Un conflit entre Jupiter et Pluton le mercredi 7 août prochain est un facteur d’escalade militaire, d’affrontements armés, de répressions sanglantes, de coups d’État et de risques au plan nucléaire. On pense d’abord au Proche-Orient évidemment, mais cela peut aussi concerner l’Ukraine, le Venezuela ou même l’Afrique de l’Ouest.
A titre de repère, rappelons par exemple qu’un conflit similaire entre Jupiter et Pluton avait, à quelques heures près de son impact exact, correspondu au début de l’invasion russe en Ukraine le 24 février 2022. Cela montre que la confrontation du 7 août prochain n’est pas à prendre à la légère…
Sur le fond, tous les conflits armés actuels ont été favorisés par une concentration des planètes dites « lourdes » (Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton) sur un arc de cercle limité d’environ 110° de début 2020 au printemps dernier. Cette concentration maléfique commence à se dissiper (arc de cercle élargi à 135° aujourd’hui). Cependant, tous les conflits, qui ont pris naissance pendant cette longue concentration planétaire, ne vont pas pour autant disparaitre d’un coup de baguette magique. On peut surtout se dire, à présent, qu’il y a de moins en moins de chances de voir éclore de nouveaux affrontements armés de première importance.
Par ailleurs, Saturne et Pluton sont également en conflit et pour environ une année de plus. C’est évidemment un facteur de guerre supplémentaire et surtout de risques d’escalades pour les conflits existants.
On pense bien sûr au Proche-Orient dans la situation actuelle et notamment autour du 7 août prochain. Évidemment, en raison des nouvelles menaces de l’État terroriste iranien et de ses milices du Hamas, du Hezbollah et des Houthis yéménites.
C’est d’autant plus plausible que l’État d’Israël dépend étroitement du cycle Saturne-Pluton. Toutes les guerres qu’Israël a dû affronter ont eu lieu lors de passages conflictuels entre ces deux planètes : guerre d’indépendance en 1948, guerre des 6 jours et du Yom Kippour en 1967 et 1973, guerre contre le Hezbollah au Liban-sud en 1982, 1ère intifada en 1987 et seconde en 2000, guerre à nouveau contre le Hezbollah en 2006…
Ce conflit Saturne-Pluton va durer encore une année entière globalement. Cela promet de nouvelles épreuves pour l’État hébreu, qui doit faire face à plusieurs fronts en même temps, essentiellement à cause de la dictature des mollahs terroristes iraniens à Téhéran.
Notons aussi que la planète Pluton concerne le nucléaire, civil comme militaire. On connaît notamment tous les mensonges de l’Iran, tentant vainement de masquer son programme de course à la bombe nucléaire depuis des décennies. D’une façon ou d’une autre, le nucléaire peut donc aussi être concerné sur ce début de mois d’août. Il l’est d’ailleurs déjà avec les nouvelles manigances du dictateur russe Vladimir Poutine. Ce dernier vient d’ organiser de grandes manoeuvres militaires d’intimidation sur l’utilisation d’armes nucléaires tactiques sur le champs de bataille avec l’Ukraine.
Pour conclure, le Hamas ne semble pas encore totalement anéanti. Mais il a subi de lourdes pertes et ruiné la bande de Gaza à cause de ses exactions et crimes antisémites. Quand le Hamas avait pris le pouvoir en 2007 sur une opposition Saturne-Neptune, nous en avions déduit un probable anéantissement de ce nouveau pouvoir. Un tel choc entre Saturne et Neptune est en tout cas un puissant facteur d’extrémisme, généralement suicidaire et qui mène à l’effondrement du pouvoir politique qui se met en place sur une telle configuration. Ce fut par exemple le cas en 1793, quand le Comité de Salut public de Maximilien Robespierre a instauré la Terreur en France. On sait ce qu’il en est advenu…
A l’heure actuelle, on ne peut pas encore affirmer que le Hamas a été totalement détruit. Il a seulement subi de très lourds revers depuis ses crimes monstrueux du 7 octobre dernier et perdu des dizaines de milliers de combattants terroristes. Il se peut, au bout du compte, qu’il soit totalement anéanti car la guerre contre ces fanatiques n’est pas terminée.
Actuellement, le cycle Saturne-Neptune dont dépend étroitement le Hamas est en fin de parcours et donc en chute libre jusqu’en 2026. Cela n’est évidemment pas favorable au Hamas, qui devrait donc continuer d’accumuler les échecs, les revers, les défaites et la perte de ses combattants comme de ses dirigeants.
On ne connaît pas encore l’issue exacte de la guerre en cours. Mais en tout cas, les conséquences exactes de cette guerre dans la bande de Gaza sont à suivre pas à pas…
A écouter sur YouTube :
Carte du ciel du sesqui-carré négatif de 135° Jupiter-Pluton le mercredi 7 août :