La concentration planétaire actuelle plaide en faveur de tensions internationales, de conflits armés et de guerres. De la bande de Gaza à l’Ukraine ou l’Arménie, nous sommes servis. Mais cela n’implique pas un dérapage généralisé et une nouvelle guerre mondiale : les tensions ne sont pas assez puissantes pour cela…
Commentateurs ou politiciens agitent pourtant cette menace et Emmanuel Macron continue à gesticuler verbalement contre la Russie. Le président français est irresponsable et il cherche à dramatiser la situation de l’ensemble de l’Europe… à deux mois des élections européennes ! La ficelle est bien grossière, mais nombre de petits esprits sans grande capacité de réflexion ou d’analyse se sont engouffrés derrière le président pour faire parler d’eux, vendre du papier ou développer des analyses saugrenues.
La concentration planétaire actuelle pousse donc aux guerres localisées. Cela avait été notamment le cas dans une situation planétaire similaire pendant la décennie 1990 avec les différentes guerres dans l’ex-Yougoslavie. Cela avait aussi été le cas à la fin de la décennie 1970 et au début de la suivante : invasion russe de l’Afghanistan, guerre Iran-Irak, guerre des Malouines et guerre d’Israël contre les menées terroristes du Hezbollah pro-iranien au Liban sud.
Il n’est pas étonnant de voir s’agiter certains spectres guerriers en ce moment. Outre les planètes lentes (de Jupiter à Pluton) qui sont réunies sur un arc de cercle étroit de seulement 110°, les planètes ou corps célestes dits rapides (du Soleil à Mars) sont également présents depuis le début février à l’intérieur de cet étroit arc de cercle. Cela implique une tension planétaire maximale, qui va perdurer jusque vers la mi-mai.
Cette mauvaise situation astrale peut évidemment entraîner d’autres conflits armés, coups d’État ou guerres sur les deux mois à venir. On connaît bien tous les sujets de tensions autour du globe terrestre… Mais cela ne permet pas pour autant d’envisager une guerre mondiale.
En effet, pour réunir les conditions d’un conflit mondial, il faut bien d’autres éléments négatifs de première importance. En particulier un conflit entre Uranus et Pluton, cette seconde planète étant la principale responsable des guerres quand elle est agressée par d’autres planètes lentes. On avait connu une telle situation au début des guerres napoléoniennes comme juste avant la première guerre mondiale qui, de surcroît, avait également vu un conflit majeur entre Uranus et Neptune.
La seconde guerre mondiale, de son côté, se situait dans la logique des conflits majeurs antérieurs entre Uranus et Pluton comme Neptune (oppositions de 180°). Par ailleurs, en 1939, on avait pu assister à une concentration planétaire et, surtout, à une décroissance négative de 9 des 10 cycles possibles entre planètes lentes. Hormis le cycle entre Neptune et Pluton qui demeurait positif car croissant, tous les autres entre Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton étaient décroissants et par conséquent destructeurs.
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Carte du ciel de la concentration planétaire actuelle au vendredi 15 mars :