Le variant Omicron déferle et il menace de submerger tous les systèmes de santé modernes au cours des prochaines semaines. C’est probablement le dernier assaut de la confrontation entre Uranus et Neptune (demi-carré négatif de 45° depuis l’été 2017) : cette relation planétaire négative se renforce à nouveau actuellement, mais elle va se dissiper complètement à partir du printemps prochain.
Par ailleurs, Jupiter va former sa conjonction si positive à Neptune en avril prochain, ce qui peut également permettre de se débarrasser de ce virus, d’une façon ou d’une autre. En effet, c’est un mauvais Neptune qui provoque les pandémies… Et la situation est d’autant plus problématique à l’approche d’une conjonction de Jupiter, c’est à dire la fin du cycle Jupiter-Neptune, et en présence en même temps d’un choc Uranus-Neptune.
L’approche toujours négative d’une conjonction de Jupiter à Neptune, qui se rajoute à une agression d’Uranus, se retrouve dans quasiment toutes les épidémies importantes. C’est notamment le cas de la grippe russe (1889-1894), de la grippe espagnole (1918-1921), de la grippe asiatique (1956-1958) ou de Hong Kong (1968-1970), c’est à dire des trois dernières pandémies importantes.
Dans les cas de la grippe russe, espagnole et asiatique, ces trois pandémies se sont précisément achevées à un mois près sur les conjonctions Jupiter-Neptune de 1894, 1920 ou 1958. Dans le cas de la grippe de Hong Kong, le virus a cessé de circuler un peu plus tôt, au printemps 1970 alors que la conjonction n’a eu lieu que 10 mois plus tard en janvier 1971.
Avec la conjonction Jupiter-Neptune d’avril prochain et la disparition à peine un peu plus tard de la confrontation Uranus-Neptune, il y a donc un sérieux espoir de voir la pandémie de coronavirus s’achever. Que ce soit par la disparition subite et naturelle du virus, par la vaccination ou un traitement. D’ici là, bien sûr, il va falloir supporter le variant Omicron, le plus contagieux de tous jusqu’ici.
Certes, beaucoup de virologues estiment que le virus ne disparaîtra pas et qu’il faudra continuer à le subir sur les années à venir. C’est possible. Mais il existe en tout cas un espoir assez puissant de le voir ne plus poser de problème à partir du printemps ou de l’été prochain. Il s’agit en tout cas d’une charnière potentielle importante et on verra bien comment le virus s’y comporte et s’il disparaît totalement ou non…
L’économie à nouveau contaminée ?
Dans l’immédiat, il va falloir subir la déferlante de ce variant et on risque fort d’aboutir à une tragédie sanitaire. On peut aussi se demander comment les économies mondiales vont supporter cette nouvelle épreuve, qui entraîne déjà de nouveaux confinements et la fermeture de certains secteurs d’activité dans un nombre croissant de pays.
Au plan économique, la situation est en effet problématique astralement, notamment à cause d’un autre conflit planétaire, cette fois entre Saturne et Uranus (carré négatif de 90° qui va être une nouvelle fois exact le 24 décembre). Or, cette mauvaise configuration pousse à un ralentissement de la croissance et à une hausse des taux d’intérêts, frappant notamment l’économie américaine qui est très sensible à ce cycle planétaire. L’Europe suit évidemment assez rapidement… En tout cas, le plan Biden de soutien à l’activité par le biais de dépenses sociales record pourrait bien ne pas être adopté au Congrès américain.
Les nouvelles mesures contraignantes ou de confinement risquent évidemment de provoquer un nouveau ralentissement de la croissance, même si l’on peut douter d’une nouvelle récession généralisée. Mais on voit déjà que l’inflation s’est envolée, là aussi à cause du mauvais Neptune actuel. Il subit en ce moment la fin de l’agression d’Uranus mais, lors du dernier choc inflationniste et notamment des records du baril de pétrole en 2007 à 150 $ dollar le baril, c’était une opposition de Saturne qui en était responsable.
En conséquence, les prix flambent aux Etats-Unis avec une inflation désormais à 6,8%. Cela impose aux banques centrales américaine comme européenne de réduire leur soutien aux marchés obligataires. Or, ce sont les taux d’intérêts à zéro qui ont provoqué cette inflation…
La période est évidemment mal choisie avec ce nouveau variant. Les taux vont donc augmenter au moment où il aurait fallu prendre de nouvelles mesures de soutien à l’économie. Mais l’inflation désormais quasiment hors de tout contrôle (19% de hausse en un mois sur les prix à la production en Allemagne !) impose des politiques monétaires plus rigoureuses et donc une remontée des taux d’intérêts directeurs. Il y a clairement un mouvement de panique des banques centrales, qui ont lourdement sous-estimé l’inflation depuis plusieurs mois. Elles courent désormais derrière l’inflation pour tenter de la contenir.
En résumé, on va avoir à la fois les hausses de taux et la baisse de la croissance. Il n’est cependant pas certain que cela soit trop dramatique. Une nouvelle récession mondiale paraît douteuse.
D’abord, le choc entre Uranus et Neptune va se dissiper à partir du printemps prochain, même si certains problèmes peuvent perdurer. L’inflation devrait se calmer au moins partiellement ensuite. Par ailleurs, la récession de 2007-2008 avait été notamment provoquée par une opposition Saturne-Uranus de 180°, la plus mauvaise configuration possible. Cette année et en 2022, nous n’aurons affaire qu’à un carré de 90°. C’est certes assez malheureux, mais une telle boucle cyclique ne mène généralement pas à des récessions et seulement à une baisse de régime des économies de la planète. C’est déjà le cas en Chine…
Vers l’effondrement du wokisme ?
Enfin, la mauvaise relation actuelle entre Uranus et Neptune concerne également les extrêmes de gauche sous leurs différentes formes. Comme elle va s’achever à partir du printemps prochain, on peut donc en déduire logiquement que toutes les théories gauchistes actuelles les plus farfelues vont subir assez vite la même évolution. Le wokisme sectaire, la cancel culture ou la réécriture de l’histoire, le déboulonnage imbécile de statues historiques, l’illisible écriture inclusive : tout cela devrait disparaître !
Lors de la dernière confrontation entre Uranus et Neptune, au plan politique, on a eu une montée de l’extrême gauche maoïste ou trotskyste partout dans le monde. Cela n’a pas duré bien longtemps. Le plus spectaculaire a été la révolution culturelle chinoise et le mouvement criminel des gardes rouges. Cela s’est développé à la fin des années 1960, mais Mao lui-même y a mis un terme devant tant d’excès et le mouvement a disparu au milieu des années 1970. De la même façon, les fantasques communautés hippies n’ont pas davantage survécu et se sont évanouies dans la nature… C’est à dire lorsque la confrontation entre Uranus et Neptune s’était elle-même achevée…
Carte du ciel le lundi 20 décembre 2021