Le mouvement des planètes est sans appel : on se dirige tout droit vers un brutal coup de frein en Europe à l’immigration massive des décennies précédentes ! Le grand carré Uranus-Pluton va y pourvoir : il est déjà à l’oeuvre, mais il va atteindre son intensité maximale de la mi 2012 jusqu’en 2016. On peut vraiment en déduire que va s’exacerber la révolte des Européens contre une immigration envahissante, assistée et courant les prestations sociales, communautariste, violente et à l’opposé des valeurs démocratiques les plus fondamentales.
Comment être si sûrs de tout cela ? Vous allez le voir, ce ne sont pas les arguments qui manquent…
La vague actuelle d’immigration (différente de précédentes immigrations inter- européennes au XIX ème et XXème siècle) a pris sa naissance avec les processus de décolonisation au lendemain de la deuxième guerre mondiale. Premier exemple retentissant : la décolonisation et l’indépendance de l’Inde par la Grande-Bretagne en 1947… Et que constate-t-on de majeur au plan astral en 1947 ? Il faudrait être aveugle pour ne pas voir la grande conjonction (angle majeur de 0°) Saturne-Pluton, qui renouvelle tous les 35 ans environ le cycle entre ces deux planètes !
S’il s’agit ici précisément de l’Inde, c’est en fait un processus général qui s’engage en 1947. Comment ne pas y voir le fantastique élan en faveur de l’indépendance qui monte en puissance également au Maghreb et en Afrique, notamment dans les colonies britanniques, belges et françaises ? C’est d’autant moins étonnant que le Maghreb dépend spécifiquement par ailleurs de ce même cycle Saturne-Pluton : toutes les guerres régionales (justement depuis celle de 1947 à l’occasion de la création de l’Etat d’Israël !) ont systématiquement eu lieu depuis 60 ans sur des conflits entre ces deux planètes…
Nous voici en tout cas avec un premier repère intéressant : Pluton… Pluton au centre du jeu qui, en relation « favorable » avec Saturne, pousse visiblement à l’émancipation en Europe des anciens peuples colonisés. La porte se trouve ainsi ouverte à l’immigration vers les anciens pays colonisateurs…
L’envolée de l’immigration sociale
Continuons donc avec notre ami Pluton et la grande conjonction, encore plus importante bien sûr, d’Uranus avec ce même Pluton au milieu des années 1960 (1965-1967)… L’Europe se situe ici en pleines « Trente Glorieuses », la croissance économique dépasse annuellement les 5% et… la main d’oeuvre non qualifiée manque : on va la chercher au Maghreb, surtout dans les anciennes colonies. Pour la France, c’est évidemment l’Algérie, le Maroc, la Tunisie et certaines anciennes colonies d’Afrique Noire…
Sur cette grande conjonction Uranus-Pluton, l’immigration prend un envol supplémentaire décisif. Et cela débouche, par exemple en France, sur la stupide loi de 1979 (premier demi-sextile positif des mêmes Uranus-Pluton !) autorisant le « regroupement familial » : voici la porte basculante ouverte d’une immigration de travail sur une immigration purement sociale…
Cette immigration sociale trouve au début des années 1980 un puissant moteur avec le développement, partout en Europe et notamment en France, d’Etats providence de plus en plus généreux et « ouverts ». Ces politiques sont souvent infinançables, bien sûr, mais à l’époque qui avait cure des déficits ?
On ne sera d’ailleurs pas étonnés d’observer une nouvelle conjonction Saturne-Pluton, constituant sans doute un immense appel d’air pour l’immigration sociale en 1982… C’est au cours des années 1980 que commencent également à surgir les théories farfelues et clientélistes de la gauche sur le « multiculturalisme ». Un multiculturalisme qui n’a pourtant jamais existé en Europe, et notamment pas en France où l’homogénéité des origines nationales est même remarquable : outre les tribus gauloises d’origine, on peut seulement y ajouter celle des Francs juste de l’autre côté du Rhin et l’influence romaine qui n’est pas descendu en deçà du Tibre à Rome… Soyons complets et mentionnons aussi une poignée de Wikings qui ont fini par s’enraciner dans l’Ouest de la France. Voilà pour tordre le cou au mythe mensonger d’un multiculturalisme qui n’a jamais existé.
