Le grand choc planétaire entre les planètes Uranus et Pluton (carré de 90°) fait de plus en plus sentir ses répercussions. Un vent de panique a même soufflé sur les marchés d’actions ces dernières semaines et les indices boursiers ont lourdement chuté en raison des maigres perspectives économiques mondiales.
De notre point de vue, nous sommes entrés depuis le printemps dernier dans une nouvelle phase de la grande crise économique qui a débuté en 2007 et ne devrait s’achever qu’en 2020. Cette nouvelle phase, compte tenu des planètes Uranus et Pluton qui la provoquent et représentent un cycle de plusieurs années, devrait probablement être profonde, brutale, surprenante et même violente. Le mini krach qui a secoué les bourses d’actions ces dernières semaines en donne un premier petit aperçu…
Ce grand conflit planétaire, en tout cas, constitue un puissant frein pour la croissance mondiale et risque même de mener à des récessions dans les pays industrialisés. La zone euro est déjà au bord d’un tel gouffre. Sans parler de la France qui ne connaît quasiment aucune croissance depuis 2008, et ne fait que développer un chômage de masse en raison de l’effondrement de son économie plombée par l’hyperfiscalisme.
En général, un choc Uranus-Pluton conduit également à la hausse des taux d’intérêts et pousse les pays mal gérés dans la voie de la faillite. Le risque paraît donc élevé de voir la crise mondiale de la dette resurgir brutalement et même d’affecter des pays jusqu’ici épargnés comme les Etats-Unis, la France ou la Belgique. Nul doute que, si les taux d’intérêts français progressaient notablement par exemple, la faillite du pays ne menace très vite…
Il y a encore d’autres conséquences à une telle querelle astrale… Cela conduit les pays (comme les individus d’ailleurs) à se replier sur eux-mêmes, ce qui engendre des guerres commerciales et une poussée de protectionnisme qui est également préjudiciable à la croissance mondiale. Il s’agit également d’un facteur de guerres ou de conflits militaires, dont l’Ukraine, la bande de Gaza et la Syrie comme l’Irak donnent déjà de premiers exemples. En favorisant aussi les aspects les plus barbares et cruels de l’individu (un mauvais Pluton essentiellement), on aboutit aussi aux horreurs commises par Daech et à de nouvelles menaces du terrorisme islamiste sous ses différentes formes.
Nous sommes donc entrés dans cette nouvelle période, qui n’a rien de spécialement enthousiasmante et dont les effets les plus directs devraient au moins durer jusqu’à l’année 2016. Bien sûr, les bourses d’actions risquent fort de s’effondrer à répétition…
Pour ne rien arranger, Saturne va venir aiguiser un peu plus ce duel au sommet entre Uranus et Pluton. D’abord au mois de novembre en agressant Pluton (demi-carré de 45°) puis Uranus en décembre (sesqui-carré de 135°). Cela devrait constituer un moteur de destruction supplémentaire et, probablement, faire prendre conscience de façon très large que la crise n’est pas finie et même qu’elle acquiert de nouvelles proportions très inquiétantes. Surtout pour les pays les plus fragiles, au rang desquels on peut bien entendu placer la France.
Par ailleurs, la mauvaise posture saturnienne vis à vis de Pluton constitue toujours un facteur de lourdes tensions au Proche-Orient. Toutes les guerres subies ou engagées par Israël ont eu lieu en présence d’une telle situation depuis 1947… On peut donc de surcroît redouter un conflit très large qui impliquera Israël, les raisons pouvant être nombreuses et le nucléaire iranien peut-être concerné, que ce soit dés cette fin 2014 ou l’année prochaine.
C’est donc une nouvelle période très dure qui s’est ouverte depuis le printemps dernier et les premières mauvaises nouvelles, aussi bien économiques qu’internationales. Avec Uranus et Pluton aux commandes, on peut se dire, en fait, que la période peut se résumer par : bienvenue en enfer !
Le 18 octobre 2014
Demi-carré Saturne-Pluton du 27 novembre 2014