part inférieure à 6/7° et atteignant parfois 12/13° de baisse entre les plus chaudes journées ayant précédé la Pleine Lune du 12 août et les plus fraiches qui sont prévues sur la semaine de 15 au 19 août.

Bien sûr, cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas un retour de la canicule sur la fin août ou en septembre. A suivre notamment avec la Nouvelle Lune du samedi 27 août… On a simplement un « rythme » lunaire sur les températures, mais cela ne permet pas du tout de prévoir le temps sur le mois ou la saison suivante.

Cela donne seulement un changement parfois spectaculaire car il est durable, mais sans aucune garantie au départ. Par exemple, la canicule de 2003 s’était également terminée après une Pleine Lune qui avait eu lieu le mardi 12 août, la date du 12 comme cette année étant évidemment due uniquement au hasard. Cependant, évidemment avec le recul, on peut observer qu’il n’y a pas eu en 2003 de retour de la canicule sur les semaines suivantes. La Pleine Lune a donc vraiment constitué une charnière radicale et mis fin à un temps inhabituellement chaud.

Par ailleurs, les phases lunaires conduisent aussi assez souvent à des changements de temps et pas seulement au niveau des températures. Mais c’est là un repère moins évident et caricatural que pour les seules températures. Actuellement, les orages vont se succéder toute la semaine et endiguer, au moins partiellement, la sécheresse des mois précédents qui a facilité tous les feux de forêt que l’on a connu en Europe, du Portugal à la Grande-Bretagne en passant par la Grèce, l’Espagne, l’Italie, la France et la Belgique essentiellement.

La Pleine Lune devrait donc réduire avec les orages l’aridité des sols, même s’ils n’effaceront probablement pas 8 à 10 mois de sécheresse. Cela dit, cela permet quand même d’envisager plus difficilement un retour des feux de forêts, au moins sur les semaines à venir, les sols devant quand même s’humidifier partiellement.

Pour conclure, nous avons de grands experts de la météo tous les jours sur toutes les chaînes de télé, souvent bardés de diplômes tout en étant très télégéniques. Mais à ce jour, pas un seul de ces experts ou une seule de ces expertes n’a simplement remarqué l’effet des lunaisons sur le temps.

En effet, juste avant la Pleine Lune tous nos sympathiques experts du temps voyaient la canicule se poursuivre jusqu’à la nuit des temps ou à peu près aussi longtemps. Nous avions de notre côté signalé, plus d’une ou même deux semaines à l’avance, la Pleine Lune du 12 août et son « possible » effet pour casser la canicule, comme cela avait déjà été le cas en 2003. Les médias devraient donc s’intéresser à l’astrologie moderne, ils donneraient parfois de bien meilleurs repères…

Carte du ciel de la Pleine Lune du vendredi 12 août. A l’intention des amateurs, les aspects entre planètes n’ont ici aucune importance pour prévoir le temps :

Ou en vidéo :

https://www.youtube.com/watch?v=BpRN309kS2U

Les bourreaux de l’humanité

La concentration planétaire actuelle crée de nombreuses tensions, guerres ou affrontement militaires. Elle ne commencera à prendre fin qu’en 2024. D’ici là, l’humanité doit affronter de vrais bourreaux.

Les foyers de tensions se multiplient depuis le début de l’année. Le plus important est l’invasion sanglante de l’Ukraine par le monstre du Kremlin, mais il y a aussi des affrontements au Kosovo, au Haut-Karabagh, en Israël et dans la bande de Gaza. Et voilà la Chine qui s’en prend maintenant à Taïwan.

Le plus inquiétant est évidemment la menace des communistes chinois d’envahir Taïwan, afin d’y détruire la démocratie comme ils l’ont déjà fait à Hong Kong. Le président chinois Xy Jinping a visiblement très envie de s’amuser avec son armée hyper modernisée mais, heureusement, les intérêts commerciaux de la Chine constituent un frein peut-être décisif.

En tout cas, il est intéressant de remarquer que les deux principaux tyrans de la période actuelle sont le Russe Vladimir Poutine qui veut reconstituer l’impérialisme soviétique et le maoïste Xy Jinping qui a des ambitions similaires en mer de Chine et à l’intérieur même de son vaste pays. Dans les deux cas, on voit la trace sanglante du communisme, ses différentes dictatures ayant déjà fait plus de 120 millions de morts au total…

Le comportement de ces deux sinistre individus est infantile mais évidemment dangereux pour l’humanité toute entière. Les destructions en Ukraine et les multiples crimes contre les civils sont déjà assez effrayantes.

