La « concentration planétaire » actuelle pousse aux récessions, aux krachs boursiers et aux guerres. Ce sera peut-être le cas comme en 1981-1982, mais Uranus, Neptune et Pluton peuvent limiter les dégâts.
Comme de 1980 à 1982, nous assistons depuis 2020 et jusqu’au printemps 2024 à un regroupement des planètes dites « lourdes » et étant donc sensées avoir le plus d’influences sur notre vie de Terriens. Il s’agit de Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton. Ces cinq planètes « lourdes » sont regroupées sur un orbe de cercle de 106° actuellement. C’est peu, même si au début des années 1980 la concentration de ces cinq planètes était encore plus forte. Par ailleurs, à l’exception de Mars, les autres planètes ou astres dits « rapides » (Soleil, Mercure, Vénus et souvent la Lune) sont également jusqu’au début avril à l’intérieur de cet orbe de 106°, renforçant les problèmes que cela peut évidemment poser.
Vendredi dernier, deux banques américaines ont fait faillite, notamment la Silicon Valley Bank (SVB) qui s’est effondrée à cause de la hausse des taux d’intérêts de marchés. Sur le 10 ans américain, par exemple, les taux à 10 ans sont passés depuis 2021 d’un plancher à 1 % à un pic à 4 % ces derniers jours. Cela représente 300% de hausse et 75 % de baisse dans un portefeuille obligataire entre ces deux extrêmes. Les autorités américaines ont donc pris le contrôle de la SVB vendredi soir pour limiter la panique des investisseurs…
Cela va-t-il mener à un krach boursier ? Au début des années 1980, avec un phénomène similaire de « concentration planétaire », il y a eu un véritable krach boursier à la suite de la pire récession subie par les pays occidentaux depuis 1945. Cette concentration planétaire pousse en effet à la baisse de la croissance, voir à des récessions et aux faillites bancaires.
Parallèlement, cela pousse au repli sur soi et au nationalisme, aux tensions internationales et aux guerres comme celle que l’on connaît actuellement entre la Russie et l’Ukraine. Au début des années 1980, les guerres ont concerné l’Afghanistan envahie par la Russie, les îles Malouines que voulaient conquérir l’Argentine contre la Grande-Bretagne, l’Iran et l’Irak ainsi que le Liban occupé au sud par Israël à cause du terrorisme du Hezbollah…
Il n’y aurait donc aucune objection aujourd’hui à ce que la hausse des taux d’intérêts, aussi bien sur les marchés que ceux des banques centrales, conduisent à une vague de récessions dans les pays occidentaux et à une chute brutale des marchés d’actions et obligataires. Ce fut en tout cas le cas au début des années 1980, les marchés d’actions occidentaux ayant lourdement chuté d’environ -40% entre 1980 et 1982 selon les pays. Le risque est donc réel et évidemment assez menaçant aujourd’hui.
On peut cependant constater deux facteurs de soutien pour les marchés d’actions et l’économie mondiale à partir d’angles positifs képlériens :
– Une belle relation entre Uranus et Pluton de 108°, qui a tendance à soutenir la rentabilité des entreprises.
– Un angle également favorable entre Uranus et Neptune de 54°, qui tend notamment à soutenir l’emploi et la consommation des ménages ainsi qu’à modérer l’inflation.
Relevons simplement que ces deux relations harmoniques ont favorisé la hausse des indices boursiers d’octobre à février dernier, ces deux angles planétaires ayant été « exacts » respectivement début novembre et fin décembre 2022. Ils seront à nouveau exacts durant ce printemps ou au début de l’été prochain.
Cela ne garantit pas qu’une crise économique et boursière ne va pas se répandre avec la hausse progressive des taux et la baisse des marchés obligataires. Cela peut néanmoins éviter le pire au plan économique et au minimum à permettre de forts rebonds sur les marchés boursiers.
A voir et écouter aussi sur YouTube :
Carte de la concentration planétaire actuelle, Mars étant la seule planète à être sortie de cet amas sur 106° d’orbe :