Krach sur les prix ?

L’inflation est non seulement de retour, mais elle risque fort de s’emballer. Le prix du baril de pétrole a quasiment doublé depuis un an et le brent se traite désormais autour de 80$, tandis que le gaz a lui aussi vus ses cours s’envoler. En France, les tarifs du gaz augmentent de 12,6% en octobre et on redoute que l’électricité ne suive de la même façon au début de l’an prochain. En Grande-Bretagne, la pénurie s’est généralisée avec des pompes à essence à sec… La ponction sur le pouvoir d’achat va être énorme dans tous les pays du globe, surtout dans ceux qui fiscalisent à l’excès comme la France avec une énergie comportant des taxes à hauteur de 50% du prix final.


Le papier manque également à cause des conséquences de la crise sanitaire mondiale : le papier toilette ou essuie-tout, le carton, le papier journal ou pour l’édition sont déjà en situation de pénurie et la hausse des prix, qui va en résulter, risque d’être colossale. Les prix des matières premières agricoles ou industrielles flambent également, aussi bien sur les fruits et légumes que les puces électroniques.
Cela rappelle les années 1970 avec son krach pétrolier fin 1973 et son inflation à deux chiffres, tandis que la croissance économique était bien molle.


La comparaison est astrologiquement pertinente puisque, dans les années 1970 comme aujourd’hui, nous avons une confrontation entre Uranus et Neptune sous la forme d’un demi-carré négatif de 45°. De surcroît, sur la fin de cette année 2021, Saturne agresse également Uranus et Neptune par carré de 90° et demi-carré de 45°. 


Sur le fond, c’est donc Neptune qui se retrouve ainsi en bien mauvaise posture. Et Neptune représente notamment les prix, l’inflation et les biens de consommation ainsi que l’emploi et le pouvoir d’achat. En 2008, le pétrole avait par exemple atteint des sommets comme de nombreux produits agricoles en présence d’une opposition de Saturne au même Neptune, c’est à dire la configuration planétaire la plus négative qui soit entre deux planètes.


Le retour actuel de l’inflation n’est donc pas étonnant et cela va à la fois pousser à la hausse des taux d’intérêts et à un ralentissement de la croissance sur les mois à venir. Dans un tel contexte, les banques centrales vont avoir le plus grand mal à gérer cette situation.

Or, les banques centrales dépendent elles aussi de Neptune… Leurs politiques monétaires vont donc être compliquées à déterminer comme à mettre en oeuvre.


Heureusement, Il y a quelques compensations apportées par une belle relation Neptune-Pluton et Saturne-Pluton. Par ailleurs, les agressions d’Uranus et Saturne contre Neptune vont commencer à se dissiper au début de l’année 2022 et, à partir de l’été, ces mauvaises influences vont franchement être très relâchées et en voie de disparition complète.

La situation était différente dans les années 1970, le krach pétrolier de fin 1973 s’étant produit dans un contexte planétaire directement beuacoup plus dur et durable. Actuellement, on en est plutôt à la fin de ces mauvaises influences neptuniennes. On peut donc espérer que l’année 2022 commence à apporter certains apaisements dans le domaine des prix.

Carte astrale au mardi 28 septembre, mettant en valeur les mauvaises influences d’Uranus et Saturne vis à vis de Neptune :

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