Heureusement, on évitera peut-être le pire. Nous n’avons pas cette année en tout cas d’indicateur signalant une nouvelle guerre. Pluton, la planète de toutes les guerres, n’est pas agressé comme il l’a été en février dernier par Jupiter lors de l’invasion de l’Ukraine. A priori, cela « tend » plutôt à indiquer que la Chine en restera pour le moment à des menaces et chantages de toute sorte, mais sans chercher à envahir Taïwan.

L’an prochain, on pourra cependant se méfier davantage, notamment autour du mois de mai, Jupiter se retrouvant dans une position agressive similaire à celle de février dernier vis à vis de Pluton. Mais cela n’impliquera pas forcément non plus une nouvelle guerre, même s’il faudra attendre 2024 pour voir la si déstabilisante concentration planétaire actuelle commencer à se disloquer.

Carte du ciel de la concentration planétaire actuelle au 6 août 2022 :

Ou en vidéo :

https://www.youtube.com/channel/UCdqLrrBM-DRFFqZNKNnq47w

L’ « invisible » récession américaine !

Les Etats-Unis sont en récession depuis le début de l’année. Les chiffres sont sans appel, ce qui est tout à fait dans la logique du conflit Saturne-Uranus qui a débuté en 2020 et atteint à présent l’apogée de son influence négative. Ce cycle planétaire est le plus influent pour les Etats-Unis, aussi bien au plan économique que politique. De plus, sa boucle négative est également renforcée par un mauvais Jupiter en conflit à la fois avec Saturne et Uranus.

On voit bien l’extrême fragilité américaine en ce moment. Non seulement la récession s’est installée depuis le début de l’année, mais les dirigeants américains la nient complètement. Les chiffres sont incontestables, mais le président Biden comme la Réserve Fédéral américaine (Fed), la banque centrale, refusent de la voir. Pour la Fed, il n’y a pas de récession… C’est nouveau, de refuser de voir les chiffres en face pour une banque centrale !

Cela dit, la Fed n’est pas à sa première bévue et cela fait 15 ans que cela dure. Avec la confrontation qui se termine entre Uranus et Neptune, Neptune concernant notamment les banques centrales et les monnaies, la Fed a fait tourner la planche à billets comme jamais depuis 2008, afin de promouvoir l’économie et le plein emploi. Elle y est d’ailleurs arrivée, mais au prix d’entreprises fragiles et bancales, d’emplois forcément instables et d’une inflation galopante depuis plus d’un an.

La Fed n’a pas voulu voir l’inflation, puis elle l’a considéré comme provisoire avant d’être obligée de se rendre à l’évidence avec une hausse des prix proche de 10% désormais. Elle ne voit donc pas plus pour le moment la récession en cours, qui a toutes les chances de perdurer et de s’aggraver.

La confrontation Saturne-Uranus, sous la forme d’un carré de 90°, arrive en effet seulement à son influence théorique maximale. De surcroît, elle va être extrêmement précise pendant plus de 3 mois entiers à partir de la fin août et jusqu’en fin d’année, ce carré négatif étant immobile dans le ciel et donc potentiellement d’une très grande agressivité.

Pour mémoire, on peut rappeler que la récession ayant suivi la crise des subprime en 2008-2009 avait eu lieu en présence d’une opposition de Saturne à Uranus. Cet angle « majeur » de 180° est beaucoup plus négatif qu’un simple carré de 90°, certes. Mais il y a aussi la concentration planétaire actuelle de Jupiter à Pluton, qui a également un fort impact récessionniste, qui a déjà été longuement abordé. Il est donc probable que l’on subisse une récession au moins équivalente à celle de 2008 qui avait vu le système bancaire international au bord de l’explosion. Attention aux banques, ainsi qu’au secteur automobile, déjà sous fortes pressions depuis le début de l’année…

En fait, pour résumer, on est dans une très mauvaise situation : la récession américaine intervient avec une forte inflation et des taux directeurs de la Fed bien trop bas pour la faire baisser. De plus, en période de récession, il faut normalement baisser les taux pour contenir les pressions négatives sur l’activité et l’emploi. Là, c’est impossible, les banques centrales ayant elles-mêmes créé l’inflation par la planche à billets et des taux bien trop bas, entraînant logiquement dans la foulée la récession actuelle.

