La détestable concentration planétaire jusqu’en 2024

L’occupation de l’Ukraine ne règle pas la question de la sécurité de la Russie, et surtout de la façon dont Poutine veut l’obtenir. Reste en suspens ses intentions concernant les 3 pays baltes, la Pologne et la Roumanie qui sont intégrés à l’Otan. Le risque d’une déflagration générale ne peut donc être écarté.

La concentration planétaire actuelle est très négative et source de tensions lourdes, de même que le conflit Uranus-Neptune qui pèse sur les relations Est-Ouest. Ce dernier paramètre négatif est en train de se dissoudre lentement, mais ce qu’il a créé de conflictuel peut évidemment demeurer et se poursuivre sur la lancée, surtout après le choc ukrainien.


La concentration planétaire elle-même va atteindre son paroxysme le 3 mars prochain, car les planètes dites rapides (Soleil, Mercure, Vénus, Mars et même la Lune ponctuellement) vont se retrouver jusqu’à la fin avril à l’intérieur de l’arc de cercle formé par les planètes dites « lourdes (Jupiter, Saturne, Uranus, neptune et Pluton). Voici le graphique plus bas au 3 mars pour bien visualiser cette concentration planétaire négative, l’arc de cercle formant 103° seulement sur les 360° du cercle zodiacal autour de la Terre…


Etant donné que ce très mauvais indicateur atteint sa puissance de nuisance maximale au plan théorique sur les deux mois à venir, il est « possible » que les tensions est-ouest montent encore d’un cran supplémentaire. D’autant plus que la Chine « comprend » les exigences russes en matière de sécurité…


Bien que l’ayant correctement repéré, nous avons sous-estimé le poids de ce mauvais indicateur qui, de surcroît, va perdurer sur les mois à venir avec les seules planètes dites « lourdes », mais les plus importantes en l’occurrence. D’environ 100° d’orbe actuellement, l’arc de cercle atteindra 107° seulement en fin d’année et encore 109° seulement fin 2023. Ce n’est qu’à partir de 2024 que l’orbe va commencer à s’élargir fortement grâce à la course de Jupiter qui sortira de cet arc de cercle qui atteindra alors 134° fin 2024.


Une telle concentration planétaire est rare et on l’a surtout rencontrée récemment de 1979 à 1982, période de nombreuses guerres : Malouines, Iran-Irak, invasion russe de l’Afghanistan, occupation du Liban sud par Israël…
En remontant le temps, on ne trouve pas facilement une situation similaire. Autour de 1994 cependant, pendant la guerre en Bosnie-Herzégovine dans l’ex Yougoslavie…


De surcroît, lors de la mauvaise période 1979-1982, une conjonction Saturne-Pluton apaisante avait mis fin à la série des guerres fin 1982, la dernière s’étant produite avec le Liban en juin de cette année-là. Or, nous avons connu une conjonction théoriquement pacificatrice de Saturne à Pluton en janvier 2020. Cependant, elle n’a visiblement pas permis de contenir les appétits de l’ogre Poutine.


L’astrologie n’est pas une science exacte. Mais on peut quand même s’inquiéter de voir que, globalement et jusqu’en 2024, pendant plus de deux années par conséquent, la concentration planétaire actuelle va perdurer. Le risque est donc de voir de nombreuses tensions internationales perdurer ou apparaître. Si la Russie envahit l’Ukraine, pourquoi la Chine ne ferait-elle pas la même chose à Taïwan ? Taïwan est fondamentale pour les économies occidentales, fabricant l’essentiel des semi-conducteurs au monde notamment…


Par ailleurs, le coup de force de Poutine est stupide, dans la mesure où il ne fait nullement avancer le dossier certes objectif de la sécurité de la Russie. Mais en créant des tensions supplémentaires, militaires de surcroît et en envahissant un pays indépendant, on mesure que des négociations Est-Ouest ne peuvent qu’être plus difficiles. Cela peut donc encourager d’autres aventures militaires russes et, déjà, le psychopathe du Kremlin a agité la menace d’un conflit nucléaire.

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