Les Bourses d’actions s’inquiètent de valorisations excessives, liées à l’Intelligence artificielle et à des taux d’intérêts trop élevés aux Etats-Unis. C’est dans la logique de l’opposition Mars-Uranus du 4 novembre dernier…
Une opposition de Mars à Uranus provoque toujours des dégâts sur les actions. La planète Uranus représente les Bourses d’actions et notamment les valeurs technologiques… Sous l’agression de Mars, il est donc normal de voir les investisseurs s’inquiéter.
Actuellement, beaucoup d’analystes jugent les valorisations trop élevées, en particulier pour les valeurs liées à l’Intelligence Artificielle. Ils s’inquiètent aussi de la situation de l’économie américaine, à la fois en repli mais avec une inflation un peu élevée qui gêne la Réserve Fédérale pour baisser ses taux directeurs et mieux soutenir l’activité. En conséquence, nombre d’entre eux prévoient une sévère correction des cours et redoutent un krach brutal.
A notre avis, ils ont tort et il n’y aura pas de krach.
Les niveaux élevés des cours liés à l’IA sont à notre avis justifiés, car nous sommes au début d’une nouvelle révolution industrielle. Cette dernière fait donc logiquement envisager de nouvelles découvertes, de nouveaux progrès, de nouveaux investissements et donc une plus grande prospérité au plan mondial !
Pour expliquer cet optimisme, il convient de regarder le joli trio qui est en train de former un triangle isocèle qui sera parfait l’an prochain : Uranus, Neptune et Pluton, avec de surcroît l’aide de Saturne, nous annoncent des progrès économiques et sociaux majeurs. Cela justifie le relatif optimisme des Bourses d’actions, dont la fonction est d’anticiper l’économie à venir et non de regarder dans le rétroviseur la conjoncture passée.
S’agissant des taux directeurs de la Fed américaine, Uranus et Neptune sont en harmonie depuis le mois d’août dernier et ils vont former un nouvel angle positif exact de 60° le 20 novembre prochain. Or, la planète Neptune concerne notamment la consommation et les politiques monétaires des banques centrales. Il n’y a donc pas lieu a priori de s’inquiéter pour la trajectoire des taux d’intérêts américains, qui devrait demeurer orientée à la baisse…
Certes, la fin toujours négative d’un cycle entre Saturne et ce même Neptune alimente assez logiquement des inquiétudes. Cela alimente une inflation persistante, et provoquée essentiellement par la hausse des droits de douane. Cependant, Uranus est plus puissant que Saturne et, depuis l’été dernier, il a toujours supplanté les restrictions de la planète aux anneaux avec Neptune. Cela devrait se poursuivre… De surcroît, Saturne achève sa fin de cycle négative avec Neptune prochainement en février prochain : cela devrait lever les dernières inquiétudes assez rapidement.
En résumé, les valorisations boursières actuelles ne nous semblent pas exagérées. De surcroît, nous ne sommes qu’aux premiers balbutiements de cette nouvelle révolution industrielle, probablement entraînée par l’IA et aussi l’énergie nucléaire !
A voir et écouter sur YouTube :
Carte du ciel de l’opposition négative Mars-Uranus du 4 novembre 2025
