Nous avons évoqué une possible charnière en avril dernier, qui aurait pu mettre fin à la pandémie de Covid-19 de façon naturelle ou avec de nouveaux traitements ou vaccins. Cette charnière n’a évidemment pas fonctionné, puisque nous en sommes à une septième vague de la pandémie avec actuellement plus de 1,2 millions de nouveaux cas et environ 2 500 décès par jour dans le monde.
Pour appréhender notre possible charnière d’avril dernier, nous nous étions basés sur deux éléments : la dilution de la confrontation Uranus-Neptune à partir du printemps dernier et surtout de cet été; et une conjonction Jupiter-Neptune à la mi-avril.
En effet, les pandémies virales ont toujours lieu en présence d’une confrontation Uranus/Neptune et lors de l’approche très négative d’une conjonction Jupiter/Neptune. Une fois cette dernière conjonction effectuée, le cas le plus fréquent est la fin de la pandémie, progressivement et souvent très rapidement.
Pour Uranus et Neptune, la dilution de leur conflit depuis 2017 dès le printemps dernier est incontestable. Le problème ne peut donc pas venir de ce mauvais tandem de 2017 au printemps dernier ».
On peut en revanche remarquer qu’il y a bien eu une conjonction Jupiter-Neptune en avril dernier, mais que Jupiter ne s’éloigne pas franchement de Neptune car la planète est au bord de sa « rétrogradation annuelle » qui débutera le 28 juillet prochain. Autrement dit, Jupiter ne se situe actuellement que 10 à 11° devant Neptune, ce qui représente un écart angulaire très faible. Et cela n’augmentera pas d’ici la fin du mois.
Sur les mois à venir, comme Jupiter, vu de la Terre, va sembler « reculer » en arrière dans l’espace, l’orbe avec Neptune atteindra un minima de 6/7° degrés seulement en décembre prochain. Fin janvier 2023, l’écart progressera en revanche de plus en plus rapidement et atteindra alors 12°, c’est à dire davantage que depuis le mois d’avril dernier. Et en juin 2023, on sera à 36° d’orbe pour donner une idée de la rapidité de la course de Jupiter, alors que depuis avril dernier il y a presque stagnation entre 0 et 10° en caricaturant à peine.
Il est bien possible que la poursuite de la pandémie dépende de ce facteur, c’est à dire de la lenteur de déplacement actuelle de Jupiter. Certes, la conjonction de 0° avec Neptune a eu lieu en avril dernier. Mais Jupiter avance lentement et n’a guère réussi à dépasser 10° d’orbe avec Neptune.
On peut donc considérer, peut-être… que la conjonction a bien eu lieu, mais qu’elle n’a pas pu produire ses effets, ou du moins ses effets complets.
Admettons qu’une telle hypothèse soit valide. Dans ce cas, il y aurait une autre charnière devant nous à l’automne/hiver prochains, entre novembre/décembre et mars/avril 2023 pour prendre une certaine plage de temps et donc le recul nécessaire. Le virus pourrait alors disparaître à ce moment-là de façon naturelle ou par le biais de nouveaux vaccins ou traitements vraiment efficaces.
Ce qui est étonnant avec ce virus, c’est qu’il a provoqué une pandémie qui dure depuis 2 ans et demi déjà et on va vers 3 années à l’automne prochain. Or, tous les autres grands virus ont provoqué des pandémies de plus courte durée, n’excédant pas selon les chiffres disponibles 2 années seulement. Le plus dramatique, celui de la grippe espagnole, est par exemple répertorié du printemps 1918 à celui de 1920. Mais avec la durée exceptionnelle du Covid-19, on peut aussi y voir l’effet de la « concentration planétaire » actuelle depuis 2020 et jusqu’en 2024 : elle a « tendance » à aggraver et amplifier tous les problèmes qui apparaissent, que ce soit le Covid, l’inflation ou l’invasion sanglante de l’Ukraine.
En tout cas, dans l’immédiat, il y a incontestablement une septième vague de contaminations et les décès sont par ailleurs en hausse légère. Ces derniers peuvent s’accentuer, en fonction de la progression des contaminations, puis des hospitalisations et des soins critiques, enfin des décès. Il reste cependant à voir ce dernier facteur, car les variants d’Omicron sont visiblement un peu moins agressifs que les précédentes souches. Le virus pourrait peut-être devenir de plus en plus bénin au fil des semaines et des mois, mais pour le moment on observe quand même une hausse des décès dans le monde depuis la mi-juin.
En tout cas, la piste d’un retard à la détente des effets ou de certains des effets de cette conjonction Jupiter-Neptune d’avril dernier nous semble au plan astrologique mériter d’être prise en compte. A tort ou à raison, on verra bien la suite mais nous allons suivre avec attention cette hypothèse intéressante avec les derniers variants du Covid-19…
Carte du ciel montrant les 3 planètes responsables du Covid : Jupiter, Uranus et Neptune. On voit notamment que Jupiter est toujours très proche de Neptune, alors que leur conjonction de 0° a eu lieu il y a déjà 3 mois le 12 avril dernier.