Il n’en demeure pas moins, à l’époque, que le vent soufflait en faveur d’une immigration toujours plus large, encouragée par le clientélisme de la gauche avec ses régularisations massives. Personne ne pensait à l’époque que cela allait finir par conduire une ville comme Rotterdam (Pays-Bas) à une population inassimilable de 50% d’immigrés sociaux ou presque, avec la fuite des classes moyennes d’origine, affolées par la brutalité et l’arriération d’incultes et de sangsues de toutes sortes.
En suivant également Uranus et Pluton, on aboutit à un premier petit conflit en 1986-1988 avec un « petit » demi-carré (angle négatif mineur de 45°). Intéressant quand même… Sans avoir fait de recherches approfondies, mentionnons quand même que c’est la période, en France, où la droite est au pouvoir avec Jacques Chirac comme Premier ministre. On commence à s’inquiéter de cette immigration qui fait la chasse aux allocs, du détournement du droit d’asile et quelques (timides) mesures cherchent à encadrer le code de la nationalité et les conditions d’entrée et de séjour en France. C’est un petit point de repère supplémentaire…
La « Bataille de Poitiers » de 732
Mais pour trouver les repères les plus intéressants et les plus spectaculaires, il faut plonger bien plus loin dans notre histoire européenne collective ! C’est en effet là que l’on peut observer une mécanique astrale implacable, sa parfaite logique et des effets… prodigieux !
En effet, l’Europe a déjà connu, sous une forme bien sûr très différente, des invasions arabes. En France, cela n’a pas laissé des souvenirs marquants, cette période n’ayant duré qu’une courte poignée d’années, des environs de 720 à seulement 732 et la mémorable « Bataille de Poitiers » : Charles Martel et la cavalerie franque y donnent un brutal coup d’arrêt aux velléités expansionnistes des hordes musulmanes !
La fameuse « bataille de Poitiers » a lieu le 25 octobre 732 précisément. Et que faisaient nos deux amis Uranus et Pluton ce jour là ? Une superbe caricature : rien moins qu’un carré (angle négatif de 90°) parfaitement exact à moins de dix minuscules petites minutes d’orbe près ! Nous en présentons bien sûr le graphique au bas de cet article, cela en vaut la peine…
Allons même un peu plus loin, pour ce qui concerne seulement la France. La « Bataille de Poitiers » s’inscrit directement dans la constitution moderne de la nation française, réalisée par Pépin le Bref (715-768). On peut d’ailleurs relever, en 732, une conjonction Jupiter-Neptune, le cycle qui colle à la peau de la France : celles de 732 et ensuite de 745 ont d’ailleurs fondé la France dans ses frontières actuelles ou presque !
C’est dire l’importance historique que revêt cette fameuse « bataille de Poitiers » pour la France : c’est l’hexagone en constitution et… le refus du multiculturalisme de l’époque !
La fin de la « Reconquista » de 1492
Il y a encore plus intéressant… Eh oui ! Si la France n’a finalement subi qu’une assez mince tentative d’invasion arabe pendant seulement une dizaine ou une quinzaine d’années, il n’en a pas été de même pour la péninsule ibérique, l’Espagne et le Portugal moderne : l’occupation « maure », comme l’appellent encore de sinistre mémoire les Espagnols et les Portugais, a en effet duré du début des années 700… jusqu’en 1492 ! Soit pendant près de 8 siècles entiers !
Là, c’est plus sérieux… L’histoire a ceci de précieux qu’elle permet par exemple de relativiser plus que largement les auto-flagellations de repentance de la gauche européenne actuelle sur les dégâts (effectifs d’ailleurs) d’une colonisation européenne qui a duré au maximum 2 siècles… Mais l’occupation arabe de la péninsule ibérique, avec tous ses massacres et notamment la persécution des Juifs, elle, s’est étendue sur 8 siècles !