En résumé, que faire contre la récession qui enfle ? La Fed ne peut quasiment rien faire, elle est pieds et poings liés à cause de sa si mauvaise et irresponsable politique monétaire antérieure.

Bien entendu, la récession américaine va débarquer assez vite en Europe. Mais là aussi, on ne veut rien voir, à l’image du singe qui se voile la face pour ne pas affronter la réalité. Le ministre français de l’Économie, Bruno Lemaire, est à cet égard une bien triste caricature. Alors que tous les pays occidentaux sont au bord du gouffre, il se félicite du rebond de  l’activité  française  et  de  sa  durabilité ! Combien de temps des incompétents comme lui mettront-ils à comprendre que la récession est à nos portes ?

La confrontation Saturne-Uranus a également un fort impact politique, et bien sûr notamment aux Etats-Unis. On le voit également très bien avec une Amérique à présent divisée en deux camps irréductibles, les wokes et les anti-wokes pour résumer. Cela se traduira par l’échec et l’abandon des théories farfelues des wokes, comme c’est toujours le cas en pareille situation planétaire. Un choc Saturne-Uranus favorise toujours au début le gauchisme le plus délirant, sous ses différentes formes, mais cela retombe ensuite comme un soufflé. En attendant, la société américaine est gravement divisée. En réduisant de fait le droit à l’avortement, la Cour Suprême n’a pas non plus apaisé une situation déjà très explosive.

L’administration Biden elle-même est handicapée. Le président n’a pas réussi à faire passer ses grandes réformes sociales au Congrès, un certain nombre d’élus démocrates refusant de s’engager dans des dépenses colossales alors que le pays est déjà très lourdement endetté. Ses projets farfelus sur le climat devraient sans doute suivre le même chemin… On peut d’ailleurs penser que les élections de mid-term de novembre prochain constitueront un échec pour les Démocrates et que Joe Biden ne pourra faire que de la figuration sur les deux prochaines années.

L’âge avancé de Biden est également un sujet de préoccupation et près de 60 parlementaires républicains demandent que le président se soumette à un test sur ses « capacités cognitives et mentales ». Ils estiment visiblement en nombre croissant que le président de 79 ans est en fait à moitié sénile…

Les Etats-Unis sont donc entrés dans une bien mauvaise période. Et quand les Etats-Unis toussent, ce sont tous les pays occidentaux qui éternuent.

Carte du ciel au 30 juillet, qui montre que le carré Saturne-Uranus de 90° est en train de se resserrer lentement avant un automne à hauts risques :

A écouter aussi en vidéo :

https://www.youtube.com/watch?v=mvno9tNoakQ

L’Europe écartelée

Ce sont surtout Jupiter et Saturne qui rythment l’économie comme la politique sur le Vieux Continent. Or, nous voici arrivés sur cette fin juillet à une boucle négative.

Heureusement pour l’Union Européenne, le cycle Jupiter-Saturne s’est renouvelé en 2020. C’est normalement la promesse d’évolution positives sur les années suivantes, même si on ne les voit pas vraiment actuellement. Sauf peut-être l’hiver dernier, quand l’agression russe de l’Ukraine a été condamnée à l’unanimité et qu’ a été apporté un soutien minimal humanitaire et militaire au pays envahi sauvagement.

Mais on voit bien, sur ce plan de l’invasion de l’Ukraine comme sur la politique énergétique européenne, de nombreuses lignes de divergences et de fractures. Arrivé à l’étape négative d’un demi-carré de 45°, le cycle Jupiter-Saturne risque donc de provoquer quelques désillusions. D’autant plus que ce mauvais aspect ne passe pas rapidement : il s’installe de façon très précise pour environ 3 mois jusqu’en octobre prochain et reviendra ensuite au début du printemps 2023.

