Les conditions planétaires nécessaires à la pandémie de Covid sont en train de disparaître. Cela n’implique pas forcément la fin de la circulation du virus, mais cela n’en est pas moins tout à fait possible et les mois à venir constituent une charnière importante.
C’est un mauvais Neptune qui est toujours responsable d’une pandémie. On rencontre les plus souvent deux facteurs complémentaires d’agression de Neptune : une confrontation d’Uranus à Neptune et la fin d’un cycle de Jupiter à ce même Neptune.
En règle générale, une pandémie se développe le plus souvent environ 2 années avant la fin d’un cycle de Jupiter à Neptune (ou l’approche d’une nouvelle conjonction) et alors qu’existe déjà une confrontation Uranus-Neptune. En voici quelques exemples :
* Grippe russe de 1889 à 1894 :
– Conflit Uranus-Neptune dès 1889 (sesqui-carré de 135°) et perdurant sur les années suivantes.
– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune qui a lieu en 1894.
* Grippe espagnole de 1918 à 1920 :
– Conflit Uranus-Neptune (opposition de 180°) depuis 1909 et perdurant sur les années suivantes.
– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune qui a lieu en 1920.
* Grippe asiatique de 1956 à 1958 :
– Conflit Uranus-Neptune (carré de 90°) dès 1956 et perdurant sur les années suivantes.
– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune qui a lieu en 1958.
* Grippe de Hong Kong de 1968 à 1970-1971 :
– Conflit Uranus-Neptune (demi-carré de 45°) mais qui débute de façon « exacte » en 1971.
– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune qui a lieu début 1971.
On trouvait déjà le même schéma lors du début de la peste de Justinien (empereur romain), signalée de 541 à 767 mais qui a probablement débutée un peu plus tôt :
– Opposition négative Uranus-Neptune en 537-538.
– Approche d’une conjonction Jupiter-Neptune en 538 et 539.
Pour les débuts de la peste noire qui a décimé près de la moitié de la population européenne, de récentes découvertes la font remonter à 1338 au Kirghizstan et elle a duré jusqu’en 1352 :
– Approche négative d’une double conjonction de Jupiter et Saturne à Neptune entre 1344 et 1345.
En revanche, il n’y a pas de confrontation d’Uranus à Neptune.
Au début la pandémie de Covid-19 en 2019 et 2020, on avait :
– Conflit Uranus-Neptune (demi-carré de 45°) de 2017 à 2022.
– Approche négative d’une conjonction Jupiter-Neptune (exacte en 2022-2023).
Le conflit actuel d’Uranus à Neptune est terminé depuis l’été 2022, l’orbe entre les deux planètes étant maintenant d’environ 51 à 55° (notre graphique ci-dessous) depuis 6 mois. Par ailleurs, la conjonction de Jupiter à Neptune a débuté en avril 2022 et elle est en train de s’installer complètement. L’orbe est maintenant d’environ 12° et il sera d’environ 30° l’été prochain.
Autrement dit, nous sommes dans une situation où le virus peut totalement disparaître de lui-même, perdre de sa nocivité comme c’est déjà en grande partie le cas avec le variant Omicron ou pouvoir être soigné comme une simple grippe avec des vaccins ou médicaments adéquats. Pour prendre quelques repères, les 4 dernières grandes pandémies du 20ème siècle (grippe russe, espagnole, asiatique et de Hong Kong) ont cessé dans un contexte identique ou au moins très similaire à celui que nous allons connaître d’ici l’été prochain.
Cela donne évidemment l’espoir de voir le Covid disparaître. On constate déjà une baisse puissante des contaminations : le nombre de cas quotidiens est tombé à environ 200 000 à l’échelle de la planète contre près de 3,5 millions de contaminations au plus fort de la pandémie en janvier 2022. En Chine, il semble que la vague actuelle soit en chute libre avec 80% de contaminations en moins par jour et, en France, les nouveaux cas sont tombés entre 3 et 5 000 contaminations par jour contre des sommets l’automne dernier au-dessus de 50 000.
L’espoir de voir le Covid s’en aller tout seul n’est donc pas négligeable. Un esprit chagrin pourra cependant faire remarquer que la pandémie de peste, qui a commencé sous l’empereur romain Justinien vers 537-541, s’est étendue jusqu’en 767, soit pendant plus de deux siècles au total…
Ce cas particulier sous l’empire Romain est un peu contrariant, c’est évident. Cependant, la règle générale est de voir les pandémies disparaître une fois le conflit Uranus-Neptune terminé et la conjonction Jupiter-Neptune installée. Nous allons donc voir si, grosso-modo d’ici l’été prochain, ce virus si traumatisant va enfin disparaître complètement. Nous sommes en tout cas arrivés à une charnière importante et peut-être décisive.
A écouter aussi sur YouTube :
Carte du ciel des relations à Neptune au 28 janvier 2023 :