Allons à l’essentiel… Inutile de dire que, bien entendu, l’occupation « maure » reste vivace dans la mémoire collective espagnole et portugaise. Inutile de souligner aussi qu’elle a suscité d’abord une fronde puis une colère de plus en plus puissante et bientôt incontrôlable de la part de nos amis ibériques. On a appelé cela la « Reconquista », un terme qui se passe de commentaires…
Cette « Reconquista », au bout de 8 siècles de combats et de massacres, s’achève enfin le 2 janvier 1492 quand le dernier « souverain » musulman, Boabdil de Grenade, est chassé par les armes de la ville de Grenade et de la péninsule ibérique. Et que faisaient nos deux compères Uranus et Pluton ce 2 janvier 1492 ? Je vous le donne en mille : un carré exact de 90° à moins d’un petit degré d’orbe, soit exactement la même configuration au millimètre près que lors de la « bataille de Poitiers » en 732, soit 8 siècles plus tôt !
Arrivés ici, on commence à mieux comprendre le mouvement des planètes et ses liens avec l’immigration. N’est-ce pas ? Les cycles Uranus-Pluton en sont à la base de toute évidence, épaulés par ceux de Saturne avec le même Pluton. Tout n’est pas incontestable, je le sais bien et n’aurais pas la prétention d’affirmer le contraire, mais les repères sont tout de même suffisamment clairs et même limpides pour s’en servir.
Les leçons à tirer pour les années à venir
Et aujourd’hui, quelle tentation de les utiliser ! Comme en 732 et 1492, nous en sommes arrivés à l’étape majeure d’un grand carré Uranus-Pluton (2012-2016), qui plus est (pour les amateurs) le même type de carré puisqu’il s’agit dans les trois cas d’un carré « croissant » au sein du cycle entre ces deux planètes.
Ajoutons aussi que le cycle Saturne-Pluton est lui-même « décroissant » (en résumé, négatif pour l’immigration) et qu’il va le demeurer jusqu’en 2020 pour sa part. Cela ne peut que renforcer puissamment le grand carré Uranus-Pluton et ses implications possibles !
Alors, oui, de tout cela, on peut tirer une belle conclusion : à coup sûr (ou presque…), l’immigration actuelle avec tous ses excès va connaître un brutal coup de frein et d’encadrement, parfaitement logique d’ailleurs si l’on prend en compte la colère croissante des classes moyennes européennes qui ne supportent plus cette invasion qui sape ses valeurs démocratiques, ruine son système de protection sociale, fait s’envoler la fiscalité et prétend imposer son communautarisme par la brutalité ou la violence de l’arriération sociale et religieuse. Les peuples concernés ne sont évidemment pas en cause, bien sûr, à chacun d’eux ses propres étapes dans la voie du développement et de la civilisation…
Le mouvement de refus de cette immigration parasitaire est d’ailleurs lancé. Ce sont nos amis suisses, le peuple le plus épris de démocratie sur notre Vieux Continent, qui a le premier manifesté son ras-le-bol en interdisant par référendum la construction de nouvelles mosquées. Ce n’est qu’un point de départ, mais si symbolique et si puissant…
Concluons en indiquant simplement que l’astrologie ne permet pas pour autant de mesurer précisément quelle sera l’ampleur de la vague anti-immigration qui va submerger l’Europe. De la même façon, il serait illusoire de chercher à déterminer l’importance des mesures et les conséquences que cela va concrètement entraîner. Rien ne saurait garantir que cela sera aussi spectaculaire dans ses effets que la « bataille de Poitiers » de 732 ou la fin de la « Reconquista » de 1492. La « tendance planétaire » au blocage de l’immigration est là, mais son histoire reste à écrire, l’astrologie maniée avec prudence et recul ne pouvant pas lire dans le marc de café…
Jean-François Richard
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