Il est donc probable que l’Europe connaisse une période difficile. Sans doute en premier lieu au plan économique, puisque la gestion de l’Union Européenne est totalement anarchique : la Commission de Bruxelles prend des sanctions sévères contre la Russie, certainement à juste titre mais avec quelle cohérence quand toute l’Europe voit avec effarement que de nombreux pays sont totalement dépendants du pétrole ou surtout du gaz russe ?

L’Allemagne est sans doute une caricature sur ce plan, la corruption politique ayant pu renforcer une dépendance extrême vis à vis du gaz russe. Tant de dirigeants politiques allemands ont été si généreusement embauchés par les groupes pétroliers ou gaziers russes… Par ailleurs, la lâcheté des partis traditionnels devant l’intégrisme écologiste leur a fait abandonner le nucléaire et à présent… il faut en revenir aux centrales à charbon qui polluent toute l’Europe !

Il risque de résulter de cette situation énergétique désastreuse une récession économique, que l’inflation, la hausse des taux d’intérêts et la baisse de la consommation rendait déjà probablement inévitable. Mais elle risque d’être d’autant plus sévère, étant donné l’irresponsabilité des dirigeants européens depuis plus de 20 ans. L’euro en fait déjà les frais, revenu à la parité avec le dollar même si les taux plus élevés aux Etats-Unis expliquent pour l’essentiel la baisse de la devise européenne.

L’ « argent magique » déversé sans compter par la Banque Centrale Européenne depuis 2008, renforce d’ailleurs la spirale inflationniste, comme aux Etats-Unis pour les mêmes raisons. La BCE ne voulait pas voir cette inflation, elle est obligée de reconnaître enfin ce poison mortel pour l’économie européenne. Mais elle n’a toujours pas compris que cette création artificielle de monnaie depuis 15 ans est à l’origine de cette inflation pour l’essentiel.

Par ailleurs, on voit aussi les conséquences au plan politique avec des crises gouvernementales de plus en plus nombreuses et aux raisons assez variées. Boris Johnson a dû démissionner en Grande-Bretagne. Mario Draghi, un des principaux piliers européens, vient de le faire également en Italie et les législatives anticipées de l’automne prochain risquent de ne pas donner de majorité claire au Parlement. Kaja Kallas a du mal à conserver une coalition majoritaire au Parlement estonien, la Bulgarie est en crise à cause des pro-russes, la Hongrie de Victor Orban ne cesse de provoquer des mini crises à chaque sommet européen, etc.

Entre lourdes menaces économiques et crises politiques déjà ouvertes, l’Europe traverse ainsi une période bien lourde. Évidemment, la Russie et la sanglante politique de Vladimir Poutine en sont en grande partie à l’origine. Mais l’Europe n’a jamais géré avec la méfiance nécessaire la Russie depuis plus de 20 ans, alors que l’annexion d’une partie de la Georgie dès 2008 et celle de la Crimée ou du Donbass en Ukraine en 2014 constituaient de bien lourds avertissements. Les si arrogants technocrates de Bruxelles se sont en fait comportés avec une totale irresponsabilité. Si l’hiver prochain se traduit par des coupures d’électricité, on saura qui féliciter…

Carte du ciel du mauvais demi-carré Jupiter-Saturne qui s’est installé pour 3 mois le jeudi 21 juillet :

Ou en vidéo sur Youtube :

https://www.youtube.com/watch?v=gWRifC1qf4w

Où va la France ?

Où va donc la France ? Son cycle planétaire le plus important, entre Jupiter et Neptune, s’est renouvelé en avril dernier. On aurait pu en attendre un nouveau président, mais cela n’a pas été le cas. Il y a simplement eu changement de Premier ministre et l’absence de majorité absolue à l’Assemblée Nationale pour les macroniens.

Est-ce fini ? Ce n’est pas sûr… Comme pour la pandémie de Covid examinée récemment, la conjonction de Jupiter à Neptune est toujours présente à seulement 10° d’orbe environ et elle n’a donc peut-être pas fini de produire ses effets potentiels. Cela peut se faire progressivement et donc lentement sur les semaines ou mois à venir, ce qui constitue une première hypothèse.

Une seconde hypothèse est possible… Si cette conjonction est donc toujours en train de se nouer, il faudra peut-être attendre décembre ou janvier prochain pour que Jupiter la forme définitivement en s’éloignant alors plus franchement de Neptune et au-delà de ces 10° d’écart angulaire environ.

