Une contestation politique mondiale

La liste est impressionnantes des pays où se déroulent en ce moment des manifestations populaires de masse : Chili, Equateur, Liban, Bolivie, Hong-Kong, Irak, Ethiopie, Catalogne espagnole, Argentine, Algérie, Gilets Jaunes en France…

La plupart d’entre elles ont en commun de réclamer le départ de gouvernements corrompus et d’exiger une meilleure justice sociale.

Cela se produit au moment d’une confrontation Uranus-Neptune (demi-carré de 45°), qui est apparue pendant l’été 2017 et va se développer globalement jusqu’au printemps ou l’été 2020.

Une telle configuration n’est cependant pas très heureuse. Elle provoque souvent des mouvements de type gauchistes, qui ne mènent à rien de positif et sont le plus souvent sévèrement réprimés ensuite. A titre d’exemples, le plus récent est certainement celui des Gilets Jaunes en France… Un peu plus loin dans le passé, on peut remonter aux années 1970 (également un demi-carré négatif de 45°) entre Uranus et Neptune : cela avait mené à toutes les entreprises gauchistes et utopistes de cette décennie, y compris le mouvement pacifiste hippie; de façon plus tragique, cela avait aussi conduit aux désordres gauchistes dans le Chili du socialiste Allende et à la sanglante dictature de Pinochet au bout du compte.

Dans d’autres circonstances, une confrontation Uranus-Neptune mène à des contestations de masse qui sont parfaitement légitimes. Mais sous de pareilles circonstances planétaires, les revendications ne parviennent pas à obtenir satisfaction et la répression fait finalement taire les contestataires.

En la matière, les exemples sont encore plus nombreux. Citons pêle-mêle l’écrasement par les chars soviétiques de l’insurrection hongroise de 1956 ou l’écrasement du « printemps des peuples » européens qui réclamaient la démocratie en 1848.

Tous ces mouvements démocratiques sont donc peu favorisés dans leur essence actuellement. Comme c’est déjà le cas pour certains d’entre eux, la répression risque de s’abattre et au bout du compte de les briser.

Il y a quand même une interrogation plus positive que l’on peut avoir. Parallèlement à la mauvaise confrontation Uranus-Neptune, il y a aussi une relation tout à fait positive entre Neptune et Pluton (angle favorable de 54°). Ce second tandem pousse de son côté à la concertation, la négociation et le progrès social. Il pourrait donc limiter les dégâts de la confrontation Uranus-Neptune…

En fait, cela pourrait dépendre des pays. Une répression sanglante et aveugle dans certains d’entre eux, et des négociations sans doute partielles mais relativement constructives dans d’autres. Ce sera en tout cas à suivre avec le plus grand intérêt.

Carte du ciel lors de la
Nouvelle Lune du lundi 28 octobre. On y voit bien le trait rouge négatif qui relie Uranus à Neptune.

 

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