En moins de trois mois les marchés d’actions se sont littéralement effondrés, perdant des deux côtés de l’Atlantique environ 20%. Uranus et Neptune sont à l’oeuvre… Ces deux planètes forment en effet un demi-carré négatif de 45°, qui a commencé à s’installer lentement en 2017 et ne disparaîtra qu’à partir de 2020.
La dernière fois qu’Uranus et Neptune ont formé le même mauvaise angle géométrique, ce fut de l’automne 1972 jusqu’à la fin 1974. Au début, cela se passa en Bourse comme jusqu’à l’automne dernier : les marchés ont continué une modeste progression. Mais dés le printemps 1973, la dégringolade à commencé et, sur fond de ralentissement économique et de krach pétrolier, la chute s’est poursuivi sans répit jusqu’à la fin 1974. Au total, les indices boursiers occidentaux ont globalement perdu 50% de leur valeur…
On peut donc se dire, pour le moment, qu’un repli de 20% des indices boursiers n’est donc pas si méchant que cela. La baisse peut être plus importante d’ici un peu plus d’un an et notamment l’hiver 2020 avec le dernier demi-carré Uranus-Neptune.
Sur le fond, un mauvais Neptune se traduit notamment par le dégonflement de tout ce qui a exagérément enflé. C’est bien le cas de Wall Street, qui a connu un emballement spéculatif depuis près de 10 ans en raison de la politique de planche à billets de la Réserve fédérale. D’ailleurs, la baisse vient du marché américains et elle est d’autant plus brutale qu’Uranus est la planète la plus violente du zodiaque dans ses effets.
Au plan économique, Neptune concerne la consommation des ménages sous ses différentes formes. Or, la guerre commerciale lancée par Donald Trump commence à renchérir le prix de certains produits de consommation courante. Par ailleurs, Neptune concerne l’inflation et les taux d’intérêts. Et on constate le redémarrage de l’inflation depuis un peu plus d’un an, tandis que les taux ont commencé à relever la tête aux Etats-Unis en raison de la nouvelle politique de la banque centrale.
Le pétrole a lui aussi commencé à progresser, même s’il est en train de finir l’année par un mouvement de baisse sensible depuis deux mois. Mais il peut se reprendre prochainement, puisque Neptune concerne aussi tous les liquides dont fait évidemment partie le pétrole.
Sur d’autres plans, on observe historiquement qu’un mauvais Neptune agressé par Uranus a tendance à faire flamber le prix des matières premières agricoles. De mauvaises récoltes en sont souvent à l’origine… On le constate sur l’indice CRB qui a sensiblement progressé depuis l’été dernier. Cela mène aussi dans certains pays peu développés à des famines, qui viennent d’ailleurs de conduire à des émeutes au Soudan.
Neptune concernant également les flots, on ne s’étonnera pas davantage des inondations en Europe et notamment en France à l’automne dernier ou du tsunami qui vient de sinistrer l’Indonésie.
Au plan politique, un choc Uranus-Neptune stimule l’extrême-gauche, voire des mouvements de nature assez anarchiste ou libertaire. Un des meilleurs exemple est actuellement fourni par le mouvement des Gilets Jaunes en France… En règle générale, ce genre de contestation n’aboutit que provisoirement à certains succès. Puis cela conduit à des excès qui mènent ce genre de mouvement à l’échec, souvent en raison de la répression qui les frappe quand ils commencent à se marginaliser.
Enfin, Neptune concerne aussi ce que l’on a qualifié d’islamo-gauchisme et qui mène à des attentats islamistes souvent mal préparés, individuels ou répondant à des motivations assez floues. Le récent attentat de Strasbourg est probablement une parfaite illustration du genre de crimes islamistes à redouter dans la période actuelle.
Carte du ciel du dernier demi-carré Uranus-Neptune le 15 décembre 2018