Le nouveau Premier ministre a commencé par une gaffe politique magistrale, s’occupant davantage de son Conseil municipal de Province que des affaires nationales du pays. Un mauvais Mars en est à l’origine…

François Bayrou est coutumier des gaffes, plus énormes les unes que les autres. A peine nommé ministre en 2017, il avait dû démissionner à cause des emplois fictifs du Modem qu’il préside au Parlement européen. Là, on se demande s’il va réussir à former un gouvernement, même avec le personnel politique actuel qui est d’une médiocrité absolue.

François Bayrou est Gémeaux ascendant Balance avec Neptune à l’ascendant. Cela signe des individus manquant d’une véritable colonne vertébrale et, pour une personnalité politique, de vraies convictions. C’est un grand bavard qui aime s’écouter, il oscille toujours sans prendre le plus souvent de décisions et s’illusionne bien souvent devant des chimères.

Actuellement, la planète Mars nous semble avoir d’abord favorisé la nomination d’un nouveau Premier ministre, François Bayrou en l’occurrence. Elle est en ce moment très importante car, vue de la Terre, sa course elliptique la rend presque immobile pendant plusieurs semaines. Se situant autour de 5° du Lion, la planète rouge était bien placée vis à vis du Soleil natal de la 5ème République à 5° de la Balance (carte de la 5 ème République ci-dessous). Or, ce Soleil natal représente l’exécutif de la France, et donc la nomination en l’occurrence d’un nouveau Premier ministre…

Mais ce point positif est à présent dépassé et Mars se rapproche des 4° du Lion en ce moment. Ce faisant, il se retrouve en conflit étroit avec la conjonction natale Jupiter-Neptune de la 5 ème République entre 3 et 4° dans le signe du Scorpion. Or, ce tandem planétaire Jupiter-Neptune est le principal ressort planétaire de la France, au-delà même de la 5ème République, depuis au moins Charlemagne jusqu’aux fondations, notamment, des 1ère, 4ème et 5ème République sous une configuration identique.

Il est donc possible que François Bayrou ne réussisse même pas à former un gouvernement d’ici la fin de l’année et soit obligé, une nouvelle fois, de rendre son tablier… Cela nous semble une hypothèse très négative, sans doute trop négative mais cependant possible.

Si Bayrou arrive néanmoins à se maintenir, l’étape actuelle de la crise politique majeure n’est peut-être pas terminée pour autant. Sur un autre plan, le président Macron a beau vociférer contre les Mahorais, il s’est fait copieusement insulter sur l’île de Mayotte, dont le cyclone n’est pas le seul à pourrir la vie des habitants. Ceux-ci doivent supporter les mafias criminelles et les parasites sociaux d’une invasion migratoire illégale, qui représente désormais la moitié de la population locale. Plus rien ne peut fonctionner correctement. Vie économique, sociale, santé, administration : rien ne peut tourner sous une pareille invasion… Or, rien de sérieux n’a été fait pour en finir avec cette folle immigration, sauf les moulinets verbeux habituels de l’ancien ministre Darmanin.

Admettons en tout cas que Bayrou conserve dans l’immédiat son poste. Cela nous paraît possible et il pourrait alors demeurer en place jusqu’à notre charnière importante et peut-être décisive pour le pays en juin prochain. Dans ce cas, une nouvelle étape capitale de la crise actuelle se produirait néanmoins fin janvier et février, et donc après celle de la formation actuellement si difficile et peut-être impossible d’un nouveau gouvernement de bras cassés.

En tout cas, tant qu’une majorité parlementaire n’existera pas pour réduire la dette publique, endiguer la folle immigration, remettre en place une véritable législation pénale contre les voyous en tous genres, baisser les taxes et les impôts pour redonner un souffle aux entreprises comme au pouvoir d’achat de la population… Eh bien, la crise ne pourra que continuer à enfler et, au bout du compte, conduire à la faillite totale du pays. Juin prochain constituera peut-être enfin un véritable espoir pour engager enfin les profondes réformes nécessaires.

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Carte du ciel de la 5ème République :