La « concentration planétaire » actuelle (2020-2024) mène à l’aggravation de situations déjà dramatiques. Cet hiver, nous atteignons, comme l’an dernier avec l’invasion de l’Ukraine, le degré maximal de ce si mauvais phénomène qui pousse au repli sur soi, aux conflits et aux guerres, au nationalisme guerrier et aux récessions économiques comme à la pauvreté.
Les planètes qui ont le plus d’importance pour notre vie de Terriens sont celles dites « lentes » : Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton. Elles sont concentrées sur un arc de cercle qui est limité à 110° sur 360°. Durant cette mauvaise période, on a d’abord eu le Covid-19, la pandémie la plus meurtrière depuis la grippe espagnole de 1918 à 1920. Puis on a eu l’invasion de l’Ukraine à partir d’un conflit Jupiter-Pluton, mais de surcroît avec le déchaînement d’une sanglante barbarie russe contre les civils, les infrastructures essentielles, les habitations, etc.
L’an dernier, le mois de février offrait le degré maximal de concentration planétaire de toute l’année 2022. Outre les planètes « lentes », les astres ou autres planètes dites « rapides » (Le Soleil, Mercure, Vénus et Mars) se situaient également à l’intérieur du même arc de cercle. Même la Lune y a séjourné une dizaine de jours d’affilée du 27 février au 7 mars.
Cette année, la situation est presque identique sur ce mois de février, la Lune entrant elle-même à l’intérieur de cet orbe concentré du 18 au 25 février. Il y a quand même une petite différence, bien visible sur notre graphique ci-dessous : Mars s’est échappé de cette concentration après avoir dépassé Uranus en Taureau et être même désormais dans les Gémeaux. En théorie, cela détend donc un peu cette bien mauvaise situation.
On sait en tout cas que la Russie a lancé sur tout le front une vaste offensive militaire, qui est déjà une boucherie épouvantable. Le monstre du Kremlin fait maladivement très attention à sa petite santé personnelle, notamment pendant le Covid en ne voyant plus personne; mais il n’a cure de celle des autres et envoie contre l’armée ukrainienne des soldats non formés comme simple chair à canon, afin de submerger par le nombre les tranchées adverses.
Des dizaines de milliers de soldats russes, également ukrainiens bien sûr, périssent ainsi massivement depuis quelques semaines à cause de l’esprit criminel du boucher du Kremlin. Combien encore sur les prochaines semaines ?
Assurément, c’est déjà à notre avis l’une des conséquences les plus visibles de cette concentration planétaire maximale durant cet hiver et notamment sur ce mois de février. Il peut cependant y avoir d’autres drames, tant le seul génie de Vladimir Poutine n’est que pervers, vicieux, sinistre et mortel. On pense notamment à ses chantages démoniaques en matière nucléaire, civil ou militaire. Des armes chimiques ne sont pas non plus à exclure.
Pour conclure, la Russie marque actuellement des points sur le terrain. Elle profite de l’élan donné par Saturne et Neptune, les deux planètes les plus influentes pour la Russie : elles ont achevé début janvier dernier un petit et rapide passage positif dans un contexte toutefois négatif de fin de cycle jusqu’en 2026.
Par ailleurs, on peut penser que l’Ukraine dépend surtout pour sa part d’Uranus et Neptune qui sont en relation très positive depuis l’été dernier et jusqu’en 2025. Sur la première quinzaine du prochain mois de mars, ce cycle positif pourrait être mis en valeur, comme il l’a été l’été dernier avec les succès ukrainiens dans le Donbass à l’est et début novembre ensuite avec la reprise de Kherson au sud. Si c’est bien le cas, il est alors possible que l’offensive russe tourne mal pour le Kremlin d’ici quelques semaines. L’hypothèse est évidemment bien fragile mais, si elle se concrétise, ce ne serait que justice.
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Carte du ciel de la Nouvelle Lune du 20 février 2023 :