Une pandémie peu probable

La Mpox ou « variole du singe » a fort peu de chances de s’étendre véritablement et de devenir une pandémie. Neptune, le creuset de tous les virus, est plutôt en bonne forme et n’est plus du tout nécrosé comme lors du Covid de 2020 à 2022.

Un mauvais Neptune peut conduire à une pandémie. On remarque ainsi que les plus graves pandémies ont toutes suivi le même cheminement astral. Ce fut notamment le cas pour la peste noire qui a commencé au milieu du XIVème siècle, de la grippe russe en 1889-1890, de la grippe espagnole en 1918-1920, de la grippe asiatique de 1956 à 1958, de la grippe de Hong Kong de 1968 à 1970 et récemment du Covid de 2020 à 2022.

Pour aboutir à une pandémie, on a toujours eu en premier lieu un conflit entre Uranus et Neptune. Pour le Covid, il s’agissait d’un demi-carré négatif de 45° entre les deux planètes.

Mais cela n’est pas suffisant pour autant… Il faut également que Jupiter se mette de la partie et pas n’importe comment : il convient que Jupiter soit en fin de cycle avec Neptune, par conséquent juste avant un nouveau départ par le biais d’une conjonction de 0°, celles-ci se produisant tous les 13 ans environ. Dans un tel cas de figure, on peut considérer que Jupiter est négatif pendant les deux années précédant son nouveau cycle avec Neptune. C’est bien ce qui s’est à nouveau produit avec le Covid à partir de la fin 2019 en Chine, tandis que Jupiter achevait une fin de cycle négative avec Neptune jusqu’à son renouvellement positif au printemps 2022.

Heureusement, de telles conditions sont assez sévères et par conséquent rarement réunies : il faut donc une confrontation directe d’Uranus à Neptune et, en même temps, les deux dernières années de la fin d’un cycle de Jupiter à Neptune.

Actuellement, nous n’avons rien de tel. Uranus n’est plus en conflit avec Neptune et, au contraire, il a formé ces derniers mois une configuration positive képlérienne de 54°. De son côté, Jupiter a également été en harmonie avec Neptune récemment par le biais d’un angle positif de 120°.

En résumé, les conditions pour une pandémie virale à l’échelle mondiale ne sont pas réunies.

Cela n’empêche évidemment pas des épidémies de se répandre ici ou là et de façon localisée. C’est le cas des affections subies par les troupeaux ovins en ce moment en Europe et notamment en France, de même que celle de la variole du singe en Afrique qui a déjà fait plus de 500 morts.

On peut d’ailleurs remarquer que Saturne est en fin de cycle avec Neptune, ce qui n’est évidemment pas une configuration positive. Saturne ne renouvellera son cycle qu’en janvier 2026 et cela peut donc favoriser différents virus.

Cependant, la nature austère et sèche de Saturne ne prédispose pas cette planète à provoquer des explosions de contaminations virales et donc des pandémies. Tout au plus, on peut observer le développement de quelques épidémies localisées et d’ampleur limitée sous pareille influence. Comme pour la grippe aviaire en 2007 ou pour la « variole du singe » actuellement et à ce stade…

Cela n’empêche pourtant pas les bureaucraties internationales comme l’OMS d’avoir déclenché l’alerte maximale, alors qu’elle avait estimé sans danger le Covid lors de son apparition et de ses premiers développements inquiétants en Chine début 2020…

Parallèlement, la « mauvaise presse » a tiré toutes les sonnettes d’alarmes possibles, une tentative habituelle pour effrayer les populations et améliorer ses recettes publicitaires. En France, le gouvernement démissionnaire a même été jusqu’à ouvrir près de 250 centres de vaccination. Pourtant, aucun cas de « variole du singe » n’a été décelé en France et un seul en Suède. Bien sûr, il va y en avoir d’autres. Mais de là à affoler les populations européennes et les menacer de subir un nouveau Covid avec des restrictions de libertés supplémentaires, il y a un pas énorme que même le plus bête des politiciens ne devrait jamais franchir !

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Carte du ciel le samedi 24 août août 2024 :

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