L’inflation, c’est Neptune !


Un bon Neptune amène des prix sages et un mauvais Neptune une forte inflation. Les hausses de prix déraisonnables proviennent généralement d’un conflit entre cette planète et Saturne ou Uranus.


Avec Saturne, il ne faut considérer que l’angle majeur et négatif qu’est l’opposition de 180°. C’est dans ce genre de situation que l’on a une violente explosion des prix, mais qui ne dure généralement pas très longtemps.


Les dernières oppositions Saturne-Neptune ont eu lieu en 2007-2008 avec la crise des subprime et tout le monde se rappelle au moins le prix du baril de pétrole qui avait grimpé jusqu’à 150 $. Une précédente opposition en 1936-1937 avait également poussé à une forte hausse des prix jusqu’en 1939.


Avec un Neptune malmené, on a toujours les mêmes caractéristiques sur certains produits : hausse des prix du pétroles et des denrées alimentaires. Cela mène souvent à des famines provoquées par de mauvaises récoltes.
On a également eu une opposition Saturne-Neptune en 1971 et 1972. Tout le monde se rappelle d’ailleurs la décennie des années 1970, marquée par une faible croissance économique et une forte inflation accompagnée d’un chômage de masse. Car Neptune, c’est aussi la consommation des ménages et par conséquent l’emploi.


Dans les années 1970, nous avons eu aussi un conflit bien plus important entre Uranus et Neptune, sous la forme d’un demi-carré négatif de 45° « exact » de 1971 à 1973 et avec globalement une influence très directe de 1970 à 1975. Chacun se rappelle encore le krach pétrolier d’octobre 1973, de même que les mauvaises récoltes agricoles de 1975 qui avaient conduit en France à un impôt « sécheresse » l’année suivante.


Actuellement et depuis 2017, nous avons exactement le même conflit entre Uranus et Neptune qu’au début des années 1970 avec un demi-carré de 45°. On voit donc l’inflation flamber partout, notamment à cause de la hausse du prix du pétrole (et des taxes) comme des matières premières agricoles comme le blé et le maïs. Soulignons aussi l’invasion de criquets qui a ravagé les cultures d’Afrique de l’Est en 2020…


Le conflit entre Uranus et Neptune est en train de disparaître. Cet hiver, l’angle négatif de 45° est déjà franchement dépassé et atteint à présent 49° avant d’aller jusqu’à 53° l’été prochain et, compte tenu de la course particulière des planètes vue de la Terre, ne plus redescendre ensuite sous 51°.


On pourrait donc se dire que les prix vont s’assagir progressivement, en dépit du militarisme russe qui pollue notamment les cours du pétrole et du gaz comme le « grenier à blé » de l’Europe qu’est l’Ukraine. C’est possible, espérons-le… Cela dit, on peut être inquiets car cela ne s’était pas passé de cette façon dans les années 1970.


En 1975 comme aujourd’hui en 2022, le choc entre Uranus et Neptune s’est dissipé. Mais pas l’inflation ! Celle-ci a poursuivi sa course jusqu’à ce que des mesures sévères soient prises par la banque centrale américaine, avec son nouveau président Paul Volcker qui a poussé les taux d’intérêts de 11 à 20% très rapidement. L’inflation a alors baissé assez vite, d’abord aux Etats-Unis, des environs de 14% à environ 3% en 1983. Mais cela s’est fait au prix de la pire récession depuis 1945 en 1981 et 1982.


Au plan astrologique, on pouvait remarquer en 1979, lors du changement de cap complet de la banque centrale américaine, qu’il y avait une relation harmonique reliant Neptune, Uranus et Pluton.Cela conduit à observer que le choc inflationniste produit par Uranus et Neptune a perduré entre 1975 et 1979, jusqu’à rencontrer l’obstacle apaisant de Neptune, Uranus et Pluton sur cette dernière année et les suivantes.


Actuellement, si l’on cherche un phénomène similaire, il ne se produira qu’à partir de l’été 2025 entre Uranus et Neptune et en 2026 entre Uranus, Neptune et Pluton.


En conclusion, même si l’astrologie n’est pas une science exacte, on peut néanmoins redouter une forte inflation pendant encore 3 à 4 années de plus. Comme lors de la crise des années 1970.


Carte du ciel des planètes lentes au 26 février 2022, l’orbe entre Uranus et Neptune étant d’un peu plus de 49° :

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