Dans l’un ou l’autre cas, on peut en tout cas se demander ce qu’il pourrait bien se produire au plan politique. D’ordinaire, le renouvellement du cycle entre Jupiter et Neptune conduit à des changements politiques importants : changement de président, alternance politique à l’Assemblée Nationale et nouveau Premier ministre issu de l’opposition ou d’une opposition, démission forcée du Premier ministre en fonction, etc.

En tout cas, dans l’immédiat, on ne peut pas conclure que la situation soit stabilisée avec la réélection d’Emmanuel Macron et la nomination de l’ancienne socialiste Elisabeth Borne au poste de Premier ministre en remplacement de l’ancien LR Jean Castex. Certes, il y a un basculement du centre-droit au centre-gauche… Cela peut peut-être suffire, mais c’est un peu douteux et le changement politique de portée bien limitée. L’absence de majorité parlementaire absolue est d’ailleurs un évident facteur d’instabilité politique.

Évitons pour conclure de tomber dans la politique fiction, mais signalons simplement deux facteurs généraux de possibles changement politiques. Le premier concerne évidemment le président, d’autant plus qu’Emmanuel Macron a un thème astrologique très dur sur les deux prochaines années, comme le montrent déjà les affaires financières Mc Kinsey et Uber.

Sans extrapoler dans quelque domaine que ce soit, on peut simplement se demander si le président Macron va demeurer longtemps à l’Élysée. Cela pourrait alors constituer un changement politique majeur, tout à fait dans les cordes d’un nouveau cycle entre Jupiter et Neptune. Il se peut également que l’Assemblée Nationale se révèle ingouvernable, qu’elle soit alors dissoute par le président et que de futures élections débouchent sur une franche alternance politique, sur la gauche ou sur la droite.

En résumé, la situation politique de la France n’est peut-être pas si stable qu’il y paraît. L’invasion de l’Ukraine, l’inflation et la hausse des taux d’intérêts constituent évidemment de nouveaux défis et on voit déjà des crises politiques d’ampleur en Grande-Bretagne avec la démission forcée de Boris Johnson, celle de Mario Draghi en Italie ou le nouveau gouvernement du Premier ministre estonien Kaja Kalas.

Carte du ciel avec Jupiter, Neptune et Uranus :

Poursuite de la pandémie : la faute à Jupiter et Neptune ?

Nous avons évoqué une possible charnière en avril dernier, qui aurait pu mettre fin à la pandémie de Covid-19 de façon naturelle ou avec de nouveaux traitements ou vaccins. Cette charnière n’a évidemment pas fonctionné, puisque nous en sommes à une septième vague de la pandémie avec actuellement plus de 1,2 millions de nouveaux cas et environ 2 500 décès par jour dans le monde.

Pour appréhender notre possible charnière d’avril dernier, nous nous étions basés sur deux éléments : la dilution de la confrontation Uranus-Neptune à partir du printemps dernier et surtout de cet été; et une conjonction Jupiter-Neptune à la mi-avril.

En effet, les pandémies virales ont toujours lieu en présence d’une confrontation Uranus/Neptune et lors de l’approche très négative d’une conjonction Jupiter/Neptune. Une fois cette dernière conjonction effectuée, le cas le plus fréquent est la fin de la pandémie, progressivement et souvent très rapidement.

Pour Uranus et Neptune, la dilution de leur conflit depuis 2017 dès le printemps dernier est incontestable. Le problème ne peut donc pas venir de ce mauvais tandem de 2017 au printemps dernier ».

On peut en revanche remarquer qu’il y a bien eu une conjonction Jupiter-Neptune en avril dernier, mais que Jupiter ne s’éloigne pas franchement de Neptune car la planète est au bord de sa « rétrogradation annuelle » qui débutera le 28 juillet prochain. Autrement dit, Jupiter ne se situe actuellement que 10 à 11° devant Neptune, ce qui représente un écart angulaire très faible. Et cela n’augmentera pas d’ici la fin du mois.


Sur les mois à venir, comme Jupiter, vu de la Terre, va sembler « reculer » en arrière dans l’espace, l’orbe avec Neptune atteindra un minima de 6/7° degrés seulement en décembre prochain. Fin janvier 2023, l’écart progressera en revanche de plus en plus rapidement et atteindra alors 12°, c’est à dire davantage que depuis le mois d’avril dernier. Et en juin 2023, on sera à 36° d’orbe pour donner une idée de la rapidité de la course de Jupiter, alors que depuis avril dernier il y a presque stagnation entre 0 et 10° en caricaturant à peine.

