Le conflit entre Jupiter et Pluton a correspondu à de sérieux affrontements au Kosovo, à l’intensification des bombardements contre l’Ukraine et notamment sa capitale Kiev, à des menaces concernant la centrale nucléaire de Zaporijjia et enfin à des gesticulations irresponsables du dictateur de Biélorussie sur l’accès de différents pays à l’armement nucléaire russe.
Cependant, il n’y a pas eu de nouvelle guerre, d’utilisation d’une arme nucléaire ou de nouveaux drames de nature militaire qualitativement différents de ceux que l’on connaissait déjà. Cette période menaçante est en train de passer, mais il reste encore un dernier épisode possible de tensions supplémentaires.
Notre graphique ci-dessous représente la Pleine Lune dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 juin. Elle n’est pas belle, car on voit aux traits rouges que Vénus et le Soleil sont en confrontation avec Pluton et Jupiter. Avec Pluton, le choc planétaire sera exact les lundi 5 et mardi 6 juin, puis avec Jupiter le dimanche 11 juin.
Ce ne sera donc qu’après le dimanche 11 juin, que l’on pourra se dire que la confrontation entre Jupiter et Pluton ne peut plus nuire. D’ici là, il reste un doute, même si le choc entre ces deux planètes se dissipe lentement depuis son passage exact.
Rappelons simplement qu’une telle confrontation entre ces deux planètes pousse souvent à des guerres, des conflits armés et des drames liés au nucléaire civil ou militaire. Essentiellement quand il y a un phénomène de concentration des planètes « lourdes » ou « lentes », comme c’est le cas actuellement : de Jupiter à Pluton la bande zodiacale occupée n’est que de 109 sur 360°. Cela favorise en effet une série de tensions possibles, notamment dans le domaine militaire.
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Carte du ciel de la Pleine Lune du dimanche 4 juin au petit matin :