Une révolution nucléaire est en marche : la planète Pluton, qui régit cette énergie, est mise en vedette pour plus de dix années et elle nous promet des progrès déterminants. La fusion nucléaire est peut-être ou même sans doute à portée de main…
La production d’électricité par le biais de l’énergie nucléaire s’impose partout. En 1960, les centrales civiles ne produisaient qu’ 1 gigawatt à l’échelle de la planète. On arrivait à 300 gigawatts à la fin des années 1980, 366 en 2005 et 377 en 2025. A présent, on vise les 650 gigawatts à l’horizon 2050, soit presqu’un doublement de la production actuelle. C’est colossal…
Le nucléaire, civil comme militaire, dépend de Pluton. Si ses relations majeures avec les autres planètes sont positives, l’énergie nucléaire se développe et la technologie s’améliore; si les relations sont au contraire mauvaises, la production comme la technologie nucléaire stagne et les critiques pleuvent. En l’occurrence, les relations de Saturne, Uranus et Neptune vis à vis de Pluton sont déterminantes.
Le nucléaire civil a connu son essor dans les années 1960, grâce à la révolution technologique apportée par la superbe et si favorable conjonction d’Uranus à Pluton. De surcroît, Neptune était en parfaite symbiose avec Pluton. Cette décennie a constitué les débuts d’une révolution industrielle et humaine sans équivalent historique auparavant…
Un conflit provoqué par Uranus au milieu des années 1980 a coïncidé avec le drame de Tchernobyl en Ukraine, suivant l’incident limité de Three Mile Island aux Etats-Unis sous la pression conjuguée de Jupiter et Saturne en 1979. Une autre anicroche de Jupiter, Saturne et Uranus à Pluton dans les années 2010 a vu un autre accident nucléaire notable à Fukushima au Japon.
L’idéologie écologiste, toujours en pointe pour refuser le progrès et vanter les soi-disant mérites de l’âge de pierre, s’est servie de ces accidents nucléaires pour semer la terreur et manipuler l’opinion contre le nucléaire. Les prophètes d’apocalypse impressionnent toujours, car ils surfent sur les angoisses naturelles des populations et les amplifient.
L’escrologie a donc partiellement réussi à démolir la belle révolution nucléaire issue des années 1960. Il en est finalement résulté l’abandon de la construction de nombreuses centrales dans les années 1990 et 2000. A cause de cette idéologie rétrograde et de la couardise des politiciens, le parc des centrales a peu augmenté de la fin de la décennie des années 1980 à aujourd’hui, passant seulement d’une production de 300 à 377 gigawatts, soit une hausse de seulement 20% environ en 35 ans !
Au cours de la décennie 2010, le wokisme écologiste a tenu le haut du pavé et son intégrisme tyrannique a conduit à bloquer le développement de l’industrie nucléaire. La présidence si clientéliste de François Hollande en France sur la fin de la décennie 2010 a encouragé cet intégrisme écologiste gauchiste : cela a conduit à l’abandon des recherches utiles d’intérêt général et la mise en route de projets technologiques qui étaient prévus. Il en est résulté un grand retard industriel français…
Heureusement, la roue tourne et Pluton n’avait pas dit son dernier mot. En dépit de l’idéologie mortifère écologiste, la recherche d’une énergie sûre, abondante et bon marché a poussé la recherche mondiale et incité à la mise en route de multiples projets de centrales civiles. Les hideux moulins à vent écolos que sont les éoliennes n’ont pas fait le poids bien longtemps…
Il est vrai qu’en 2020, Pluton a reçu la conjonction majeure et constructive de Saturne… A présent, on est déjà sous l’influence supplémentaire et bien plus déterminante d’Uranus et Neptune qui mettent en valeur Pluton. On en voit déjà le résultat dès à présent, les projets de construction de centrales nucléaires foisonnant à travers toute notre petite planète bleue !
En juillet 2026, ce sera symbolique, certes, mais nous assisterons à la plus belle réunion planétaire qui soit et reliant positivement Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune à notre ami Pluton. La relation majeure d’Uranus et Neptune à Pluton s’étendra ensuite pendant plusieurs années pour Uranus et une décennie entière pour Neptune. C’est le gage d’une nouvelle révolution nucléaire en cours !
Cette révolution a en fait déjà débuté : les centrales sont plus performantes industriellement, plus sûres en matière de sécurité et avec des déchets radioactifs devenus presque inexistants car réutilisés dans la centrale elle-même. C’est un premier grand pas en avant, notamment avec les nouvelles centrales EPR.
Mais ce n’est probablement pas fini. Loin de là… On peut envisager aussi et surtout d’aboutir sur les 10 ans à venir à la maîtrise de la fusion nucléaire, qui pourrait alors remplacer la fission actuelle. Cela reviendrait à une production d’énergie quasiment infinie, d’une totale sécurité, sans aucun déchet et pour un prix quasiment dérisoire.
Des progrès dans la recherche sur la fusion nucléaire ont déjà été enregistrés ces dernières années et notamment en 2025. Pour le moment, c’est encore insuffisant pour arriver à maîtriser une technologie de production. Mais pas à pas, des progrès sont faits et, à un moment ou à un autre, il apparaît de plus en plus probable que cette immense révolution technologique deviendra réalité.
Cela impliquera pour les décennies à venir une utilisation quotidienne de l’énergie nucléaire dans la vie humaine : pour produire de l’électricité à très bas coût bien sûr, mais aussi par le biais de petite piles atomiques pour le chauffage ou la climatisation individuelle, la propulsion des automobiles, trains, avions, bateaux et fusées, etc.
Tout deviendra nucléaire. Quand on sait que l’activité industrielle dépend étroitement de l’énergie et de son coût, on peut facilement imaginer l’explosion de croissance économique que cela représenterait… Cela permettrait aussi de financer de nouveaux progrès sociaux.
Pluton prépare cette révolution titanesque. On pourrait déjà commencer à s’en convaincre dès l’été 2026 !
Voir et écouter sur YouTube :
Carte du ciel des sextiles positifs de 60° d’Uranus, de Saturne et de Neptune à Pluton vers le 15 juillet 2025 :