Il est bien possible que la poursuite de la pandémie dépende de ce facteur, c’est à dire de la lenteur de déplacement actuelle de Jupiter. Certes, la conjonction de 0° avec Neptune a eu lieu en avril dernier. Mais Jupiter avance lentement et n’a guère réussi à dépasser 10° d’orbe avec Neptune.

On peut donc considérer, peut-être… que la conjonction a bien eu lieu, mais qu’elle n’a pas pu produire ses effets, ou du moins ses effets complets.

Admettons qu’une telle hypothèse soit valide. Dans ce cas, il y aurait une autre charnière devant nous à l’automne/hiver prochains, entre novembre/décembre et mars/avril 2023 pour prendre une certaine plage de temps et donc le recul nécessaire. Le virus pourrait alors disparaître à ce moment-là de façon naturelle ou par le biais de nouveaux vaccins ou traitements vraiment efficaces.

Ce qui est étonnant avec ce virus, c’est qu’il a provoqué une pandémie qui dure depuis 2 ans et demi déjà et on va vers 3 années à l’automne prochain. Or, tous les autres grands virus ont provoqué des pandémies de plus courte durée, n’excédant pas selon les chiffres disponibles 2 années seulement. Le plus dramatique, celui de la grippe espagnole, est par exemple répertorié du printemps 1918 à celui de 1920. Mais avec la durée exceptionnelle du Covid-19, on peut aussi y voir l’effet de la « concentration planétaire » actuelle depuis 2020 et jusqu’en 2024 : elle a « tendance » à aggraver et amplifier tous les problèmes qui apparaissent, que ce soit le Covid, l’inflation ou l’invasion sanglante de l’Ukraine.

En tout cas, dans l’immédiat, il y a incontestablement une septième vague de contaminations et les décès sont par ailleurs en hausse légère. Ces derniers peuvent s’accentuer, en fonction de la progression des contaminations, puis des hospitalisations et des soins critiques, enfin des décès. Il reste cependant à voir ce dernier facteur, car les variants d’Omicron sont visiblement un peu moins agressifs que les précédentes souches. Le virus pourrait peut-être devenir de plus en plus bénin au fil des semaines et des mois, mais pour le moment on observe quand même une hausse des décès dans le monde depuis la mi-juin.

En tout cas, la piste d’un retard à la détente des effets ou de certains des effets de cette conjonction Jupiter-Neptune d’avril dernier nous semble au plan astrologique mériter d’être prise en compte. A tort ou à raison, on verra bien la suite mais nous allons suivre avec attention cette hypothèse intéressante avec les derniers variants du Covid-19…

Carte du ciel montrant les 3 planètes responsables du Covid : Jupiter, Uranus et Neptune. On voit notamment que Jupiter est toujours très proche de Neptune, alors que leur conjonction de 0° a eu lieu il y a déjà 3 mois le 12 avril dernier.

Poutine le sanguinaire : jusqu’où, jusqu’à quand ?

Par sa cruauté et son sadisme, Vladimir Poutine restera dans l’histoire aux côtés des dictateurs les plus criminels comme Staline, Mao, Hitler, Pol Pot, Fidel Castro, etc. Jusqu’à quand peut-il exercer sa férocité perverse ?

La Russie dépend d’abord du cycle entre Saturne et Neptune. Le renouvellement de ce cycle (conjonction de 0°) a présidé à la création de l’État bolchevique en 1917. Lors du renouvellement suivant en 1953, Joseph Staline est décédé et le dernier en 1989 a vu l’URSS disparaître.

Le prochain renouvellement de ce cycle Saturne-Neptune va avoir lieu en 2026. Ce sera une échéance importante et, peut-être, cela signera le départ ou la fin de la tyrannie de Vladimir Poutine sur la Russie. Bien sûr, cela pourrait se produire avant cette année 2026 mais, au plan astrologique, le grand repère se situe seulement dans quatre années en 2026.

