Le choc actuel entre les planètes Uranus et Neptune, comme dans les années 1970, favorise le gauchisme sous ses différentes formes.
Les affaires Floyd et Traoré ne sont pas identiques, le premier ayant été visiblement tué par un policier violent et le second étant décédé naturellement d’une faiblesse cardiaque. Le seul point commun entre les deux affaires est qu’il s’agissait de deux délinquants multirécidivistes, violents et déjà condamnés à d’assez lourdes peines de prison.
L’extrême-gauche islamo-gauchiste s’est enflammée à partir de la mort de George Floyd. Cependant, on ne sait pas si le policier meurtrier l’a simplement fait à cause de sa brutalité naturelle excessive ou s’il avait un motif raciste.
Il en va ainsi du gauchisme… Il n’a nul besoin de faits avérés pour se manifester, tout est dans l’émotion qu’il essaye de susciter et tant pis pour les manipulations évidentes que cela entraîne. Or, un mauvais Neptune pousse toujours à la malhonnêteté et aux manipulations. Et avec Uranus, c’est toujours violent et brutal, comme en ont témoigné toutes les déprédations au travers des émeutes qui ont suivi.
Bien entendu, cette flambée de colère, à défaut d’avoir un vrai fondement « anti-raciste », a pour origine la crise économique provoquée par le coronavirus et la peur d’un chômage qui s’envole sur les cinq continents. Le gauchisme y a trouvé un terreau naturel pour alimenter une agitation anti-raciste.
Pour le moment, l’extrême-gauche tient le haut du pavé : on dissout la police de Minneapolis, on réduit les crédits de la police à New York au profit de dépenses sociales pour la communauté de couleur, on interdit en France le placage ventral pour les arrestations et on invite même à discuter le si violent gang familial Traoré dont au moins 5 membres sont en prison ou y sont passés pour des faits de graves violences, de tortures, de vols, de viols et de trafics divers…
Bref, on marche complètement sur la tête. De nombreux gouvernements occidentaux en viennent à mélanger eux-mêmes tout ce qui peut bouillonner anarchiquement dans la tête d’un gauchiste !
De toute cette agitation brouillonne, il ne restera évidemment rien au bout du compte. Comme dans les années 1970 où les communautés hippies se sont auto-dissoutes et où les petits partis d’extrême-gauche ont implosé tout aussi rapidement.
Il peut cependant en rester des groupuscules terroristes qui existent déjà plus ou moins sur un mode indigéniste ou anti-colonial. Peut importe qu’il n’y ait plus de colonies depuis des décennies et que l’esclavage n’existe plus que dans les repères islamistes en Afrique…
Mais les années 1970 avaient entraîné la création de nombreux groupes terroristes de nature diverse : bande à Baader en Allemagne, Action Directe en France, Brigades Rouges en Italie, Eta en Espagne, Ira en Irlande, etc. C’est évidemment ce que l’on peut redouter sur les prochaines années.
C’est tout cela que l’on peut redouter d’une confrontation entre Uranus et Neptune. Au-delà du verbe gauchiste qui peut faire sourire, il y a la violence propre à l’extrême-gauche qui est elle beaucoup plus redoutable.
En France, par ailleurs, on assiste à un véritable effondrement des valeurs démocratiques avec ce surgissement islamo-gauchiste. Pour résumer brièvement la situation, le pouvoir courtise les voyous et même le gang Traoré, désarme la police, encense les lobbys « anti-racistes » avides de subventions et oublie les meurtres ignobles de blancs et notamment de Juifs par certaines petites mafias de couleur.
Le calcul politique du président derrière tout cela est évident : il veut affoler les électeurs de la droite traditionnelle pour les pousser dans les bras du Rassemblement National de Marine Le Pen. A la présidentielle de 2022, il estime qu’il la battrait alors facilement, tandis que cela pourrait être plus compliqué avec un candidat LR de la droite classique. Cela permet aussi au président Macron d’aller flatter son électorat de gauche, qui commençait à s’éloigner.
Ce genre de calculs politiciens est assez honteux, bien sûr, et témoigne de l’abandon complet de l’intérêt général. Après la désastreuse gestion de l’épidémie de coronavirus en France qui donne lieu à 80 plaintes contre les ministres ou hauts-fonctionnaires de la Santé, le pays s’enlise de plus en plus dans une profonde crise politique.
Cela est assez typique de l’approche toujours négative d’un nouveau cycle entre Jupiter et Neptune. Or, cette paire planétaire est celle qui a le plus d’influence sur les destinées de l’hexagone. De surcroît, on peut penser que le président Macron a tout faux car il ne sera probablement pas réélu en 2022.
En particulier, l’élection présidentielle va se dérouler en présence d’une conjonction entre Jupiter et Neptune, ces deux planètes représentant le principal cycle pour la France. Ce nouveau cycle planétaire inaugure normalement une alternance politique… Cela n’indique pas quel camp politique va succéder à celui d’Emmanuel Macron, mais cela signale un changement politique complet.
Le dernier exemple en date est celui de la surprenante arrivée au poste de Premier ministre du socialiste Lionel Jospin en 1997. Le président conservateur Jacques Chirac avait dissout l’Assemblée Nationale pour conforter sa majorité, mais son calcul s’est révélé faux à cause… d’une nouvelle conjonction entre Jupiter et Neptune ! Les socialistes l’avaient emporté.
Emmanuel Macron s’apprête en quelque sorte à répéter la même erreur avec la future conjonction Jupiter-Neptune de 2022. Il ne devrait donc pas réussir à faire un second mandat.
Carte astrale au 25 mai 2020, lors de l’arrestation et de la mort de George Floyd à Minneapolis. On y voit bien le demi-carré de 45° entre Neptune et Uranus, renforcé par la mauvaise position de Vénus et Mercure vis à vis de ce duo explosif :