Comme c’est fréquemment le cas, la Pleine Lune du dimanche 21 juillet va rafraîchir les températures sur l’ensemble de la planète. Les médias qui s’excitent au moindre soubresaut à la hausse du thermomètre devront trouver d’autres ragots de village…
Les effets des lunaisons sur le temps devraient être connus des météréologues. Pourtant, leur sens de l’observation et leurs tableaux excel d’historiques des températures ne leur sert à rien : ils ignorent toujours un phénomène naturel et évident pour n’importe quel observateur seulement attentif.
En résumé, une Nouvelle Lune a « tendance » à réchauffer l’atmosphère autour et après son passage; et une Pleine Lune a « tendance » à faire monter les températures avant son passage pour mieux les faire chuter une fois qu’elle a eu lieu et provoquer en été de fréquents orages.
Avec la Pleine Lune du dimanche 21 juillet, on va une nouvelle fois observer ce phénomène de baisse des températures qui se produit tous les 28 jours. En observant uniquement le temps en France, le thermomètre monte depuis 48 heures avant cette Pleine Lune. Et il va ensuite chuter entre le dimanche 21 et le lundi 22 juillet de 7 à 10° globalement, peut-être davantage à tel ou tel endroit.
N’en déplaise aux catastrophistes du climat, les canicules qu’ils dénoncent en permanence ne seront pas au rendez-vous de cette fin juillet. On verra plus tard, et notamment si la Nouvelle Lune du 4 août entraîne dans son sillage un épisode anormalement chaud. Elle devrait au moins « essayer » de faire monter les degrés, c’est dans l’ordre des choses… Mais on n’y est pas encore, et encore moins à un risque avéré de canicule. Soyons pragmatiques !
Enfin, la propagande catastrophiste écologiste est globalement à côté de la plaque. Elle prétend que les étés doivent par définition être caniculaires. Or, ce n’est pas le cas du tout cette année. Le réchauffement climatique ne mène en tout cas qu’à des épisodes très ponctuels et limités de températures un peu élevés ici ou là. Mais sans plus.
Qu’on en juge… La Californie serait au centre d’une violente canicule depuis des mois. C’est faux. A Los Angeles, les moyennes historiques sont respectées. A San Francisco, c’est un peu plus élevé que d’habitude, mais sans dépasser les 20/27°, ce qui est tout de même loin d’être caniculaire. Seule la région de Sacramento est un peu plus exposée, mais il n’y a quand même pas lieu de crier au loup quand la ville affiche 37 ou 38° très ponctuellement pour une moyenne en juillet de 35° !
En Grèce, Athènes serait selon nos écologistes de la météo en proie à l’asphyxie. Sûrement à cause de la pollution, mais pas de températures qui tournent autour de 30/32° comme en moyenne historique et avec seulement quelques pointes ponctuelles antérieures jusqu’à 38° pendant 2 ou 3 jours… évidemment juste avant notre Pleine Lune de dimanche. En fait, c’est tout à fait habituel à Athènes… Mais nos météréologues idéologiques en sont à leur second mensonge depuis le début juin en dénonçant des températures apocalyptiques qui… n’ont jamais eu lieu ! Sauf à considérer que 37° pendant 48 heures en juin et à nouveau en juillet pour Athènes devrait constituer un drame national épouvantable dans la ville européenne sans doute la plus chaude…
Finissons avec les élucubrations écologistes des météorologistes en Hongrie, avec le bitume fondant des aéroports, les rails tordus des voies ferrés et une canicule insupportable pour les touristes. Aujourd’hui vendredi 19 juillet (28° de moyenne en juillet) il fait 33° à Budapest et cela baissera jusque vers 27/28° après la Pleine Lune. Certes, il a pu faire plus chaud ces derniers jours, peut-être… Mais là aussi, au pire des pires, pendant 2 ou 3 jours seulement. En résumé, il n’y a pas de quoi fouetter un chat hongrois !
Les catastrophistes de Météo-France nous ont prédit un été 2024 épouvantable, hyper chaud, hyper sec et hyper incendiaire en France et sur toute la planète. L’été n’est pas fini, on verra la suite… Mais force est simplement de constater qu’il ne s’agit que d’ affabulations, surtout pour la France.
En résumé, l’astrologie n’est à ma connaissance pas capable de prévoir l’évolution du climat sur les semaines ou mois à venir. Pour le moment, on dispose simplement de l’effet de levier des Nouvelles et Pleines Lunes, parfois aussi des quartiers de Lune, pour envisager un changement de tendance à la hausse ou à la baisse de la chaleur ou du froid.
Au moins, l’astrologie moderne ne raconte pas des balivernes et des mensonges comme le font les gazettes et autres médias. Elle est avant tout pragmatique et réaliste.
A écouter sur YouTube :
Carte du ciel de la Pleine Lune du 21 juillet 2024 :