Actuellement, le cycle Saturne-Neptune est en fin de course et il ne peut rien produire de positif. On le voit avec la guerre impérialiste et sanguinaire lancée par Poutine contre l’Ukraine : la Russie se retrouve au ban des nations et le dictateur du Kremlin n’aura droit à aucune excuse dans l’histoire. Il a déjà assassiné des dizaines de milliers d’Ukrainiens, de Georgiens ou d’opposants et il ne laissera dans les mémoires qu’une sinistre trace ensanglantée. Mais il peut éventuellement continuer à nuire à l’humanité jusqu’en 2026.

Les relations Est-Ouest

Pour appréhender ensuite les relations entre la Russie et l’Occident, c’est le cycle entre Uranus et Neptune qui est le plus intéressant. Lors de l’alliance des Etats-Unis et de la Russie contre l’Allemagne nazie de 1941 à 1945, ces deux planètes ont formé un très long trigone positif de 120° : la collaboration entre l’Est et l’Ouest n’a jamais été aussi forte, les Etats-Unis permettant les victoires militaires russes par la livraison d’un arsenal militaire colossal et historique. Évidemment, Staline a cherché à cacher l’aide militaire décisive des Etats-Unis et ses milliers d’avions, de chars et de canons.

La guerre froide s’est ensuite installée en présence d’un carré négatif de 90° entre les deux planètes. Son paroxysme a eu lieu avec la crise des missiles à Cuba en 1962, faisant redouter pendant quelques semaines un holocauste nucléaire.

Puis ce fut la « détente » jusqu’au milieu des années 1970, en présence de l’installation d’un joli sextile positif de 60° entre Uranus et Neptune. Le téléphone rouge entre Washington et Moscou a très bien fonctionné sur cette période…

Nouvelle crise entre les Etats-Unis et l’URSS à partir du milieu des années 1970 en raison de l’installation de nouveaux missiles SS-20 russes dans les pays du glacis soviétique. Or, nous étions arrivés à un demi-carré négatif de 45° entre Uranus et Neptune, comme celui que nous connaissons actuellement depuis 2017. Ce fut donc la crise des « euromissiles » entre SS-20 russes et Pershing américains.

La crise se termine en 1987 et, avec l’effondrement de l’URSS en 1989, la menace nucléaire devient mineure. Il faut dire qu’Uranus et Neptune renouvellent leur cycle en 1993 par une conjonction de 0°, apportant logiquement un esprit de collaboration magistral entre l’Est et l’Ouest.

Avec l’invasion de l’Ukraine, on voit les relations entre l’Est et l’Ouest se tendre à nouveau très brutalement. Cela a en fait débuté sur les années précédentes, Uranus et Neptune arrivant à l’étape forcément négative de leur demi-carré de 45° à partir de 2017. A présent, ce demi-carré est en train de se dissoudre mais, bien sûr, il continue à provoquer de lourdes tensions sur sa lancée.

Pour retrouver un apaisement et une logique constructive avec la Russie, le principal repère astrologique aura lieu en 2026 avec un fort beau sextile positif de 60° entre les deux planètes. Sans doute, avec une telle échéance, l’Est et l’Ouest arriveront à une étape de collaboration et les dégâts précédents seront réparés au mieux des possibilités.

En conclusion, on voit que l’année 2026 apporte de grands bouleversements et qu’ils sont de nature positive : la Russie arrive à une charnière capitale et, parmi les hypothèses possibles, celle de la fin de la tyrannie sanglante des dirigeants actuels de Moscou semble la plus convaincante; par ailleurs, une nouvelle étape dans les relations Est-Ouest devrait voir le jour de façon très constructive.

Bien entendu, l’année 2026 apporte ce double repère positif mais elle n’est pas à considérer de façon dogmatique. Les évolutions positives probables à en attendre peuvent se nouer avant 2026 ou seulement à partir de cette échéance.

Compte tenu de l’horreur imposée par Poutine actuellement, on peut espérer que la situation commence à évoluer plus positivement avant 2026. Sur ce plan, la période très dure actuelle à cause d’un phénomène de « concentration planétaire », toujours source de tensions, de récessions et de guerres, va commencer à se détendre progressivement à partir de 2024. Croisons les doigts…

Carte du ciel au 2 juillet 2026, montrant la superbe et si positive réunion de Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton… On ne fait pas mieux !