Une immense corruption rendue… invisible !

La concentration planétaire actuelle pousse à l’égoïsme, au repli sur soi, au nationalisme et aux guerres mais aussi… au développement de la corruption politique et financière. En la matière, on est généreusement servis !

Les planètes qui déterminent les cycles et les événements les plus importants sur Terre sont constituées par Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton. Or, ces cinq planètes évoluent sur un arc de cercle de seulement 110° sur les 360 du zodiaque. C’est un orbe limité et il ne s’élargira qu’à partir de 2024, quand Jupiter s’évadera de cet arc de cercle en dépassant Uranus en Taureau (notre graphique ci-dessous). Dans l’immédiat, la corruption peut encore atteindre de nouveaux sommets.

Une situation planétaire similaire avait eu lieu à la fin des années 1970 et au début des années 1980 : on avait alors eu notamment en France le scandale de l’affaire Boulin et des diamants de Giscard, comme aux Etats-Unis celui de l’Iran-Contra ou Irangate…

Actuellement, on peut recenser au moins trois scandales majeurs de corruption avérée ou du moins très probable. Ne parlons même pas de Vladimir Poutine à l’enrichissement éhonté, mais dans un pays non démocratique et très corrompu par nature.

– Le premier scandale concerne le président américain Joe Biden. Pour protéger son fils Hunter, lourdement soupçonné de corruption dans ses liens avec un oligarque ukrainien, le président a fait payer par le FBI 3,5 millions de dollars aux anciens dirigeants de Twitter pour supprimer les posts et les comptes personnels d’internautes faisant état de la plausible implication du fils du président.

Ce faisant, le président Biden a probablement violé la Constitution américaine et son Premier amendement en violant la liberté d’expression et en interdisant de facto aux Américains d’être informés des graves accusations pesant sur Hunter Biden. De plus, le conflit d’intérêt et le détournement de fonds publics paraissent assez évidents.

Curieusement, aucune commission parlementaire bipartisane n’a été mise en place pour enquêter sur cette sinistre affaire. Par ailleurs, un procureur enquête sur les soupçons de corruption du fils Biden. Mais aucun procureur spécial et indépendant n’a été désigné par la Justice pour faire de son côté la lumière sur le rôle sulfureux du président Joe Biden lui-même. Les médias « bien-pensants » n’en parlent pas davantage, seulement quelques journaux conservateurs comme le New York Post notamment.

– Le second scandale de premier plan concerne l’Union Européenne. On a déjà des parlementaires probablement achetés pour faire la promotion du Qatar et du Maroc et la détention d’une Vice-présidente socialiste grecque. Mais il y a probablement pire et cela concerne la Commission Européenne et notamment sa présidente, Ursula von der Leyen.

Alors qu’elle était auparavant ministre de la Défense en Allemagne, 100 millions d’euros se sont volatilisés, semble-t-il octroyés à des copains et des coquins de l’entourage de von der Leyen. En arrivant à la Commission, elle a encore dépensé sans compter plus de 70 000 euros pour s’aménager un studio sur place, tout en conservant la généreuse indemnité de plus de 4 000 euros pour louer un appartement à Bruxelles qu’elle n’utilise donc pas…

Pire, elle a acheté des dizaines de millions de doses du vaccin anti-covid de Pfizer, alors que son mari Heiko dirige le laboratoire pharmaceutique Orgenesis pour le même… Pfizer ! Le conflit d’intérêt paraît caricatural…

Encore pire : au nom de la Commission et de l’Union Européenne, Ursula von der Leyen a donné au labo de son mari 320 millions d’euros pour une mission assez obscure en Italie. Encore plus pire : le labo de son mari n’avait a priori pas le droit de solliciter et d’encaisser cette subvention colossale, car non enregistré pour cela en Italie à ce moment-là. Là aussi, le conflit d’intérêt et l’enrichissement personnel paraissent assez flagrants.

Cerise sur le gâteau, la si dépensière Ursula von der Leyen, déjà payée pour un revenu global tout à fait indécent de plus de 35 000 euros par mois, a organisé récemment une « soirée fantôme » pour la somme colossale de 487 000 euros avec seulement… 5 convives !

Comme pour l’affaire qui touche le président américain, les médias « bien-pensants » ne parlent pas du tout des différents scandales réels ou supposés qui affectent si lourdement la présidente de la Commission Européenne. Aucune enquête judiciaire n’a non plus été lancée sur les nombreux et étayés soupçons de conflits d’intérêts et de détournements de fonds publics européens. Curieusement aussi, aucun pays des 27 membres de l’Union Européenne n’a demandé sa démission…

– Le troisième scandale politico-financier potentiel concerne le président Emmanuel Macron et le cabinet de conseils McKinsey. A peine élu pour son premier mandat en 2017, le président nomme le président de McKinsey France à la tête de l’école polytechnique, un poste éminemment lucratif. Par ailleurs, le cabinet voit ses « missions » atteindre des sommets et jusqu’à 1 milliard d’euros par an en 2021. Pire encore : McKinsey n’a payé aucun impôt pendant 10 ans, soit pendant que Macron était président ou auparavant ministre de l’Économie et des Finances…

En résumé, la question se pose évidemment de savoir s’il n’y a pas eu un pacte de corruption entre le président Macron et le cabinet McKinsey. En échange de contrats juteux et injustifiés comme de non-paiement d’impôts pendant 10 ans, McKinsey n’aurait-il pas financé illégalement l’ascension et les 2 campagnes électorales présidentielles de Macron en 2017 et 2022 ?

A la suite de plaintes ou réclamations de l’association Anticor, le PNF (Parquet National Financier) a fini par accepter d’ouvrir une enquête. Mais dans quel but ? Ce parquet plus politique que judiciaire a été nommé par François Hollande dans le seul but de poursuivre les adversaires politiques de la gauche, ce qui a bien été illustré par les poursuites contre François Fillon et l’emploi fictif de sa femme, déclenchées quelques heures seulement après des révélations de la presse évidemment « bien-pensante ».

Dans ces conditions, on peut se demander si ce sulfureux PNF va effectivement mener une enquête ou seulement faire semblant de le faire pour mieux l’enterrer et prononcer un non-lieu. Si c’était le cas, une fois de plus, un probable scandale politico-financier majeur serait rendu… invisible !

En résumé, on voit aujourd’hui de très graves affaires de probable corruption être découvertes, étalées sur la place publique et même être assez bien détaillées. A notre avis, elles résultent pour le moment de la concentration planétaire actuelle qui encourage la corruption politique et financière.

Cette concentration planétaire a aussi comme probable conséquence d’empêcher que ne saute le couvercle qui coiffe ces affaires et rend pour le moment impossible des conséquences judiciaires ou d’informations suffisamment larges du public. Peut-être cela va-t-il se répandre progressivement, tellement ces affaires sont majeures et déjà assez bien décortiquées. Ou peut-être faudra-t-il attendre 2024 pour que Jupiter sorte de cette concentration planétaire de Pluton à Uranus et permette que les éclairages publics et les poursuites judiciaires soient enfin d’actualité.

A écouter et voir aussi sur YouTube :

https://studio.youtube.com/video/lAEeoUC1fL4/livestreaming

Carte de la concentration planétaire au 31 décembre 2022 :

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