La « concentration planétaire » actuelle fait planer de lourdes menaces : risques de récession économique mondiale, risques d’aggravations ou de nouveaux conflits militaires, risque nucléaire civil ou militaire…
Les planètes dites lentes (Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton) sont concentrées depuis début 2020 sur un arc de cercle limité à moins de 110° sur les 360° du cercle zodiacal. Cette situation pousse notamment à exacerber et aggraver tous les problèmes qui peuvent se poser. Cela les rend ainsi beaucoup plus sévères que si cette concentration planétaire n’existait pas.
Depuis début 2020, nous avons eu trois exemples de graves problèmes qui auraient pu être beaucoup plus anodins :
– En 2020, la pandémie de Covid 19 qui a duré près de trois années et fait environ 20 millions de morts.
– En 2020 également, une récession mondiale à cause de cette pandémie, dont toutes les conséquences n’ont pas encore été totalement surmontées.
– En 2022, l’invasion barbare de la Russie en Ukraine avec ses multiples crimes.
Cette concentration planétaire va encore durer une année entière jusqu’au printemps 2024. Elle menace donc de conséquences toxiques supplémentaires. En particulier, on peut s’inquiéter du mois de mai prochain avec une confrontation assez violente de Jupiter et Mars avec Pluton.
À titre de repère, la Russie a envahi l’Ukraine le 24 février de l’année dernière, alors que Jupiter et Pluton était également en conflit, celui-ci ayant été parfaitement exact le 23 février au soir par le biais d’un demi-carré négatif de 45°. Inutile de souligner, par conséquent que des confrontations entre Jupiter et Pluton, surtout en présence de la concentration planétaire actuelle, peuvent déclencher des conflits armés et même des guerres. Un mauvais Pluton peut en effet signifier des conflits armés ou des guerres, avec Jupiter ou Uranus et Neptune.
Vers la prochaine mi-mai, nous aurons ainsi un carré négatif de 90° de Jupiter à Pluton et, en même temps, une opposition de 180° non moins maléfique de Mars à Pluton. Dans les conditions de la redoutable concentration planétaire actuelle, on peut envisager sur la seconde quinzaine du mois de mai les possibles conséquences suivantes :
* Une aggravation de la guerre menée par la Russie à l’Ukraine et des atrocités supplémentaires, notamment contre la population civile.
* De nouveaux conflits armés ou de nouvelles guerres. On pense notamment à la démocratie de Taïwan que la dictature continentale chinoise veut faire tomber par la force. Les maoïstes sont de plus en plus agressifs contre Taïwan et mènent d’incessantes manoeuvres militaires de grande ampleur, pouvant préfigurer une tentative d’invasion de l’île.
* L’Algérie et le Maroc sont également dans une situation proche du conflit armé.
* Le nucléaire peut être aussi concerné. Cela peut concerner les gesticulations imbéciles et irresponsables de la Corée communiste du Nord, qui ne sait nourrir que des batteries de missiles intercontinentaux au détriment d’une population au bord de la famine.
Cela peut aussi concerner l’utilisation par le monstre du Kremlin d’armes nucléaires dites « tactiques » contre l’Ukraine, surtout si son armée subit de nouvelles défaites contre les troupes de Kiev.
La possible utilisation d’armes nucléaires durant ce printemps ne doit à notre avis pas être sous-estimée. A titre de repère, les deux bombes nucléaires A, lancées par les Etats-Unis contre le Japon les 6 et 9 août 1945, ont eu lieu dans des circonstances similaires à celles de ce printemps et notamment du mois de mai à venir.
En effet, début août 1945, nous avions deux phénomènes planétaires identiques à ceux de ce printemps 2023 :
– Une concentration planétaire de Jupiter à Pluton sur un arc de cercle de 108° en 1945 et de 109° au mois de mai prochain.
– Un demi-carré négatif de 45° entre Jupiter en Pluton en 1945 et un carré négatif de 90° qui sera exact le 18 mai prochain.
Ces observations sont évidemment inquiétantes en soi et surtout dans le contexte actuel. Une concentration planétaire pousse en effet au repli sur soi, à l’égoïsme, au nationalisme, à la violence sous toutes ses formes, aux dictatures et aux guerres. Pluton étant agressé par ailleurs, c’est le nucléaire civil ou militaire qui peut être concerné et mener à de possibles drames, comme en 1945 avec une mauvaise relation Jupiter-Pluton ou en 1987 à Tchernobyl ou en 2011 à Fukushima avec un conflit entre Uranus et Pluton.
A titre de repère supplémentaire, on a aussi eu une redoutable concentration planétaire de 1980 à 1983. Or, nous avons eu à l’époque une série de sanglantes guerres régionales : invasion russe de l’Afghanistan, guerre Iran-Irak, guerre des Malouines entre la Grande-Bretagne et l’Argentine, intervention israélienne au Liban sud contre le terrorisme du Hezbollah…
* Une autre conséquence de ce mois de mai 2023 si menaçant est un risque de récession économique généralisé et notamment dans les pays occidentaux. A titre de repère supplémentaire, le début des années 1980 a aussi vu la plus importante récession depuis celle de 1945 pendant environ 2 années entières.
Actuellement, les économies occidentales se portent plutôt bien et le plein emploi est assuré dans un grand nombre de pays. Cependant, l’inflation continue de ruiner le pouvoir d’achat et la hausse des taux d’intérêts menace de rompre le fragile équilibre actuel.
Il y a déjà eu des faillites bancaires aux Etats-Unis et en Suisse, certes secondaires ou limitées pour le moment mais tout de même très inquiétantes. Les ventes d’ordinateurs PC et des différents produits Apple chutent sur un an de 29 et 40%, ce qui témoigne de la désaffection des consommateurs.
De façon sans doute pire, les supermarchés voient le plus souvent leurs ventes s’effondrer de 10 à 20% sur un an. Les consommateurs ne veulent pas payer une spirale inflationniste souvent malhonnête, la « greedflation », et boycottent silencieusement de nombreux produits aux prix insensés.
On voit désormais fleurir un peu partout des promotions multiples, ramenant presque de nombreux produits de consommation courante au niveau des prix d’il y a 2 ans avant la spirale inflationniste. Cela concerne notamment des produits, dont les prix ont été visiblement manipulés à la hausse mais que les consommateurs n’acceptent pas d’acheter sur de tels niveaux
Le risque est en tout cas très élevé de subir une nouvelle récession, qui serait d’ailleurs la seule solution pour casser à terme la spirale inflationniste actuelle. Mais évidemment, elle se ferait dans la douleur, entraînant des faillites d’entreprises, la chute du marché immobilier et des pertes d’emplois qui accentueraient davantage la baisse du pouvoir d’achat au plan mondial.
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Carte du ciel au samedi 15 avril de la concentration planétaire actuelle des planètes lourdes :