On s’inquiète d’un nouveau variant du Covid 19 et d’une possible nouvelle vague épidémique… C’est en fait peu probable, les causes neptuniennes de la pandémie de coronavirus ayant disparues.
Dès le printemps 2022, nous avions estimé que le Covid 19 était en fin de parcours. C’était peut-être un peu trop rapidement optimiste, mais pas faux pour autant. Le virus a perdu de sa virulence sur les mois qui ont suivi et, à présent, le nouveau variant provoque fort peu de pathologies graves ou de décès. II se résume dans l’immense majorité des cas à une simple grippe, dont on sait que ce n’est jamais une partie de plaisir mais dont on se remet facilement en quelques semaines.
A l’origine du virus en 2019, un conflit double entre Uranus et Neptune (demi-carré négatif de 45°) et une fin de cycle très négative entre Jupiter et Neptune (de 30 à 0° d’orbe.) Ces deux facteurs négatifs affectant Neptune ont toujours été présents à l’origine des grandes pandémies : peste en Europe au XIVème siècle, grippe espagnole de 1918-1921, grippe asiatique de 1956-1958, grippe de Hong Kong de 1968-1970…
Or, depuis l’été 2022, les conflits planétaires affectant Neptune, la planète qui concerne virus et autres bactéries, ont globalement cessé. Uranus est même à présent en harmonie avec Neptune, par le biais d’un angle képlérien positif de 54° qui va se renouveler en janvier et mai 2024.
Il ne reste plus qu’un nouveau litige cet hiver entre Jupiter et Neptune (angle négatif de 45°) qui peut peut-être entretenir une vague de Covid-19 pendant quelques mois. Ce conflit pourrait éventuellement être un peu renforcé par la « concentration planétaire » actuelle, qui a tendance à aggraver tous les problèmes présents, de quelque sorte que ce soit.
Cela semble pourtant assez secondaire, Uranus étant bien plus puissant que Jupiter et, globalement, les conditions ne sont de toute façon plus remplies pour une grande vague pandémique aux conséquences catastrophiques.
Certes, les contaminations sont en hausse sensible, mais le virus n’a plus du tout la même virulence que lors des deux premières vagues pandémiques en 2020 et 2021. Sans doute l’immunité collective naturelle a-t-elle déjà permis de franchir le cap… En France, en proportion des personnes infectées, les passages aux urgences demeurent très limités et de même nature que lors des épidémies de grippes, surtout pour les personnes très âgées qui sont bien sûr les plus fragiles.
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Carte du ciel au samedi 16 décembre 2024 :